Spectaclede magie et de jonglerie, DerriĂšre la porte nous prĂ©sente la rencontre inopinĂ©e de deux personnages. Le seuil de leur maison franchi, chacun va dĂ©couvrir l'autre. Eh non, l'Ă©lu(e) de leur coeur n'est pas exactement ce qu'ils croyaient ! MĂ©taphore de leurs Ă©garements, leur insolite structure de cinq mĂštres de hauteur leur offre un terrain propice aux jeux amoureux, des Join redditCreate an account to follow your favorite communities and start taking part in an account Salut r/FranceUn post un petit peu inutile du Dimanche matin, mais important pour gagner un débat !!!!111!!!1!. J'ai écris sur une porte "Veuillez laisser fermé" C'est pas hyper correct au niveau syntaxe, je sais que le bon truc est "Veuillez laisser la porte fermée", et quelqu'un m'a corrigé en rayant mon "Fermé" et l'a remplacé par "Fermer" et on me soutient que c'est bien "fermer" avec "er" à la pro de l'académie française pourraient m'aider ?Bonne journée les gens !This thread is archivedNew comments cannot be posted and votes cannot be castAbout CommunityLe subreddit pour ce qui concerne la France et les Français985kCourageux travailleurs Ilest nĂ©cessaire de fermer la porte sur cela, de tourner la page, de devenir la personne que vous ĂȘtes vraiment et que d’autres ont essayĂ© de façonner Ă  leur envie. Tirer un trait sur quelque chose n’est pas simple du tout. Parce que d’une certaine maniĂšre, non seulement nous laissons derriĂšre nous ce qui nous rend malheureux-ses, et parfois, nous sommes aussi Merci de fermer la porte - Grand Format Un jeune employĂ© de banque s'abrite derriĂšre un Ă©ternel sourire et dĂ©courage tous ceux qui cherchent Ă  percer ses secrets. Dans un bourg de la cĂŽte... Lire la suite 13,75 € Neuf Poche Actuellement indisponible 6,60 € Grand format DĂ©finitivement indisponible 13,75 € DĂ©finitivement indisponible Un jeune employĂ© de banque s'abrite derriĂšre un Ă©ternel sourire et dĂ©courage tous ceux qui cherchent Ă  percer ses secrets. Dans un bourg de la cĂŽte bretonne, un vieux nĂ©gociant en vins dort sur un trĂ©sor familial et semble planer hors du temps. Deux jeunes filles entrĂ©es dans le cafĂ© du Viaduc fĂȘtent un Ă©vĂ©nement Ă©nigmatique, Ă  la fois sinistre et gai, une promesse fatale dont elles ne pourront plus jamais se dĂ©faire. MaĂŻ-yann contemple la prairie qui descend vers l'Odet oĂč son regard devenu flou crĂ©e des dĂ©tails magnifiques qu'il puise dans sa mĂ©moire. 1. Tous les personnages d'HervĂ© Jaouen, Ă  la fois inattendus et proches, appartiennent Ă  un milieu et une Ă©poque en mutation, oĂč les plus faibles, coupĂ©s d'un monde qui les ignore, dĂ©rivent dans leurs univers intĂ©rieurs. Date de parution 30/10/1999 Editeur ISBN 2-207-25016-4 EAN 9782207250167 Format Grand Format PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 174 pages Poids Kg Dimensions 14,0 cm × 20,4 cm × 1,5 cm Bonjouret merci de ce concours so girly qui me fait craquer en plus je connaissais pas derriĂšre la porte et j'avoue qu'ils ont trop de jolies choses Pour rĂ©pondre Ă  tes questions : 1- des paillassons 2- Printemps 2012 3- 2 Pour lancer comme il se doit les festivitĂ©s liĂ©es Ă  l’anniversaire du blog, j’ai choisi de vous poster le concours mis en place en collaboration avec l’enseigne DerriĂšre la porte, Ă©ditrice d’objets de dĂ©coration. Si vous suivez mon blog depuis quelques temps dĂ©jĂ , cette marque doit vous ĂȘtre familiĂšre puisque je suis totalement accro Ă  leurs cĂ©lĂšbres boĂźtes en mĂ©tal illustrĂ©es pour ranger joliment son bazar ma collection Ă  visionner juste ici mais aussi lĂ . La marque a acceptĂ© d’offrir deux lots et ceci pour la seconde fois sur le blog premier concours d’Avril Ă  revoir ici. En plus, j’ai pu totalement choisir les piĂšces que je voulais vous faire gagner. Je remercie vivement la marque d’ĂȘtre prĂ©sente pour ce concours spĂ©cial Anniversaire du blog et de me faire confiance pour parler au mieux des produits Dlp. Vous l’aurez vu plus haut, j’ai sĂ©lectionnĂ© un lot 100% Girly & BeautĂ© qui conviendra Ă  un grand nombre de personne j’en suis sĂ»re. Avis aux hommes qui passeraient par lĂ , vous pouvez tout Ă  fait jouer pour votre chĂ©rie, sƓur, amie, mĂšre ou mĂȘme fille 😉 Ainsi deux d’entre vous auront la possibilitĂ© de remporter les 4 produits suivants 1- une trousse LOLA et un Ă©tui rouge Ă  lĂšvres Jolie MĂŽme conçu par Filf qui sauront se nicher dans votre sac de tous les jours Ă  la fois pour transporter vos essentiels BeautĂ© mais aussi pour vous aider lors des retouches maquillage 2- un porte-cartes FOLK Forever Beautiful – noir/rose créé par Lisa Mona trĂšs pratique pour ranger les nombreuses cartes de fidĂ©litĂ© que l’on accumule au fur et Ă  mesure des annĂ©es et qui ne trouve plus leurs places dans le portefeuille 3- un bijou de sac CHRISTIE Forever – multicolore Ă©laborĂ© par Lisa Mona qui donnera une touche d’originalitĂ© Ă  n’importe quel sac Ă  main Valeur total de chaque lot ~38€ Ses articles sont des nouveautĂ©s dĂ©jĂ  disponibles sur les sites marchands suivants CONDITIONS DE PARTICIPATION – RĂ©sider en France mĂ©tropolitaine question de coĂ»t financier pour les envois des colis Ă  ma charge – Avoir l’autorisation de ses parents si participants de moins de 18 ans je vous demanderais votre Nom-PrĂ©nom et Adresse postale pour envoyer le Colissimo – Poster 1 seul et unique commentaire sous cet article durant toute la durĂ©e du concours en me disant ce qui vous a donnĂ© l’envie de participer Ă  ce concours photographie, article, marque etc. avec une adresse mail valide Plus de chance d’ĂȘtre tirĂ© au sort en suivant les points suivants +1 si vous partagez ce concours sur Hellocoton/Facebook ou Instagram InsĂ©rez le lien de votre partage en commentaire et si possible me taguer pour que je puisse comptabiliser plus facilement votre chance supplĂ©mentaire +1 si vous vous inscrivez aux actualitĂ©s de mon blog via google en cliquant sur l’onglet Ă  droite “S’inscrire Ă  ce site” Indiquez-moi votre pseudo et/ou nom-prĂ©nom dans votre commentaire +1 si vous aimez ma page Facebook Indiquez-moi votre Pseudo et/ou Nom-PrĂ©nom dans votre commentaire +1 si vous vous abonnez Ă  ma page Hellocoton Indiquez-moi votre Pseudo et/ou Nom-PrĂ©nom dans votre commentaire +1 si vous vous abonnez Ă  mon Instagram Indiquez-moi votre Pseudo et/ou Nom-PrĂ©nom dans votre commentaire Ce concours commentaire est ouvert dĂšs la publication de cet article et ce jusqu’au Vendredi 28 Novembre minuit. Les rĂ©sultats seront publiĂ©s le lendemain tirage Ă©tabli via sur l’ensemble des rĂ©seaux sociaux et je contacterais les personnes en question directement par mail. Je me chargerais de l’envoi des lots dĂšs lors que j’aurais rĂ©cupĂ©rĂ© les deux adresses postales. Bonne chance Ă  tous! Deux autres concours arrivent dans les jours Ă  venir alors restez attentifs. RESULTATS 58 commentaires mais un peu plus de 50 participations seulement validĂ©es car certaines oublient d’insĂ©rer une adresse mail valide dans leurs messages, c’est vraiment dommage -S. Merci Ă  tous pour vos nombreuses participations, je suis contente de voir que les produits que j’ai sĂ©lectionnĂ© vous ont donnĂ© envie de jouer. FĂ©licitations Ă  Cat Astropheshic et Laure!

Mercide fermer la porte HervĂ© Jaouen (Auteur) Paru en septembre 2001 Roman (Poche) Occasion - État : TrĂšs bon Parfait 1,89 € TrĂšs bon 4,88 € Bon 0,90 € Vendu et expĂ©diĂ© par RecycLivre 4,5 538 837 ventes Pays d'expĂ©dition France mĂ©tropolitaine Poser une question au vendeur Voir tout

Error 403 Guru Meditation XID 381948734 Varnish cache server Mercide bien vouloir fermer la porte derriere vous. Thread starter ceciley; Start date Dec 16, 2006; C. ceciley New Member. French Dec 16, 2006 #1 How would you translate this in a polite English? thanks for your help . C. ceciley New Member. French Dec 16, 2006 #2 How would you translate the above sentence in a proper English? L. londonbandit New Member. London.
Quand on ferme la porte sur quelque chose, on ne le fait pas par orgueil ou encore moins par lĂąchetĂ©. On le fait parce que ce que l’on reçoit n’est pas Ă©gal Ă  ce que l’on donne, parce qu’on n’a plus envie, parce que les puzzles, les espoirs et les rĂȘves ne nous vont plus. C’est Ă  ce moment-lĂ  qu’il faut franchir le seuil de la peur pour ouvrir d’autres ce fait, mĂȘme si on a plus l’habitude d’entendre que “quand une porte se ferme, une autre s’ouvre”, il existe des nuances Ă  prendre en compte. Ces nouveaux univers d’opportunitĂ©s n’apparaissent pas comme par magie. Il faut aller les chercher, il faut les provoquer et mettre en marche des mĂ©canismes internes prĂ©cis pour que cela souffrons tous, Ă  certains moments, de la sale habitude de rĂ©gler notre univers Ă©motionnel sur cette frĂ©quence celui de la souffrance, de l’attachement Ă  ce que l’on a perdu, au souvenir de nos Ă©checs et Ă  l’amertume d’un nombre infini de dĂ©ceptions que l’on a vĂ©cues. D’une certaine maniĂšre, et en gardant Ă  l’esprit tout cet abĂźme d’émotions complexes, nous gardons trĂšs souvent un grand nombre de portes ouvertes avec l’inscription “si jamais”.Pourtant, il nous faut nous arrĂȘter pour ressentir une chose la brise que laissent passer ces portes entrouvertes. C’est un vent froid qui a l’odeur d’un temps en suspens, des larmes dessĂ©chĂ©es, des rĂȘves non exaucĂ©s, et c’est de lĂ  que proviennent parfois les Ă©chos de ces voix qui nous ont autrefois fait du vous faut les fermer, pour votre Ă©quilibre et votre santĂ© porte que nous n’osons pas fermerAvant de parler de ces univers qui s’ouvrent derriĂšre de nombreuses portes qui portent notre nom, nous nous plongeons d’abord dans celles que nous n’avons pas fermĂ©es. Que signifie en rĂ©alitĂ© terminer un cycle, une Ă©tape, quitter un travail ou mĂȘme mettre fin Ă  une relation ?Cela veut avant tout dire savoir renoncer, et la renonciation est une chose Ă  laquelle on n’est jamais prĂ©parĂ©-e. La sociĂ©tĂ© mĂȘme, tout comme l’éducation que nous avons reçue, nous ont convaincu-e-s que nous pouvons tout avoir sans renoncer Ă  si nous rĂ©flĂ©chissons un moment Ă  cet acte de bravoure dĂ©licat, nous nous rendrons compte que le propre fait de mĂ»rir, de grandir et d’obtenir une certaine qualitĂ© de vie implique d’apprendre Ă  fermer des portes, toutes ces portes d’oĂč nous arrivaient des vents tout Ă  fait vie elle-mĂȘme nous oblige Ă  prendre des dĂ©cisions en permanence. Parce que pour ĂȘtre heureux-ses, ne l’oublions pas, il faut prendre des dĂ©cisions. Alors, si nous osons franchir ces seuils pour claquer les portes sur ce qui nous fait souffrir, ce qui ne va plus et nous Ă©puise, nous nous rendons compte que nous renoncions auparavant Ă  notre propre le bonheur n’a pas de prix, mais il a des rĂšgles, et l’une d’elles consiste Ă  oser ĂȘtre courageux-se. Exister, en fin de compte, c’est nous obliger Ă  avancer, Ă  mettre un pied devant l’autre, tandis que notre cƓur s’ouvre sur les nouvelles opportunitĂ©s avec du caractĂšre et beaucoup de solutions pour faire face Ă  la fin d’une Ă©tapeNous sommes attachĂ©-e-s au passĂ© par les mots qui n’ont pas Ă©tĂ© prononcĂ©s alors qu’une opportunitĂ© s’est prĂ©sentĂ©e Ă  nous et que la lĂąchetĂ© nous a alors accablĂ©-e-s. Les opportunitĂ©s manquĂ©es et les “pourquoi” qui n’auront jamais de rĂ©ponse nous pĂšsent. Nous avons trop souvent tournĂ© notre regard vers le passĂ© qui dĂ©teint sur notre prĂ©sent, et cela n’est ni sain ni ne peut “vivre” Ă  deux endroits Ă  la fois. Soit on avance, soit on devient ce joli “marque-page” qui reste Ă  jamais bloquĂ© au chapitre le plus douloureux d’un livre et qui ne se laisse pas la chance de dĂ©couvrir comment se finit cette histoire votre histoire. Ce n’est pas ce qui faut faire. Il est nĂ©cessaire de fermer la porte sur cela, de tourner la page, de devenir la personne que vous ĂȘtes vraiment et que d’autres ont essayĂ© de façonner Ă  leur un trait sur quelque chose n’est pas simple du tout. Parce que d’une certaine maniĂšre, non seulement nous laissons derriĂšre nous ce qui nous rend malheureux-ses, et parfois, nous sommes aussi obligĂ©-e-s de renoncer Ă  certaines choses qui faisaient de nous qui nous Ă©tions, qui Ă©taient Ă  nous et qui nous rendaient en dĂ©tails quelles stratĂ©gies il nous faudrait mettre en place Faites preuve de responsabilitĂ© personnelle grĂące Ă  un dialogue interne avec vous-mĂȘme demandez-vous ce qui vous retient, ce qui vous arrĂȘte dans votre Ă©lan au moment de fermer cette porte. DĂ©finissez vos peurs, mettez un nom dessus et essayez de les rationaliser. Demandez-vous aussi si dans quelques annĂ©es, vous aimeriez ĂȘtre lĂ  oĂč vous ĂȘtes actuellement. Prenez conscience de vos points forts vous avez des qualitĂ©s, mettez-les en avant, tout comme vos rĂ©ussites. De cette façon, souvenez-vous que vos points forts sont aussi les personnes qui vous soutiennent et qui vous aiment vraiment. Établissez un plan pour votre futur proche visualisez oĂč et comment vous aimeriez ĂȘtre dans 6 mois. Nourrissez-vous de cette sensation positive qui accompagne ces images. Retrouvez un nouveau souffle grĂące Ă  elles. Avancez en vous dĂ©barrassant de toutes vos contraintes laissez-les derriĂšre vous, avancez le cƓur lĂ©ger, l’esprit serein et les yeux grand ouverts. Marchez sans haine, sans rancƓur et sans ces poids que nous portons parfois sur le dos et qui nous rendent malades Ă©motionnellement en nous rendant prisonnier-Ăšre-s. Fermez la porte et regardez simplement autour de vous avec des illusions nouvelles. Vous ĂȘtes une Ă©toile parmi d’autres dans cet univers Ă  la recherche de nouvelles et merveilleuses opportunitĂ©s. Vous les pressentez, maintenant ?
Jai un problÚme avec mon frigo américain de marque haier depuis quelques jours . Il ne fait plus de froid. Il affiche sur la porte avant un code erreur E0 qui correspond d'aprÚs le service à une panne de communication entre les cartes. Le compresseur est froid et ne s'allume pas ainsi que les ventilateurs. La seule chose qui fonctionne est
Arts et ĂȘtre vous propose chaque dimanche un tĂ©moignage qui vise Ă  illustrer ce qui se passe rĂ©ellement derriĂšre la porte de la chambre Ă  coucher, dans l’intimitĂ©, loin, bien loin des statistiques et des normes. Cette semaine Viviane*, 42 ans Viviane* a passĂ© 15 ans avec le pĂšre de ses enfants. Un homme qu’elle croyait connaĂźtre. Dont elle a Ă©tĂ© Ă©perdument amoureuse. Et qui lui est finalement apparu comme un Ă©tranger. C’est que pendant des annĂ©es, monsieur a frĂ©quentĂ© des prostituĂ©es, au point de se ruiner. RĂ©cit du choc d’une vie. J’ai honte », finira-t-elle par confier, aprĂšs une bonne heure de confidences, sur un ton toujours rĂ©flĂ©chi, et un souci constant du mot juste. C’est que Viviane, dĂ©but quarantaine, avec sa robe fleurie, ses cheveux bien placĂ©s et ses yeux maquillĂ©s, est une femme forte. Et elle a l’impression d’avoir ici terriblement manquĂ© de jugement. J’ai honte d’avoir fait confiance. Honte d’avoir Ă©tĂ© amoureuse. Honte d’avoir acceptĂ© ça, d’un amoureux qui me rejetait sexuellement. [...] C’est comme si tous les indices Ă©taient lĂ  et que je ne les avais pas vus... » RencontrĂ©e dans un parc un matin de canicule, quelque part dans le nord de la ville, elle se raconte avec pudeur. Mais prĂ©cision. Avant de rencontrer l’homme en question, donc, elle a dĂ©couvert la sexualitĂ© plutĂŽt sur le tĂŽt, autour de 14 ans, se souvient-elle. Un ami qui me courtisait. Je pensais qu’on serait des amoureux. Mais ça n’a pas Ă©tĂ© le cas. Il m’a flushĂ© le lendemain, classique », dit-elle en riant, mi-lĂ©gĂšre, mi-amĂšre. Ensuite ont suivi une sĂ©rie de partenaires, une bonne quinzaine en tout j’étais quelqu’un de trĂšs Ă  l’aise avec ma sexualitĂ© », avant qu’elle rencontre, dĂ©but vingtaine, celui qui allait devenir le pĂšre de ses enfants. C’était un beau grand gars, hyper brillant. Avec plein d’études. Il Ă©tait dĂ©jĂ  au doctorat. Il Ă©tait sĂ©duisant. Mais pas sĂ©ducteur. PlutĂŽt timide. » Sexuellement ? TrĂšs passionnel au dĂ©but, rĂ©pond-elle, mais il Ă©tait timide, sexuellement, aussi. » Timide ? Comme s’il avait un blocage, une gĂȘne. C’était dans l’attitude... », rĂ©pond-elle, un brin Ă©vasive. N’empĂȘche qu’elle y trouvait tout de mĂȘme son compte. Oui, vraiment. C’était toujours trĂšs bon, assure-t-elle. Il me connaissait. Et c’est restĂ© trĂšs bon 15 ans. » Ce qui a changĂ©, et pas Ă  peu prĂšs, c’est la frĂ©quence. DĂšs qu’ils ont emmĂ©nagĂ© ensemble, en fait, ça a Ă©tĂ© plutĂŽt radical. De quatre fois par semaine, ils sont passĂ©s Ă  une relation hebdomadaire le samedi... » Et c’est toujours moi qui allais vers lui. Une certaine distance s’est installĂ©e... Mais j’étais tellement amoureuse. Alors j’essayais de le sĂ©duire avec des beaux vĂȘtements. Mais je voyais bien que ça ne marchait pas... » S’ils en ont parlĂ© ? Ce n’était pas facile de lui parler. Alors au fil du temps, je me suis dit que c’était quelqu’un qui n’avait pas une grande libido. Et puis avec les enfants, la fatigue, peut-ĂȘtre que ça faisait mon affaire
 Viviane Pas de libido, donc ? Eh oui, c’est ce que je pensais, dit-elle en riant. Mais finalement, il Ă©tait plutĂŽt accro Ă  la porno. Ça le satisfaisait davantage. Probablement parce qu’il Ă©tait timide. Qu’il avait de la difficultĂ© avec les femmes. Mais ça, je l’ai appris plus tard... » ScĂ©nario classique un jour, monsieur a oubliĂ© de fermer son ordinateur... Elle l’a confrontĂ©. Mais il a tout niĂ©. À l’époque, elle n’en a pas fait de cas. Enfin, pas trop. Pas trop grave, s’est-elle dit. Mais c’est sĂ»r que c’est un peu dĂ©rangeant. Je suis lĂ , je suis prĂȘte. Et lui, il prĂ©fĂšre des sites pornos. C’est un peu humiliant... » ParenthĂšse quand elle l’a connu, monsieur lui a confiĂ© avoir dĂ©jĂ  Ă©tĂ© accro aux danseuses. Ça ne m’avait pas dĂ©rangĂ©e Ă  l’époque. J’étais moins sensible Ă  ça. Ça ne m’avait pas choquĂ©e. » Fin de la parenthĂšse. Toujours est-il qu’au bout de 10 ans, premier choc sans crier gare, monsieur est parti avec une autre. Une collĂšgue de travail. Encore un scĂ©nario classique. J’étais bouleversĂ©e. Je n’ai rien vu. Il travaillait vraiment beaucoup. Il avait un gros salaire. Un gros poste. Pour moi, c’était normal qu’il soit toujours au travail. » Et normal que pendant ce temps, elle s’occupe seule des enfants. Je ne me suis pas mĂ©fiĂ©e du tout... » L’amourette a durĂ© un mois. Leur sĂ©paration ? Un an. Au fil des semaines, ils se sont remis Ă  se parler. Pour rĂ©aliser que leur histoire n’était finalement pas terminĂ©e. On s’aimait encore. » Alors ils sont revenus ensemble. Retour Ă  la case dĂ©part ? Pas tout Ă  fait. Parce que pendant cette annĂ©e de cĂ©libat, Viviane s’est Ă©panouie. Je me suis redĂ©couverte comme femme, aprĂšs avoir Ă©tĂ© mĂšre toutes ces annĂ©es. » Non, elle n’a pas eu la moindre aventure. Mais c’est dans sa tĂȘte que les choses ont changĂ©. Je me suis promis que je ne vivrais plus cet Ă©loignement physique. J’avais trop souffert de carence affective. Viviane Les premiĂšres semaines ont Ă©tĂ© une deuxiĂšme lune de miel. On faisait l’amour souvent, plusieurs fois par semaine. » Sauf que ce qui devait arriver arriva. Le naturel est revenu au galop. » Et il a de nouveau cessĂ© de la toucher. Mais cette fois, Viviane s’est Ă©coutĂ©e. Fini l’amour aveugle. J’ai dit non. Je mĂ©rite quelqu’un d’affectueux. Et je lui ai dit que je prĂ©fĂ©rais qu’on se sĂ©pare. » Fin de l’histoire ? Nouveau choc, plutĂŽt. Parce que c’est Ă  ce moment que monsieur, qui gagnait pourtant un gros salaire, disions-nous, lui a avouĂ© qu’il Ă©tait en fait en faillite personnelle. Il a toujours eu beaucoup de dettes, mais je n’ai jamais compris pourquoi, se souvient-elle. Est-ce que tu as un problĂšme de jeu et je ne le sais pas ? », lui a-t-elle demandĂ©. ÉniĂšme choc pendant leur sĂ©paration, a-t-il fini par avouer, il s’était payĂ© quelque 200 prostituĂ©es. J’étais abasourdie... » 200 ? Il s’est emmĂȘlĂ© dans ses mensonges et j’ai compris que ça n’était pas que pendant la sĂ©paration... » Probablement aprĂšs aussi. Avant Ă©galement. Et ça a expliquĂ© bien des choses... » Mais ça, Viviane ne l’a pas digĂ©rĂ©. Au-delĂ  de la honte » d’avoir Ă©tĂ© ainsi flouĂ©e, il faut savoir que la prostitution, elle connaĂźt. Dans son travail dans le rĂ©seau de la santĂ©, ironiquement », c’est un dossier auquel elle a touchĂ©. On ne parle plus vraiment de prostitution, mais d’exploitation sexuelle, nuance-t-elle. On comprend mieux que la majoritĂ© des femmes ne font pas ça volontairement. » Alors que son conjoint, qu’elle a aimĂ© pendant 15 annĂ©es, en ait frĂ©quentĂ© des dizaines, ça dĂ©passait son entendement. C’est comme si je me rĂ©veillais du jour au lendemain Ă  cĂŽtĂ© d’un Ă©tranger. La porno, les danseuses, malheureusement, c’est commun et assez banal. Mais la prostitution ? C’est une coche au-dessus. C’est comme s’il m’avouait avoir abusĂ© sexuellement de ces femmes-lĂ . Parce que pour moi, c’est ça c’est un systĂšme qui abuse de ces femmes-lĂ ... » Cela fait cinq ans de cela. Elle ne lui a jamais pardonnĂ©. Pendant trois ans, elle ne lui a mĂȘme plus adressĂ© la parole. Et elle a longtemps cru qu’elle ne ferait plus jamais confiance Ă  un homme. Et puis, avec le temps, une thĂ©rapie aidant, elle a fini par se dire que son ex n’avait pas Ă©tĂ© que ça ». Si elle a voulu nous rencontrer, c’est parce qu’elle se doute bien que son histoire, loin d’ĂȘtre banale, n’est certainement pas non plus inĂ©dite. S’il y a un marchĂ©, c’est parce qu’il y a une demande... » Surtout, parce qu’elle a fini par comprendre que ça n’avait rien Ă  voir avec elle. Quand quelque chose comme ça t’arrive, tu te remets beaucoup en question. Mais ce n’est pas toi, finalement, le problĂšme... et ça, ça se guĂ©rit aussi ! » dit-elle, confiante et forte, effectivement. J’aime ĂȘtre une femme forte. Pas une femme qui manque de jugement... » * PrĂ©nom fictif, pour protĂ©ger son anonymat . 227 575 104 145 140 584 619 355

merci de fermer la porte derriĂšre vous