Pasde bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! Pour amĂ©liorer et dĂ©velopper les modes d’accueil et la scolarisation des jeunes enfants Les mesures et projets gouvernementaux concernant les modes d’accueil des jeunes enfants (dont le projet de modification du dĂ©cret du 20 fĂ©vrier 2007, relatif aux Ă©tablissements et services d’accueil de la petite enfance) ainsi
Une des listes aux municipales de Saint Gratien dĂ©clare vouloir favoriser l’installation de structures d’accueil privĂ©es » sur la commune. Si nous proposons d’augmenter le nombre de places en crĂšche pour rĂ©pondre aux nombreuses demandes non satisfaites Ă  Saint Gratien, il est Ă©vident pour nous que ces structures doivent ĂȘtre publiques c’est la garantie d’un accueil de qualitĂ© pour les enfants, et de conditions de travail correctes pour le personnel. CrĂšches privĂ©es ? Attention, danger ! Un reportage de dans l’émission PiĂšces Ă  conviction » de FR3, Ă  regarder ici pour mieux comprendre les enjeux. Ci-dessous la prĂ©sentation de l’émission. À quelques jours des Ă©lections municipales, la crĂ©ation de nouvelles places de crĂšche est un enjeu Ă©lectoral de poids. C’est le mode de garde prĂ©fĂ©rĂ© des parents, qui promet de socialiser et d’épanouir les tout-petits sous l’Ɠil attentif de professionnels qualifiĂ©s et en toute sĂ©curitĂ©. En France, de plus en plus de municipalitĂ©s cĂšdent Ă  des entreprises privĂ©es la prise en charge de la petite enfance, dans le cadre d’une dĂ©lĂ©gation de service public. Aujourd’hui, la quasi-totalitĂ© des nouvelles places est créée dans le privĂ©. Usines Ă  bĂ©bĂ©s » ? L’enquĂȘte menĂ©e par PiĂšces Ă  conviction » au cƓur de certains Ă©tablissements privĂ©s rĂ©vĂšle une rĂ©alitĂ© prĂ©occupante. Des employĂ©es et responsables, des femmes pour la plupart, ont dĂ©cidĂ© de briser le silence et tĂ©moignent. Elles dĂ©noncent les problĂšmes de sous-effectif, comme cette employĂ©e seule avec 15 ou 20 enfants, quand elle est censĂ©e en gĂ©rer 8 au maximum. Certaines crĂšches se contentent de rĂ©pondre aux besoins essentiels des repas, des couches propres, des siestes. Dans ces conditions, la pĂ©dagogie, le dĂ©veloppement et la stabilitĂ© indispensables au bien-ĂȘtre des bĂ©bĂ©s peuvent-ils ĂȘtre assurĂ©s ? Éducatrices et puĂ©ricultrices dĂ©noncent une garde Ă  la chaĂźne dans des usines Ă  bĂ©bĂ©s », et certaines parlent mĂȘme de maltraitance institutionnelle ». Quel contrĂŽle ? Comment en est-on arrivĂ© lĂ  ? PiĂšces Ă  conviction » a enquĂȘtĂ© sur le versement des aides publiques qui pousse Ă  remplir les crĂšches. Pourquoi l’Etat encourage-t-il ce systĂšme, au dĂ©triment de la qualitĂ© d’accueil des enfants ? Les crĂšches privĂ©es sont-elles contrĂŽlĂ©es et par qui ? Existe-t-il un modĂšle de crĂšche idĂ©al ? Une enquĂȘte de 52 minutes rĂ©alisĂ©e par Julie Lotz, produite par Brainworks avec la participation de Navigation des articles
Lecollectif « Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! » s’en rĂ©jouit, mais attend des propositions concrĂštes pour remplacer ce dĂ©cret tant dĂ©criĂ© par la profession. « Le dĂ©cret du 7 juin 2010 relatif aux Ă©tablissements et services d’accueil des enfants de moins de six ans, dit ‘dĂ©cret Morano’, sera abrogĂ© » a annoncĂ© Dominique
Le collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" qui regroupe associations professionnelles et syndicats de la petite enfance,s'oppose Ă  une proposition de loi prĂ©sentĂ©e Ă  l'assemblĂ©e nationale le jeudi 29 avril. Cette loi vise Ă  autoriser le regroupement d'assistantes maternelles en une mĂȘme structure. La proposition de loi La loi permettrait la crĂ©ation de maisons d'assistantes maternelles Ă  partir de 4 assistantes, dans un local hors du domicile, chaque assistante pouvant prendre en charge 4 enfants. Ces maisonspourraient donc accueillir jusqu'Ă  16 enfants. Les assistantes seraient payĂ©es directement par les parents. Ces derniers emploieraient une seule assistante mais pourraient autoriser celle-ci Ă  dĂ©lĂ©guer temporairement la garde de leurs enfants Ă  leurs collĂšgues travaillant dans la mĂȘme maison. Selon le sĂ©nateur Jean Arthuis, Ă  l'origine du projet de loi, ces maisons » d'assistantes maternelles seraient une solution pour les parents qui travaillent en horaires atypiques ou qui vivent en zone rurale, pour les communes qui ne peuvent soutenir la crĂ©ation d'une crĂšche, pour les assistants maternels qui veulent rompre leur isolement» Les professionnels en colĂšrePour le collectif, cette proposition de loi ne permet pas de satisfaire aux exigences minimales que supposent de tels dispositifs d'accueil. Ils mettent notamment en avant l'insuffisance de qualification et d'expĂ©rience de l'accueil collectif des assistants maternels ». Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rĂ©clame donc le retrait en l'Ă©tat de cette proposition de loi. D'ores et dĂ©jĂ , le collectif annonce une journĂ©e de grĂšve gĂ©nĂ©rale de la petite enfancelejeudi 6 mai etune manifestation Ă  caractĂšre national parents-professionnels lesamedi 29 mai.
Veniravec pique-nique et des boites Ă  chaussure pour confection de boite Ă  consigne gĂ©ante. NĂźmes : Le collectif 30 ’pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne’ rĂ©unissant CGT, Solidaires,

L’accueil et l’écoute, par les professionnelles de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants Ă  la crĂšche sont primordiaux ni bĂ©bĂ©s ni parents Ă  la consigne !Ni bĂ©bĂ©s ni parents Ă  la consigne ! L’accueil et l’écoute, par les professionnelles de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants sont primordiaux. Dans les lieux d’accueil de la petite enfance, la qualitĂ© de la rencontre avec les familles constitue un enjeu essentiel pour offrir aux tout-petits une premiĂšre entrĂ©e en sociĂ©tĂ© qui respecte leur rythme et leur vulnĂ©rabilitĂ©. Cette recherche coopĂ©rative montre qu’ĂȘtre Ă  l’écoute des parents, de leurs histoires, leurs Ă©motions et leurs conceptions Ă©ducatives singuliĂšres nĂ©cessite un vrai travail d’élaboration dans les institutions de la petite enfance, ce qui requiert du temps et des conditions favorisantes. À partir de situations de la vie quotidienne en crĂšche, les analysent comment se construisent ces savoirs professionnels subtils. Ils mettent en Ă©vidence le paradoxe entre le manque de reconnaissance des professions de l’éducation et du soin dans notre sociĂ©tĂ© et l’importance qu’elles revĂȘtent pour la santĂ© des plus vulnĂ©rables, des nourrissons aux personnes ĂągĂ©es.

Pasde bĂ©bĂ© Ă  la consigne ! vendredi 12 mars 2010. DĂ©ferlante de la petite enfance pour le retrait du nouveau dĂ©cret sur l’accueil collectif. CommuniquĂ© de presse. Le gouvernement n’entend pas notre voix Professionnels et parents, nous ne lĂącherons pas ! Ce 11 mars 2010 marque la mobilisation d’une ampleur exceptionnelle des professionnels de la petite
l'essentiel Une centaine de professionnels de la petite enfance se sont rassemblĂ©s, ce mardi 14 janvier, devant la prĂ©fecture Ă  Rodez, Ă  l'appel de la CFDT. Les agents des crĂšches, haltes-garderies et les assistantes maternelles refusent les mesures qui dĂ©couleraient de la prochaine ordonnance et dĂ©crets, actuellement Ă  l'Ă©tude. "Les bĂ©bĂ©s ne sont pas des sardines", "les bĂ©bĂ©s ne sont pas du bĂ©tail"..."Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne", des phrases chocs, en forme de slogans. Les professionnels de la petite enfance craignent des conditions d'accueil, au rabais, des chĂšres tĂȘtes blondes. Pour cela, ils se sont rassemblĂ©s, ce mardi 14 janvier, devant la prĂ©fecture aveyronnaise. Travaillant indiffĂ©remment au sein des crĂšches et des haltes-garderies, mais Ă©galement des assistantes maternelles, redoutent la prochaine ordonnance et ses dĂ©crets, sur lequel planche actuellement le gouvernement. Pour les syndicats dont la CFDT Inerco, la CGT et FO, ainsi que le mouvement national "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" les conditions d'accueil des petits seraient assouplies par l'ordonnance. "Nous voulons savoir quel avenir nous attend et comment allons-nous nous occuper des enfants ? On n’entend pas les mettre dans une piĂšce et fermer la porte derriĂšre", explique GaĂ«l Lafarge, secrĂ©taire dĂ©partemental adjoint CFDT. Et d'ajouter "les structures d'accueil sont dĂ©jĂ  saturĂ©es. Aujourd'hui, la capacitĂ© est de 110%. Le gouvernement voudrait la faire passer Ă  115% !". Les manifestants craignent Ă©galement la dĂ©valorisation des diplĂŽmes du personnel. Avantles dĂ©crets dĂ©rogatoires adoptĂ©s durant la crise sanitaire, seules les micro‐crĂšches avaient cette possibilitĂ© (rester seul jusqu’à 3 enfants), aujourd’hui toutes
La grogne ne faiblit pas dans les crĂšches Ă  propos de la rĂ©forme des modes d’accueil du jeune enfant prĂ©vue par la loi d’AccĂ©lĂ©ration et de Simplification de l’Action Publique ASAP portĂ©e par Adrien Taquet, SecrĂ©taire d’État Ă  l’Enfance et aux syndicats des professionnels de la petite enfance, ainsi que le collectif “Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne” ont fait grĂšve et manifestĂ© ce mardi 2 les grandes lignes, cette rĂ©forme va faire passer Ă  12 enfants la capacitĂ© d’accueil maximale des micro-crĂšches, Ă  un taux d’encadrement unique d’un professionnel pour 6 enfants contre actuellement 1 pour 5 enfants qui ne marchent pas et 1 pour 8 enfants qui marchent, et Ă  5,5 m2 au lieu des 7 m2 recommandĂ©s la surface d’accueil par enfant dans les grandes villes et zones fait, cette rĂ©forme “permettra de crĂ©er, sans dĂ©lai, des places de crĂšches supplĂ©mentaires”, indique le gouvernement. Seulement voilĂ , pour les professionnels du secteur, ces mesures vont Ă  l’encontre de l’intĂ©rĂȘt de l’enfant, mais aussi Ă  l’encontre des recommandations du rapport de la Commission des 1 000 jours, commandĂ© par le gouvernement.“Le gouvernement annonçait une loi de simplification et d'harmonisation il nous offre la dĂ©rĂ©glementation aux dĂ©pens de la qualitĂ© d'accueil des tout‐petits”, dĂ©plore le collectif “Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne”. Ce dernier dĂ©taille que la mesure prĂ©voit 15% d'enfants accueillis en surnombre en crĂšche tous les jours. Ainsi, “un Ă©tablissement de 20 places pourrait accueillir jusqu’à 23 enfants, pour 40 places jusqu’à 46 enfants, et pour 60 places jusqu’à 69 enfants”. “Nous craignons de ne plus pouvoir disposer demain de la meilleure disponibilitĂ© pour vos enfants et de ne plus rĂ©pondre Ă  votre attente”, indique le collectif dans une lettre adressĂ©e aux mesures font en revanche l’unanimitĂ© ou presque, comme le contrĂŽle des antĂ©cĂ©dents judiciaires de l’ensemble des professionnels de l’accueil du jeune enfant, ou encore la gĂ©nĂ©ralisation de temps de rĂ©flexion sur les pratiques professionnelles, Ă  raison d’une demi-heure par mois dans les crĂšches encore insuffisant pour le collectif “Pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne”, et Ă  titre expĂ©rimental pour les assistantes avez envie d’en parler entre parents ? De donner votre avis, de partager votre tĂ©moignage ? On se retrouve sur
Jevous informe que le collectif "pas de bébés à la consigne" appelle à nous mobiliser suite aux projets gouvernementaux concernant les modes d'accueil des jeunes enfants. Il est donc organisé une Manifestation : le samedi 5 décembre à Paris à 14h30 place de l'Opéra. Mobilisons- nous pour des modes d'accueil de qualité pour les jeunes enfants !!! Pour

CommuniquĂ© de presse du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" dont la FSU Territoriale est membre. AprĂšs le drame survenu la semaine derniĂšre dans une micro‐crĂšche de la ville de Lyon, nous nous associons trĂšs sincĂšrement Ă  la douleur de la famille, et nous rappelons que seuls les services de police et de justice sont fondĂ©s Ă  faire la lumiĂšre sur cet Ă©vĂ©nement tragique. Tout en faisant preuve de la plus grande prudence quant aux liens Ă  Ă©tablir entre cela et la situation gĂ©nĂ©rale des crĂšches, le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelle qu’il alerte depuis des annĂ©es sur la dĂ©gradation des conditions d’accueil des jeunes enfants, notamment en structures collectives, et sur celle des conditions de travail des Le collectif s’est mobilisĂ© depuis 2018 avec de trĂšs nombreux collĂšgues pour dĂ©noncer la rĂ©forme, dite loi ASAP, des modes d’accueil portĂ©e par le gouvernement Macron, qui aboutit encore Ă  dĂ©qualifier les mĂ©tiers de la petite enfance et Ă  dĂ©rĂ©glementer le secteur. Nous avons fait des propositions, nous avons manifestĂ© mais n’avons jamais Ă©tĂ© entendus, pas plus que la Commission des 1000 premiers jours qui a Ă©galement proposĂ© vainement au gouvernement de rĂ©hausser les standards d’accueil en crĂšche. Depuis longtemps, nous affirmons que rester seul en accueil collectif avec un ou plusieurs enfants ne permet pas de garantir la sĂ©curitĂ© des enfants et des professionnels. Avant les dĂ©crets dĂ©rogatoires adoptĂ©s durant la crise sanitaire, seules les micro‐crĂšches avaient cette possibilitĂ© rester seul jusqu’à 3 enfants, aujourd’hui toutes les structures collectives peuvent utiliser cette disposition. Par ailleurs les conditions d’accueil sont devenues extrĂȘmement compliquĂ©es manque de personnel, dĂ©gradation des taux d’encadrement, recours Ă  du personnel peu qualifiĂ©, possibilitĂ© d’accueil en surnombre des enfants tous les jours. Ces situations du quotidien conduisent les au bord de pratiques qu’ils jugent eux‐mĂȘmes potentiellement maltraitantes, selon de nombreux tĂ©moignagescf. S’il est bien Ă©vident que la responsabilitĂ© civile et pĂ©nale est engagĂ©e pour tous les professionnels du secteur et que chacun doit rĂ©pondre de ses actes, les questions se posent quant aux responsabilitĂ©s des pouvoirs publics et Ă  celles des gestionnaires des Ă©tablissements d’accueil, de garantir une rĂ©glementation et son application pour offrir des conditions d’accueil aux jeunes enfants, en toute sĂ©curitĂ© psychique et physique dans tous les modes d’accueil. Documents associĂ©s

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pas de bébés à la consigne