EcclĂ©siaste7:8 dit : « Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. » Quand vous commencez Ă  peine Ă  vous remettre d’une catastrophe, la vie peut vous sembler sans espoir. Mais si vous vous efforcez patiemment de

bonne renommĂ©e vaut mieux qu'un bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la naissance. vaut aller Ă  la maison de deuil qu'aller Ă  la maison de festin. Car dans la premiĂšre apparaĂźt la fin de tout homme, et le vivant y applique son coeur. vaut la tristesse que le rire, car un visage triste fait du bien au coeur. coeur des sages est dans la maison de deuil, et le coeur des insensĂ©s dans la maison de joie. vaut entendre la rĂ©primande du sage que d'entendre la chanson des insensĂ©s. semblable au pĂ©tillement des Ă©pines sous la chaudiĂšre est le rire des insensĂ©s c'est encore lĂ  une vanitĂ©. l'oppression rend insensĂ© le sage et les prĂ©sents corrompent le coeur. vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. te hĂąte pas dans ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensĂ©s. dis pas "D'oĂč vient que les jours anciens Ă©taient meilleurs que ceux-ci?" Car ce n'est pas par sagesse que tu interroges Ă  ce sujet. sagesse est bonne avec un patrimoine, et profitable Ă  ceux qui voient le soleil. telle la protection de l'argent, telle la protection de la sagesse; mais un avantage du savoir, c'est que la sagesse fait vivre ceux qui la possĂšdent. l'oeuvre de Dieu qui pourra redresser ce qu'il a courbĂ©? jour du bonheur, sois joyeux, et au jour du malheur, rĂ©flĂ©chis Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne dĂ©couvre point ce qui doit lui arriver. ceci, je l'ai vu au jour de ma vanitĂ© il y a tel juste qui pĂ©rit dans sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge sa vie dans sa mĂ©chancetĂ©. sois pas juste Ă  l'excĂšs, et ne te montre pas sage outre mesure pourquoi voudrais-tu te dĂ©truire? sois pas mĂ©chant Ă  l'excĂšs, et ne sois pas insensĂ© pourquoi voudrais-tu mourir avant ton temps? est bon que tu retiennes ceci, et que tu ne relĂąches pas ta main de cela, car celui qui craint Dieu Ă©vite tous les excĂšs. sagesse donne au sage plus de force que n'en possĂšdent dix chefs qui sont dans la ville. il n'y a pas sur terre d'homme juste qui fasse le bien sans jamais pĂ©cher. fais pas non plus attention Ă  toutes les paroles qui se disent, de peur que tu n'entendes ton serviteur te maudire; ton coeur sait que bien des fois aussi tu as maudit les autres. reconnu vrai tout cela par la sagesse; J'ai dit "Je veux ĂȘtre sage!" Mais la sagesse est restĂ©e loin de moi. qui arrive est lointain, profond, profond qui peut l'atteindre? me suis appliquĂ© et mon coeur a cherchĂ© Ă  connaĂźtre, Ă  sonder et Ă  poursuivre la sagesse et la raison des choses, et j'ai reconnu que la mĂ©chancetĂ© est une dĂ©mence, et qu'une conduite folle est un dĂ©lire. j'ai trouvĂ© plus amĂšre que la mort, la femme dont le coeur est un piĂšge et un filet, et dont les mains sont des liens; Celui qui est agrĂ©able Ă  Dieu lui Ă©chappe, mais le pĂ©cheur sera enlacĂ© par elle. j'ai trouvĂ© ceci, dit l'ÉcclĂ©siaste, en considĂ©rant les choses une Ă  une pour en dĂ©couvrir la raison, que mon Ăąme a constamment cherchĂ©e, sans que je l'aie trouvĂ©e J'ai trouvĂ© un homme entre mille, mais je n'ai pas trouvĂ© une femme dans le mĂȘme nombre. vois, j'ai trouvĂ© ceci c'est que Dieu a fait l'homme droit, mais eux cherchent beaucoup de subtilitĂ©s.

SELAHest un mot qui signifie "pause" en hĂ©breu, et que l'on retrouve dans les Psaumes Ă  plusieurs reprises. Au-delĂ  des difficultĂ©s que l’on peut rencontrer, il est possible de rebondir : les obstacles peuvent se changer en tremplin. Ce dictionnaire contient 59 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le mot commencement. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur commencement issus des quatre coins du monde Le grain qui pourrit pourrait dire Je meurs. C'est le commencement de sa vie multipliĂ©e. Alexandre Weill ; Les glanes d'esprit 1874 Comme le livre, l'homme a deux pages blanches au commencement et Ă  la fin. L'enfance et la vieillesse. Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 Gare aux commencements ! ils dĂ©cident de tout le reste. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 25 mars 1868. On dit qu'on ne voudrait pas recommencer sa vie, et on tient Ă  la continuer. Quelle inconsĂ©quence ! On sait pourtant que le meilleur est au commencement. Diane de Beausacq ; Les pensĂ©es et maximes de la vie 1883 En toute chose, il faut soigner ses commencements, tout le reste en dĂ©pend. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 L'indĂ©cision est une grande flatteuse des amours-propres tant qu'on n'entreprend que d'une façon provisoire, notre vanitĂ© a derriĂšre elle une porte ouverte ; nous pouvons toujours abandonner ce commencement malheureux sous le prĂ©texte honnĂȘte que nous avons changĂ© d'avis. Antonin Rondelet ; Les mĂ©moires d'un Homme du monde 1861 Le siĂšcle est avancĂ©, et pourtant chacun commence par le commencement. Johann Wolfgang von Goethe ; Les maximes et rĂ©flexions 1749-1832 Les Ăąmes incertaines n'ont que des demi-volontĂ©s et des commencements, de pĂąles lueurs de vertu. Victor Cherbuliez ; La vocation du comte Ghislain 1888 Le commencement est la moitiĂ© de tout. Pythagore ; Les fragments - VIe s. av. Parmi les gens qui ont eu de petits commencements, les uns rĂ©pudient leur passĂ© et tĂąchent de l'oublier ; les autres prennent un plaisir extrĂȘme Ă  le rappeler. Victor Cherbuliez ; Les amours fragiles 1880 L'estime est le commencement de l'amour pour les cƓurs bien placĂ©s. Pierre-Jules Stahl ; Le voyage d'un Ă©tudiant 1861 Le commencement du bonheur, c'est d'espĂ©rer ce qu'on dĂ©sire. Robert Mauzi ; L'idĂ©e de bonheur dans la littĂ©rature française 1960 Du commencement on peut augurer la fin. Quintilien ; De l'institution oratoire, V - env. 90 ap. L'excuse de l'infidĂ©litĂ©, c'est qu'il n'y a rien d'aussi agrĂ©able que les commencements amoureux. Édouard Herriot ; Les notes, pensĂ©es et maximes 1961 Le mortel qu'un dieu daigne conduire voit toujours un commencement prospĂšre couronnĂ© d'une fin glorieuse. Pindare ; Les odes pythiques - Ve s. av. Un commencement d'affection n'est que le regret d'avoir mal fait. Pierre-Jules Stahl ; Vie et options philosophiques d'un pingouin 1841 Souvent le paradoxe est le commencement d'une vĂ©ritĂ©. Pierre Choderlos de Laclos ; De l'Ă©ducation des femmes 1783 À chose faite, il faut bien qu'il y ait commencement. Nicolas Machiavel ; L'histoire de Florence 1521-1525 En amour, s'il n'y a que les commencements qui soient charmants, alors je ne m'Ă©tonne pas qu'on trouve du plaisir Ă  recommencer si souvent ! Charles-Joseph de Ligne ; Mes Ă©carts ou ma tĂȘte en libertĂ© 1796 La fin de la jeunesse n'est pas la fin des illusions. C'en est le commencement. Illusion qu'on ne peut rien contre le monde, qu'il est le plus fort, que la sagesse consiste Ă  se coucher devant lui comme un chien, moyennant quoi il consent Ă  vous donner la pĂątĂ©e. Jean Dutourd ; Henri ou l'Ă©ducation nationale 1983 Les commencements de l'amour se situent toujours en dehors du monde. Lorsque deux personnes se dĂ©couvrent, il se passe quelques jours pendant lesquels elles vivent dans une sorte d'absolu, de paradis solitaire oĂč nul ne vient les dĂ©ranger. C'est aprĂšs, passĂ© les premiĂšres dĂ©couvertes, quand l'amour s'installe, avec son intendance, c'est-Ă -dire avec tous ses amĂ©nagements matĂ©riels, les rendez-vous, les escapades, les lieux secrets oĂč l'on se rencontre, les camouflages, les ajustements d'heures, etc., que le monde se remet Ă  peser. Jean Dutourd ; Les Ɠuvres romanesques 1979 Au commencement de la vie, l'homme est tellement gonflĂ© d'existence, qu'il la rĂ©pand de tous cĂŽtĂ©s, il voudrait avoir autant d'amis qu'il y a d'hommes sur terre, il ne pense qu'Ă  Ă©tendre ses relations, il veut connaĂźtre et ĂȘtre connu. Alphonse Karr ; Une heure trop tard 1833 Prudence est commencement de sagesse. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 L'enfance est le commencement de l'humanitĂ©. Henri Lacordaire ; ConfĂ©rence de Notre-Dame de Paris, 17 1835 Rien de grand n'a jamais eu de grands commencements. Laure Conan ; À l'Ɠuvre et Ă  l'Ă©preuve 1891 Les commencements vigoureux rĂ©ussissent quelquefois, mais la suite n'y rĂ©pond pas. Etienne François de Vernage ; Nouvelles rĂ©flexions morales et politiques 1696 Le dĂ©but, chose Ă©trange, est les trois-quarts de l'Ɠuvre. L'impression premiĂšre est une obsession ; on ne rĂ©pare guĂšre une fausse manƓuvre ; qu'est un commencement ? Une imprĂ©gnation. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 16 octobre 1872. Mille commencements ne font pas une histoire ; on n'aboutit Ă  rien sans se continuer. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 29 aoĂ»t 1872. Quand le commencement d'une journĂ©e est bon, d'ordinaire la fin n'est pas mauvaise. Nicolas Machiavel ; L'entremetteuse maladroite 1513 ConnaĂźtre son mal est le commencement de la guĂ©rison. Fernando de Rojas ; La CĂ©lestine - XVIe siĂšcle.
Ildit le rejet, la mise Ă  l'Ă©cart, le refus de considĂ©ration et de dignitĂ©, l'Ă©miettement de la sociĂ©tĂ©, sa hiĂ©rarchisation, ses formes - souvent sophistiquĂ©es - de sĂ©grĂ©gation, et puis, comme un bruit de fond, la grande indiffĂ©rence. C'est elle, qui fait que “ tout vaut tout ” et n'importe quoi, qui incline les uns Ă  penser que le repli Ă©goĂŻste est un mode de vie, et
Chapitre 7 Le caractĂšre de plus en plus proverbial des chapitres qui suivent nous oblige Ă  les considĂ©rer d’une maniĂšre beaucoup plus dĂ©taillĂ©e. Ce chapitre introduit un nouveau sujet que l’on pourrait intituler La conduite de la sagesse dans un monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait, c’est-Ă -dire au milieu de ce qui n’est que vanitĂ©, douleur et folie. Dans les v. 1-9, nous voyons qu’il y a dans ce monde des choses qui valent mieux que d’autres. MalgrĂ© tout le dĂ©sordre et la ruine le sage s’appliquera Ă  les rechercher et y trouvera son profit. Nous avons dĂ©jĂ  constatĂ© une pensĂ©e semblable au chap. 49-14. Ici les choses profitables sont beaucoup plus accentuĂ©es et se trouvent en opposition directe avec ce que le monde choisit ou prĂ©fĂšre. Le sage se trouve nĂ©cessairement isolĂ© dans un monde oĂč rĂšgne la mort, fruit du pĂ©chĂ©. Mais cette scĂšne elle-mĂȘme lui offre des choses meilleures. Elles sont au nombre de sept, chiffre des choses complĂštes. 1° Mieux vaut une bonne renommĂ©e que le bon parfum». En Prov. 221, la bonne renommĂ©e parmi les hommes vaut mieux que de grandes richesses; ici elle est considĂ©rĂ©e des yeux de Dieu et vaut mieux devant Lui que l’huile parfumĂ©e dont Ă©taient oints les sacrificateurs pour accomplir leur service Ex. 3023-33. C’est par lĂ  que commence l’activitĂ© du sage. 2° Et le jour de la mort que le jour de la naissance». Cette pensĂ©e fait suite au n° 1. Arriver au jour de la mort ayant rĂ©alisĂ© une rĂ©elle consĂ©cration Ă  Dieu vaut mieux que l’entrĂ©e dans le monde. Deux fois, dans la vie du sage, cette derniĂšre lui avait fait dĂ©sirer de n’ĂȘtre jamais nĂ© 43; 64, 5. 3° Mieux vaut aller dans la maison de deuil, que d’aller dans la maison de festin, en ce que lĂ  est la fin de tout homme; et le vivant prend cela Ă  cƓur». Dans ce monde oĂč la mort domine, la maison oĂč le deuil est entrĂ© vaut mieux que celle oĂč rĂšgne la joie. Il convient au sage de frĂ©quenter la premiĂšre, car il s’y trouve en prĂ©sence de la rĂ©alitĂ©, de la fin de tout homme, consĂ©quence du pĂ©chĂ© qui rĂšgne dans le monde. Le vivant prend cela Ă  cƓur; il voit oĂč aboutit tout le travail de l’homme sous le soleil; il ne nourrit pas des espoirs et des projets que la mort peut anĂ©antir. 4° Mieux vaut le chagrin que le rire, car le cƓur est rendu meilleur par la tristesse du visage. Le cƓur des sages est dans la maison de deuil, mais le cƓur des sots, dans la maison de joie». Assister au chagrin d’autrui, voir les larmes couler, rend le cƓur meilleur, le dispose Ă  la sympathie, le pousse Ă  offrir des consolations. Il en est de mĂȘme, non seulement pour celui qui voit souffrir, mais aussi pour celui qui souffre. C’est par la tristesse du visage que Dieu agit sur le cƓur de l’homme pour lui faire trouver des choses meilleures. DisposĂ© ainsi, le cƓur des sages est dans la maison de deuil; c’est le lieu oĂč les affections peuvent ĂȘtre en exercice. Le cƓur des sots ne connaĂźt rien de ces bĂ©nĂ©dictions; la joie d’un moment leur suffit. Qu’en restera-t-il? N’est-ce pas le texte mĂȘme de l’EcclĂ©siaste? Celui qui mĂšne le deuil est estimĂ© bienheureux par le Seigneur, car il sera consolĂ© Matt. 54; et, pour le chrĂ©tien une bĂ©nĂ©diction descend sur lui de la part du Dieu de toute consolation, et cette consolation est Ă©ternelle 2 Thess. 216. 5° Mieux vaut Ă©couter la rĂ©prĂ©hension du sage, que d’écouter la chanson des sots. Car comme le bruit des Ă©pines sous la marmite, ainsi est le rire du sot. Cela aussi est vanité». Les sages profitent des expĂ©riences qu’ils ont faites, pour conduire leur prochain dans le droit chemin. Ils ont acquis l’autoritĂ© pour reprendre et redresser. Il vaut mieux les Ă©couter et en faire son profit que d’écouter la chanson des sots sons agrĂ©ables Ă  l’oreille, mais qui n’ont pas plus de sens que ceux qui les Ă©mettent. Le rire du sot ne dure pas; il s’éteint bien vite comme un feu d’épines sous la marmite; il ne bruit et ne flambe qu’un instant. AprĂšs, tout retombe dans le silence de la mort. Cela aussi est vanitĂ©. 6° Certainement, l’oppression rend insensĂ© le sage, et le don ruine le cƓur. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement». Il y a pour le sage deux dangers dans ce monde. D’abord l’oppression qui le rend insensĂ© en le poussant Ă  la rĂ©volte, quand il voit toutes les injustices qui se commettent sous le soleil cf. 41-3. Ensuite, danger plus grand encore, le don par lequel le cƓur se laisse corrompre et pousser aux pires actions. Tels sont du reste toujours les deux moyens employĂ©s par Satan pour perdre les hommes la violence et la corruption ou la ruse. C’est pourquoi la fin vaut mieux que le commencement. Un cƓur qui a eu affaire au mal sans colĂšre et sans rĂ©volte, qui a refusĂ© les prĂ©sents et ne s’est pas laissĂ© sĂ©duire, arrive vainqueur au bout de l’épreuve et telle Ă©tait la fin que Dieu voulait produire1. 1 Telle est du moins l’explication de ce passage difficile que nous soumettons au lecteur chrĂ©tien. 7° Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. Ne te hĂąte pas en ton esprit pour t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des sots». Dans toutes ces Ă©preuves, le sage a appris la patience; il ne s’est pas Ă©levĂ© devant le mal et contre lui. La patience est toujours humble, douce, paisible; elle sait souffrir; elle atteint les choses promises HĂ©breux 615. La patience est le caractĂšre mĂȘme du Christ. Celui qui est patient ne se hĂąte ni ne s’irrite. Merveilleux tableau de la vie du sage au milieu de circonstances, fruit du pĂ©chĂ©, et qui sont toutes faites pour provoquer sa colĂšre, l’irriter ou le sĂ©duire. Il traverse un monde dont il connaĂźt bien le caractĂšre, n’y attend que souffrance, mais en est victorieux en suivant des principes diamĂ©tralement opposĂ©s Ă  tout ce qui dirige les hommes. v. 10-12. Il n’est pas sage de dire que le temps passĂ© Ă©tait meilleur que le prĂ©sent, chose que tous les hommes non pas les sages sont toujours portĂ©s Ă  penser. Dire cela n’est pas la sagesse, car elle a un jugement clair sur l’état du monde, et ce serait en contradiction avec tout ce que le PrĂ©dicateur nous a appris quand il a prononcĂ© le terrible mot Vanité» sur tout ce qui est sous le soleil depuis la chute. Si tout est perdu et corrompu, il reste une chose aussi bonne qu’un hĂ©ritage, la possession de la pensĂ©e divine. Elle est profitable; elle met Ă  l’abri, de la mĂȘme maniĂšre que, dans l’ordre des choses humaines, les richesses mettent Ă  l’abri. Elle est, de fait, la seule permanente richesse. Bien plus, elle est une source de vie pour celui qui la possĂšde. Combien plus nous, chrĂ©tiens, pouvons-nous dire La sagesse fait vivre celui qui la possĂšde», nous qui possĂ©dons Christ, la sagesse de Dieu I Cor. 124. v. 13, 14. ConsidĂšre l’Ɠuvre de Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu? Au jour du bien-ĂȘtre, jouis du bien-ĂȘtre, et, au jour de l’adversitĂ©, prends garde; car Dieu a placĂ© l’un vis-Ă -vis de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien de ce qui sera aprĂšs lui». Le sage continue Ă  se mouvoir au milieu d’un monde gĂątĂ© par le pĂ©chĂ©. Il y rencontre l’Ɠuvre de Dieu et le rĂ©sultat du mal, qui ne peut ĂȘtre redressĂ© et oĂč les choses sont tordues par le pĂ©chĂ© 115. Mais ces choses tordues, Dieu les laisse subsister et en fait usage. Il a mis l’un vis-Ă -vis de l’autre le jour du bien-ĂȘtre dont l’homme est invitĂ© Ă  jouir et le jour de l’adversitĂ© qui le porte Ă  rĂ©flĂ©chir. De cette maniĂšre, l’homme est laissĂ© dans l’ignorance de ce qui sera aprĂšs lui. Une pareille conclusion est pleinement d’accord avec le livre de l’EcclĂ©siaste oĂč tout accĂšs aux choses invisibles est cachĂ© Ă  l’homme afin qu’il apprenne Ă  voir la vanitĂ© des choses qui l’entourent et dont la chute de l’homme a entiĂšrement troublĂ© l’harmonie. Le v. 15 confirme ce que nous venons de dire J’ai vu tout cela dans les jours de ma vanitĂ© il y a tel juste qui pĂ©rit par sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge ses jours par son iniquité». Ces jours de vanitĂ© qui ont rempli la vie du sage l’ont amenĂ© Ă  voir la contradiction absolue entre ce qui est tordu et ce qui, selon Dieu, aurait dĂ» ĂȘtre. La justice du juste le conduit Ă  la mort! N’est-ce pas comme une anticipation prophĂ©tique de ce que rencontrera JĂ©sus lui-mĂȘme? D’autre part il y a tel mĂ©chant dont l’iniquitĂ© prolonge les jours. La vue du PrĂ©dicateur est toujours limitĂ©e par ce qui se passe sous le soleil». Combien les Psaumes, par exemple, diffĂšrent de cette conception quand ils nous dĂ©crivent ce qui attend les mĂ©chants! Les v. 16-18 font suite Ă  ce que nous venons de voir. Le PrĂ©dicateur avait parlĂ© de justice et de mĂ©chancetĂ©. Il montre maintenant qu’il peut y avoir excĂšs dans les deux directions, et quelles en sont les consĂ©quences. La mesure peut ĂȘtre dĂ©passĂ©e quand il s’agit de justice et de sagesse. Ce n’est pas autre chose, dans ce cas, que l’orgueil qui nous fait exagĂ©rer ces vertus pour nous rehausser par elles; or l’orgueil va devant l’écrasement Pourquoi, dit le PrĂ©dicateur, te dĂ©truirais-tu?» — Mais on peut ĂȘtre mĂ©chant Ă  l’excĂšs une telle pensĂ©e est en accord avec ce Livre qui nous dĂ©peint le monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait et ne substitue pas des principes nouveaux Ă  ce dĂ©sordre parce qu’il ne suppose pas une RĂ©vĂ©lation qui les introduise. Ici donc, l’excĂšs de la mĂ©chancetĂ© est considĂ©rĂ© comme amenant sur l’homme la mort avant le temps fixé». Quel que soit le triste Ă©tat du monde, il reste le théùtre du gouvernement de Dieu qui condamne tout excĂšs dans l’homme et lui en fait porter les consĂ©quences, surtout quand sa mĂ©chancetĂ© se donne carriĂšre. Combien cela est frappant dans l’état actuel du monde oĂč la mĂ©chancetĂ© de l’homme ne connaĂźt plus de bornes. Cet Ă©tat est le fruit de l’absence complĂšte de crainte de Dieu Il est bon que tu saisisses ceci et que tu ne retires point ta main de cela; car qui craint Dieu sort de tout». Voici la troisiĂšme fois que le mot craindre Dieu», revient dans ce Livre voyez 314; 5, 7, comme la seule chose qui mette l’homme Ă  l’abri du jugement. v. 19. AprĂšs avoir prĂ©muni contre l’excĂšs de sagesse, le PrĂ©dicateur en proclame hautement les mĂ©rites La sagesse fortifie le sage plus que dix hommes puissants qui sont dans la ville». Elle n’est pas seulement une source de vie pour celui qui la possĂšde v. 12, mais le sage y trouve la force dont il a besoin. Il est gardĂ© par elle contre les attaques de l’ennemi, plus qu’une ville par dix hommes puissants. Mais, v. 20-24, par la sagesse j’apprends Ă  me connaĂźtre. Elle est d’origine divine et me fait savoir ce que Dieu mĂȘme dĂ©clare Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas pĂ©ché». Et cela concerne aussi bien le sage que les autres hommes. Le sage est-il le seul qui ait fait le bien? A-t-il Ă©coutĂ© de faux rapports? S’est-il fait maudire par son esclave? MaĂŻs, combien de fois lui-mĂȘme n’a-t-il pas maudit les autres! Combien de fois, quand il a dit Je serai sage», la sagesse s’est enfuie loin de lui? Et comment rĂ©parer le mal produit par ce manque de vigilance? Aux v. 25-29, le PrĂ©dicateur raconte sa propre histoire, une histoire amĂšre, en vĂ©ritĂ©! Il s’est appliquĂ©, comme il l’a dit au commencement de son Livre 117, Ă  rechercher la sagesse et Ă  connaĂźtre que la mĂ©chancetĂ© et la folie sont sottise et dĂ©raison. La tentation et la sĂ©duction sont venues Ă  lui par le moyen de la femme 1 Rois 114, et au lieu de lui Ă©chapper, lui que Dieu avait si grandement favorisĂ©, a pĂ©chĂ© et est devenu la proie de la sĂ©ductrice. Il a Ă©tĂ© amenĂ© Ă  la cruelle constatation, plus amĂšre que la mort», qu’il n’y a pas une femme entre elles toutes» qui n’attire les convoitises comme des filets et des rets», et dont les mains ne soient des chaĂźnes pour retenir captif celui qu’elle a saisi. Et mĂȘme, quelle insigne raretĂ© de trouver un homme sur la terre qui puisse venir en aide par sa sagesse ou son intelligence J’ai trouvĂ© un homme entre mille, mais une femme entre elles toutes, je ne l’ai pas trouvĂ©e». — Seulement, si la recherche du sage l’a amenĂ© Ă  ces dĂ©solantes conclusions, il en a retirĂ© un profit Voici, j’ai trouvĂ© que Dieu a fait l’homme droit; mais eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements» v. 29. L’homme sorti des mains de son CrĂ©ateur, au commencement, Ă©tait droit. Le PrĂ©dicateur a montrĂ© plus haut que la CrĂ©ation Ă©tait belle 311, et que maintenant tout est tordu 115; 713. La ruine est survenue, non pas du fait de Dieu, mais du fait de l’homme Eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements». Tel a Ă©tĂ© le cas dans le jardin d’Éden quand la femme vit que le fruit de l’arbre Ă©tait bon Ă  manger et qu’il Ă©tait un plaisir pour les yeux et que l’arbre Ă©tait dĂ©sirable pour rendre intelligent. Que de raisonnements! Et dĂšs lors il en a toujours Ă©tĂ© de mĂȘme. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. » Voyez cette chenille rampante, combien son apparence est mĂ©prisable ! Elle est le commencement d’une chose.

Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. »EcclĂ©siaste 78 EcclĂ©siaste 78 Quand un match a Ă©tĂ© jouĂ©, la premiĂšre chose Ă  laquelle les gens s’intĂ©ressent est le rĂ©sultat final. Le rĂ©sultat final ! C’est la raison d’ĂȘtre du match. À quoi cela sert de faire toutes sortes d’exploits dans le jeu si cela aboutit Ă  une dĂ©faite. À cause du pĂ©chĂ©, le travail, les richesses, la beautĂ©, les prouesses de tout humain aboutissent Ă  la mort. Mais la finalitĂ© de la foi vĂ©ritable en JĂ©sus, c’est la vie Ă©ternelle, le paradis Ă©ternel, la gloire de Dieu. La Bible nous dit en DeutĂ©ronome 3019 19 J’en prends aujourd’hui Ă  tĂ©moin contre vous le ciel et la terre j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bĂ©nĂ©diction et la malĂ©diction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postĂ©ritĂ©,DeutĂ©ronome 3019 La vie, la vraie vie est la vie Ă©ternelle , alors, dĂšs aujourd’hui, bĂątissons avec JĂ©sus ! C’est ici la journĂ©e que l’Éternel a faite Qu’elle soit pour nous un sujet d’allĂ©gresse et de joie! Psaumes 11824 EcclĂ©siaste 7-9 – – – 2 Corinthiens 13

VidĂ©oTikTok de joyceemma58 (@joyceemma58) : « Le pĂ©pĂ© aussi n’a pas sciencĂ© hein 😂😂 la fin d’une chose vaut mieux que le commencement @tiktokivoirien ». Conseil de mĂ©mĂ©đŸ˜«. son original.
Jean 2 verset 1 Ă  10 De ce thĂšme, nous verrons successivement ; - Le contexte - L'impĂ©ratif contenu dans ce texte - La signification de ces impĂ©ratifs - La rĂ©action de l'ordonnateur du mariage - Les leçons De quoi s'agit-il dans ce texte ? nous voyons JĂ©sus qui s'en va Ă  GalilĂ©e la partie nord d'IsraĂ«l. Au troisiĂšme jour de son pĂ©riple, il est invitĂ© Ă  des noces, c’est-Ă -dire Ă  un mariage. Le mariĂ© devait ĂȘtre riche car inviter jĂ©sus, cela impliquait dĂ©jĂ  13 personnes. Et si nous imaginons que la famille de JĂ©sus Ă©tait prĂ©sente, nous pouvons compter environ une vingtaine de personnes. Dans le dĂ©roulĂ© de la cĂ©rĂ©monie, Marie, en bonne MĂšre, veille au grain. Elle fait un constat alarmant. Le vin manquait. Connaissant JĂ©sus depuis la visitation de l'ange Gabriel, elle sait qu'on n'a pas besoin de chercher la solution ailleurs qu'en JĂ©sus. Alors, allant ver lui. Elle lui donne l'information suivante "ils n'ont plus de vin". La rĂ©ponse du Seigneur semble au premier abord, froide et distante. Mais paradoxalement c'est une rĂ©ponse qui indique avec douceur que JĂ©sus n'est plus soumis aux "pesanteurs de la Terre" c’est-Ă -dire qu'il n'est plus soumis aux rĂ©alitĂ©s terrestres, mais plutĂŽt qu'il est connectĂ© au Ciel pour accomplir la volontĂ© de DIEU. Ainsi Ă  l'alternative de se soumettre Ă  la parentĂ© physique la mĂšre biologique, il JĂ©sus se soumet au PĂšre CĂ©leste. Or trĂšs souvent, on se soumet aux rĂ©alitĂ©s terrestres plutĂŽt qu'aux rĂ©alitĂ©s du Ciel. Amen Quels sont les impĂ©ratifs de cette situation ? ils sont de 4 ordres. Marie a un 1 impĂ©ratif, mais JĂ©sus dans sa divinitĂ©, en a trois 3. Telle une prĂ©dicatrice, Marie dit aux serviteurs "Faites tout ce qu'il vous dira". Elle parle, non pas aux disciples du Seigneur, mais aux serviteurs de l'Ă©poux. Si elle Ă©tait une prĂ©dicatrice programmĂ©e pour prĂȘcher dans notre CommunautĂ©, Les BĂ©atitudes Abidjan-Plateau, elle serait peut-ĂȘtre fustigĂ©e. Car elle dit de faire TOUT ce que le Seigneur dira. C'est le genre de sermon que l'on entend difficilement de nos jours. Curieusement Marie a Ă©tĂ© Ă©coutĂ©e des serviteurs. Nous pouvons remarquer les instructions suivantes du Seigneur ; - Remplissez d'eau ces vases ces vases dont il est question, sont des amphores, c’est-Ă -dire des rĂ©cipients faits en terre cuite, de grande capacitĂ© des jarres de 60 Ă  75 litres. Ils Ă©taient utilisĂ©s pour les actes de purification et pour les ablutions baptĂȘme des mains et lavage des pieds. Ce n'est pas une eau destinĂ©e Ă  la consommation. Imaginez un ComitĂ© d'Organisation confrontĂ© Ă  une telle situation en pleine cĂ©rĂ©monie de mariage. - Puisez le Seigneur donne une instruction qui semble bizarre, en regard du contexte - Apportez-en Ă  l'ordonnateur il est encore plus bizarre de puiser de l'eau, dans un rĂ©cipient impropre Ă  la consommation humaine. Puis de se prĂ©senter devant le maĂźtre des lieux pour la lui prĂ©senter de la part d'un inconnu. Cela demande de la foi, car la foi est une ferme assurance des choses qu'on espĂšre, une dĂ©monstration de celles qu'on ne voit pas. Ces serviteurs obĂ©issent en raison d'une foi qu'ils ont placĂ© Ă  un inconnu. Quelle signification ? Ce qu'il faut retenir, c'est que premiĂšrement le Seigneur se sert des moyens existants de notre entourage pour accomplir des miracles. Mais en utilisant les serviteurs et non ses disciple, JĂ©sus veut bannir tout motif de subterfuge ou de tricherie dans l'esprit des gens, dans notre esprit. C'Ă©tait une possibilitĂ© probable vu la pensĂ©e humaine. En effet, beaucoup croient plus au diable qu'Ă  DIEU. Certains auraient pu voir en cette scĂšne un montage. De nos jours, beaucoup ne croient pas Ă  la parole de connaissance. On crie facilement aux faux prophĂštes, sans considĂ©rer que s'il en est de faux prophĂštes, c'est qu'il en existe de vrais Ă©galement. Or JĂ©sus avait dĂ©jĂ  annoncĂ© dans sa Parole que des signes accompagnerait ses disciples que nous sommes. Les miracles seront lĂ . Quelle est la rĂ©action de l'ordonnateur ? Quant Ă  la rĂ©action de l'ordonnateur on parlerait de nos jours du PrĂ©sident du ComitĂ© d'Organisation, le PCO, il y a une prise de conscience que quelque chose d'inhabituel s'est produit Ă  Cana. En tant qu'organisateur de mariages, il a l'habitude de leur dĂ©roulement, et il connait les usages et ses rituels prĂ©cis, telle une liturgie. En effet, du bon usage, on prĂ©sente le bon vin puis on continue ensuite avec le vin de moins bonne qualitĂ©, lorsque l'assemblĂ©e est moins lucide. En effet, les vins ont leur classification. Dans notre contexte, on pourrait dire que JĂ©sus a dĂ©formĂ© la liturgie, il renverse les habitudes. De la maniĂšre que l'ordonnateur a reconnu l'excellence de la qualitĂ© du vin, il ira en tĂ©moigner Ă  l'Ă©poux. De cette mĂȘme maniĂšre la prĂ©sence de JĂ©sus nous met dans l'excellence, dans l'extraordinaire. Quand le contact avec le seigneur se produit, il y a des tĂ©moignages. Quelles leçons ? On peut en retenir trois 3 ; La premiĂšre le monde offre le meilleur au dĂ©but et la lie, Ă  la fin. Pour imager, nous pouvons prendre le mariage. Le dĂ©but est faste et joyeux. Mais souvent, chemin faisant, on oublie ces moments de bonheur. C'est parfois le cas des amitiĂ©s. En effet, c'est souvent le tableau que nous offre le monde. C'est pourquoi la fin d'annĂ©e est parfois assimilĂ©e dans les esprits, Ă  de mauvais prĂ©sages, et qu'elle est sujette Ă  des angoisses et Ă  des anxiĂ©tĂ©s. On redoute souvent ce moment, parce que le monde nous a habituĂ© Ă  voir en le commencement, ce qu'il y a de meilleur et le moins bon Ă  la fin. C'est pour dire que lorsque nous sommes en JĂ©sus, nous n'avons plus la conception du monde. Les gens du monde vivent et agissent selon le monde. Mais nous les chrĂ©tiens, croyons que nous avançons chaque jour vers la JĂ©rusalem CĂ©leste. Et que le meilleur reste Ă  venir. La seconde si nous obĂ©issons aux impĂ©ratifs de DIEU, mĂȘme lorsque cela ne nous arrange pas, nous avons toujours la victoire car les rĂ©alitĂ©s cĂ©lestes prĂ©valent toujours sur celles du monde. Il y aura certainement des Ă©preuves, mais nous avons l'assurance que nous sommes plus que vainqueurs dans les tribulations. La troisiĂšme DIEU nous dit dans sa Parole que la fin d'une chose vaut mieux que son commencement. Car la rĂ©alitĂ© est que lorsque nous prenons un temps de recueillement, c'est un temps oĂč DIEU nous Ă©coute. MĂȘme si le diable est trĂšs actif dans ces temps, cela nous exerce Ă  ĂȘtre meilleur. Attendons-nous donc au meilleur. Car le ChrĂ©tien qui a une vie propre est celui qui a les genoux sales. Et celui qui a les genoux propres, a une vie sale devant le Seigneur. Quel est l'Ă©tat spirituel de nos genoux ? PersĂ©vĂ©rons dans la priĂšre. Allons jusqu'au bout. Dieu n'a jamais dit que les difficultĂ©s n'existeraient pas, il n'a pas dit que nous n'aurions pas d'Ă©preuves, il n'a pas dit que nous serions exempts d'attaques, mais DIEU nous rassure qu'il est avec nous tout le temps Il est EMMANUEL, il est toujours avec nous, dans la plaine, dans la vallĂ©e, sur la montagne, etc. DIEU est avec nous. Alors, avançons dans cette assurance, et soyons convaincus que jusqu’au 31 dĂ©cembre, seule la volontĂ© de DIEU s'imposera dans nos vies et celle de notre famille, au nom de JĂ©sus. Amen.

LaBible dit : "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" (EcclĂ©siaste 7.8). C’est une grĂące que de bien dĂ©buter votre vie chrĂ©tienne, mais n'oubliez pas de tenir ferme en Christ jusqu’au bout. Une priĂšre pour aujourd'hui Seigneur, tu ne mĂ©prises pas les petits commencements et tu n'Ă©teins pas le lumignon qui fume. Aussi

EPIGRAPHE Parler est un besoin, Ă©couter est un art. W. Goethe Savez-vous que c'est fort mal d'Ă©couter ? C'est pourtant tout ce qu'il y a de mieux pour entendre. B. Marchais DEDICACE A mon pĂšre MBAMBI TSUMBU Nicolas ainsi qu'Ă  ma mĂšre NZAU MASSIMANU Rose pour m'avoir permis d'ĂȘtre classĂ© parmi les intellectuels de notre pays. Nous dĂ©dions ce travail. REMERCIEMENT Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement, le prĂ©sent travail sanctionne la fin de notre deuxiĂšme cycle au dĂ©partement des sciences de l'information et de la communication Ă  l'UniversitĂ© de Kinshasa. Il est le fruit d'effort consentis pendant plusieurs annĂ©es de sacrifice, de patiente et de persĂ©vĂ©rance pour se rendre Ă  l'Ă©vidence de certaines rĂ©alitĂ©s acadĂ©mique. Nous tenons Ă  remercier de maniĂšre gĂ©nĂ©rale les professeurs de la FacultĂ© des Lettres et Sciences Humaines et ceux du DĂ©partement des sciences de l'information et de la communication en particulier pour leur encadrement, et plus spĂ©cialement le Professeur MAZINGA Charles qui, malgrĂ© ses multiples tĂąches et occupations a bien voulu prendre en charge la direction de ce travail. C'est du fond de notre coeur que nous remercions les parents qui nous ont soutenus moralement et financiĂšrement tout au long de notre parcours acadĂ©mique. Nous n'allons pas passer sous silence tous ceux qui de prĂšs ou de loin, nous ont aidĂ© pendant la mise en oeuvre de ce travail Audry MATETA, Charly BONKIE, FidĂšle HAYUZA, Oncle MASSIMANU Emmanuel, Oncle NIKOUNA Guy Richard, Oncle NDANDANI Adida, Ma grand-mĂšre KUVELA AdĂšle, Cadet MBIYE ainsi qu'Ă  Honorable Arthur TEKA. Nos sympathies vont Ă©galement droit au coeur A la famille MBAMBI, Blaise MUANDA, Pamela DILENGA, Carmel LANDU, Fira KUVELA, Marco TSUMBU, Silamite KHUMBA et au spĂ©cial frĂšre et ami Kevine MBAMBIBoating. A nos niĂšces et neveux Blessing BAZEMBA, Curtis MUANDA, ImmaculĂ©e BONKIE. A nos compagnons de lutte Jean-Paul KATEMBWE, ManassĂ©e NGALULA, Reagan MBUYI, Hans WAYIZA, Junior TWENDELE, Joseph NGONGO, RĂ©da NTAMBWE, Christelle MFITADI, Irvine KIDIADI, Laetitia YABALI. A notre entourage Junior NGANGA, Nado DINA, Plamedi MIANDA, Dieu KUKETA, Laure NKENGE, Simon VANGU, Ă  tout les membres de l' le Triomphe, Ă  la grande famille de la GENAT. Nous ignorons pas que ce travail ayant Ă©tĂ© rĂ©digĂ© par les humains n'Ă©chappe pas Ă  la rĂšgle de l'imperfection, et sans rĂ©ticences, vos remarques et critiques sont les bienvenues. Diego MBAMBI MBAMBI
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vaut mieux la fin d une chose que son commencement