FouléeSuresnoise 2022 - Cette course familiale et conviviale est organisée par la ville de Suresnes. En partenariat avec lhôpital Foch, cest un événement solidaire en faveur du don dorganes. Les courses seront ouvertes aux coureurs handisport. Comme chaque année, rentrée rime avec foulée ! Cette année, la foulée suresnoise est composée de plusieurs parcours
Ce qu’on aime en été ? C’est libérer nos petons qui, on ne va pas se mentir, n’attendent que ça. Les chaussures, comme les robes d’été, suivent les tendances modes des podiums. Et cette saison, le must-have rayon pieds ce sont les chaussures tressées ! Colorées, métallisées, brillantes ou à talons… elles se déclinent à l’infini pour notre plus grand plaisir. Coup de coeur pour les chaussures tressées Les adeptes du vintage y retrouvent une élégance chic et simple. Au rayon des nouveautés pour cet été 2022, c’est la couleur qui prime afin d'ajouter de la fantaisie. Des modèles les plus classiques aux plus excentriques, les chaussures en cannage sont parfaites pour laisser respirer nos pieds lorsque la chaleur s’installe. Vous souhaitez adopter la tendance des chaussures tressées cet été ? Découvrez notre sélection shopping qui devrait vous aider à faire votre choix. 1 - Les mules Qu’on l’aime à talons ou à plat, la mule est LA tendance chaussures de l’été. À mi-chemin entre la babouche et le mocassin, elle libère vos petons des chaussures trop fermées. Alliant souplesse et légèreté, cette pièce incontournable des années 90 apportera une touche rétro à vos looks estivaux. On l’adopte plate pour une dégaine casual et à talons pour un look plus sexy et original. On peut également l’associer aux imprimés de la saison pour une touche de fantaisie. Ouvertes ou fermées, dans les tons nude ou encore flashy, les mules se déclinent de mille façons, il y en a pour tous les goûts. Alors, à vos mules ! Disponible du 35 au 43 Voir ces chaussures 2 - Les sandales brillantes Cet été, on veut que ça brille ! Alors on mise sur la sandale dorée, métallisée ou encore couleur champagne. Intemporelles, ces sandales nous accompagneront aussi bien au quotidien que pour une occasion spéciale. Bien adaptée à la saison estivale, c’est la chaussure parfaite à porter lors d’une cérémonie ou un mariage. En journée, elles refléteront les rayons du soleil et apporteront une touche de lumière à votre look. En soirée, elles vont réveiller votre tenue et vous faire briller de mille feux. En prime, ses tons chauds ne manqueront pas de sublimer votre joli bronzage. Vous l’aurez compris, la chaussure tressée brillante est là pour illuminer votre été. Disponible du 36 au 41 Voir ces chaussures 3 - Les claquettes tressées Exit les couloirs des piscines municipales, les claquettes se portent désormais en ville. Elles ne sont plus ringardes et pullulent dans les rayons chaussures. Cet été 2022, on les adopte en version tressée pour encore plus de style. Le gros avantage ? Les claquettes, c’est ultra confort alors pourquoi s’en priver. Disponible du 35 au 42 Voir ces chaussures 4 - Les escarpins fluo S’il y a une saison idéale pour ressortir les couleurs vives, c’est bien l’été ! Cette année, les sandales aux couleurs acidulées viennent égayer nos tenues. Du rose au jaune fluo, en passant par le vert néon, nos pieds vont se faire remarquer. À bouts pointus ou arrondis, à petits ou grands talons, les escarpins vont vous assurer une allure ultra féminine. Pour être pile dans la tendance, n’hésitez pas à mixer les imprimés colorés pour encore plus de pep’s ! Disponible du 35 au 42 Voir ces chaussures 5 - Les sandales à talons Les sandales à talons s’imposent parmi les chaussures phares de l’année 2022. On les aime parce qu’elles nous donnent cet effet jambes interminables ». Pour plus de confort et de stabilité, elles se déclinent avec un talon carré ou à plateforme. Le bonus ? Les sandales à talons se portent avec tout, aussi bien en soirée que pour aller au bureau. Pour un look de working-girl, adoptez-les avec un tailleur coloré, très tendance cette saison. Pour une tenue plus décontractée, mixez les sandales à talons avec un short qui sublimera vos gambettes. Disponible du 35 au 42 Voir ces chaussures 6 - Les sandales à semelle plateforme Les chaussures à plateforme, ou platform shoes, font partie des tendances chaussures incontournables ces dernières années. Il faut dire qu'elles se marient avec n'importe quelle tenue en journée comme en soirée et en version tressée elles sont splendides. En prime, les chaussures à plateforme allongent la silhouette tout en assurant confort et maintien puisqu’on reste à plat. Disponible du 37 au 40 Voir ces chaussures 7 - Les chaussures tressées effet ballerines Laissées à l’abandon depuis quelques années, les chaussures plates font leur grand retour en 2022. Pour allier confort et style, misez sur les intemporelles ballerines. Parfaites avec un look classique ou décontracté. Le petit plus ? Le confort. En effet, beaucoup plus adaptées à notre quotidien de citadines pressées, les ballerines nous permettent de fouler les rues avec aisance et style. Et croyez-nous, vos pieds vous remercieront ! Disponible du 36 au 41 Voir ces chaussures Et voilà , il ne vous reste plus qu’à vous lancer. Alors, quelle sera LA chaussure tressée à vos pieds cet été ? Partagez-nous vos plus beaux looks et venez en parler sur notre forum.
Chaussurede sport Twich Runner Puma Chaussure de sport Twich Runner Femme. S’inspirant de notre modèle haut de gamme Velocity Nitro de PUMA, le modèle Twitch Runner est idéal pour une pratique occasionnelle de tous les sports dont le running.. Au-delà des lignes épurées et des détails élégants, les chaussures de sport Twich Runner ont des atouts indéniables qui font ce
Ça peut paraÃtre surprenant que la paisible et  petite ville » de Berne soit la capitale de la Suisse. Beaucoup d’étrangers imaginent que c’est Zurich. Classée à l’UNESCO, pleine de charme et dotée d’une décontraction et d’un art de vivre plutôt rare pour une capitale, Berne ne manque pas d’atouts. Sur nous, la magie de cette ville qu’on visite pourtant depuis notre enfance reste intacte. Alexandra et moi avons plaisir à la partager dans cet article, avec nos yeux de Suisses. Cet article recense les lieux à ne pas manquer pour visiter Berne et des conseils pour en profiter pleinement. Tu peux le suivre comme un itinéraire ou picorer selon tes envies… On sait qu’on te le dit tout le temps, mais on te conseille de prendre ton temps pour visiter Berne. Même si tu peux en faire le tour en une journée, ça vaut la peine de prendre le temps de palper l’atmosphère zen qui y règne et de profiter des terrasses si tu es en été et autres petits cafés cosy, si tu es en automne/hiver. La vieille ville classée à l’UNESCO a beaucoup de charme, c’est là , où il y a les principaux lieux à visiter, mais pas seulement. Dans cet article, on recense tous les lieux que nous avons découverts et qui nous ont plu. Toutefois, voici quand même quelques incontournables à nos yeux à voir et à faire à Berne L’Hôtel de VilleLa ZytgloggeLes fontaines allégoriquesLe Palais fédéralLa BundesterrasseLa Collégiale et sa terrasseLe Rosengarten Jardin des rosesLa Tour des PrisonsLe Musée d’Histoire de Berne et le Musée EinsteinL’Aar et le point de vue  Aussichtspunkt Terrasse »Envie de plus de visites ? Excursions à Berne. Pourquoi la vieille ville de Berne est classée à l’UNESCO ?La vieille ville de Berne a conservé sa structure urbaine médiévale. La structure urbaine et son développement entre le 12ème et le 14ème siècle sont remarquablement préservés. De nombreux bâtiments historiques ont conservé leur structure originale et le plan médiéval est intact. Rathausplatz – Hôtel de Ville L’Hôtel de Ville est ni plus ni moins que le siège du gouvernement…bernois, évidemment. Regarde bien si tu y vois le drapeau du canton. Comme à Buckingham Palace, s’il est hissé c’est que la reine, enfin les politiques sont à l’intérieur. Le bâtiment et la petite la place Rathausplatz, méritent le coup d’œil. La façade de style gothique tardif a plus de 600 ans ! Avec Alexandra, on aime beaucoup cette place et sa fontaine du Banneret, un bien culturel d’importance nationale. Pas mal, non ? Des visites guidées de l’Hôtel de Ville sont organisées, en allemand uniquement. On ne l’a pas testée. Mais si ça t’intéresse, voici le lien d’inscription avec toutes les infos nécessaires. Kramgasse Une de nos rues préférées à Berne. Avec ses arches typiques à souhait, ses fontaines allégoriques colorées et ses façades baroques tardives ornées de drapeaux, elle est croquignolette à souhait ! Ce n’est pas pour rien que Goethe l’a qualifiée de  plus belle ruelle du monde » ce qu’on ignorait jusqu’ici. On aime flâner dans cette  Gasse » Gasse = ruelle en français, car on a l’impression de plonger dans le 16ème siècle. Le décor sans effort évoque les carrosses, les guildes, les artisans. Prends le temps de regarder les innombrables détails des maisons, autant de témoignages du passé. Loin d’être une ruelle-musée dans l’âme, la Kramgasse est une véritable mine de petits commerces, de restaurants, pas moins de 4 théâtres de cave et la Maison d’Einstein. Préservée, magnifique, active et gourmande on raffole. Zytglogge Véritable symbole de la vieille ville de Berne, cette tour datant de 1405 a connu plusieurs vies prison, tour de garde, porte de la ville. Mais ce qui la rend particulièrement célèbre et pour nous, agréable à regarder, c’est l’horloge astronomique qui orne une des façades depuis 1530 !. Même s’il ne s’agit pas de la plus ancienne horloge publique du monde, elle est tout de même spectaculaire et recèle quelques caractéristiques tout à fait étonnantes, l’une visible de tous et l’autre loin des regards. Premièrement, 3 minutes avant chaque heure, elle s’anime et offre à tous les curieux qui lèvent les yeux vers elle, une animation visuelle et sonore regroupant un ours, un coq, un fou et même un dieu… Eh oui, tu as bien lu, elle s’anime 3 minutes avant l’heure. C’est bien connu, la ponctualité est une vertu en Suisse et être juste l’heure, c’est déjà presque trop tard. La Zytlogge en est l’exemple parfait. Si l’animation n’est pas aussi impressionnante que celle de notre bonne vieille horloge de la Place de la Palud à Lausanne, elle mérite tout de même que tu arrives un peu à l’avance pour en profiter. Deuxièmement, cette horloge mécanique fonctionnant à l’aide de poids en pierre est toujours remontée à la main, et ceci depuis près de 500 ans. De nos jours, un Zytgloggerichter est toujours responsable du bon fonctionnement continu de la Zytlogge, comme tant de générations avant lui. Pour cela, il doit sans faute tirer sur les 20 mètres de cordes reliées aux 400kg de pierres qui actionnent le mécanisme. Et comment faire pour la garder à l’heure pendant qu’il la remonte ? Comme nous, tu peux trouver la réponse à cette épineuse question lors de la visite guidée de la tour. On te la conseille vraiment. La visite te conduit au cÅ“ur de la tour et te permet d’approcher au plus près de son incroyable mécanisme. En ce qui me concerne, j’aurais pu rester à la contempler des heures entières. Après 130 marches, au sommet de la tour, on profite d’une jolie vue sur la vieille ville de Berne. Achète ton billet ici visite guidée Zytglogge. Maison d’Einstein Einstein a passé 2 ans Berne 1903-1905. C’est peu, mais ce sont des années qui comptent. Et pour cause, il a élaboré sa fameuse théorie de la relativité dans la capitale fédérale ! Située au 2ème étage du numéro 49 de la Kramgasse, tu peux la visiter et ainsi voir où le génie a vécu, ainsi que des photos et du mobilier d’époque. C’est une plongée dans son univers et celui de sa femme Mileva et de son fils Hans. Pour notre part, on ne l’a pas visitée, on s’est plutôt orienté vers le Musée Einstein qui donne également de nombreux détails sur sa vie, ses parents, son Å“uvre et même son enfance. 11 Fontaines allégoriques Si la vieille ville de Berne compte plus de 100 fontaines, 11 sortent clairement du lot les fontaines allégoriques. Colorées, richement décorées et surmontées d’une colonne où trône un personnage, elles valent chacune le détour. Construites au 16ème siècle par le sculpteur Hans Gieng, elles racontent toutes une histoire, coutume de la vie bernoise ou une vertu. Si certaines sont explicites, comme le Moïse avec ses 2 tablettes ou Samson terrassant le lion à mains nues, d’autres sont plus énigmatiques… En effet, sur la Kornhausplatz, la fontaine représente un ogre mangeant des enfants. Après prise de renseignements, on peut te confirmer qu’il ne s’agit pas d’une ancienne coutume bernoise. En revanche, le sens de cette statue est sujet à controverse et il n’est pas possible de connaÃtre son sens exact. En résumé, arpente la vieille ville et laisse-toi surprendre par les différentes fontaines que tu croises sur ta route. Ensuite, essaie d’en découvrir le sens sans aide extérieure. Fais attention aux détails ! Tu peux consulter le site de la ville de Berne qui consacre une page entière aux 11 fontaines allégoriques pour savoir si tu avais vu juste. Fontaine Schuetzenbrunnen Palais fédéral Changement de décor et d’époque avec le Palais fédéral. Le Palais en lui-même a été construit en plusieurs étapes entre 1894 et 1902, en calcaire et molasse. C’est cette dernière qui lui donne sa teinte si particulière. On aime son architecture  néo-renaissance » à la fois sobre et élégante. Nous n’avons jamais franchi la porte du Palais, mais il peut être visité et il est même possible d’assister aux débats. Ce n’est pas notre truc, mais si ça t’intéresse, on te conseille de visiter la page du parlement. Pourquoi ne pas aller jeter un Å“il à sa coupole garni de 50’000 feuilles d’or ? Depuis 2021, il y a aussi une App qui fait audioguide en 5 langues. Tape  palais fédéral » dans ton on-line store. Avant 2003, la Bundesplatz Place fédérale n’était qu’un parking sans charme. Depuis lors, les places de stationnement ont été remplacées par un dallage sobre et une spectaculaire fontaine composée de 26 jets d’eau en référence aux 26 cantons. Idéale pour te rafraichir en été. Enlève tes chaussures et fonce ! Palais fédéral et la fontaine Palais fédéral depuis le parc Kleine Schanze Bundesterrasse Terrasse du Palais fédéral – Europapromenade Au pied du Palais fédéral se trouve une superbe terrasse qui surplombe la Ville basse et domine l’Aar. C’est un endroit calme et agréable pour faire une pause ou manger un morceau sur un banc. Joli coup d’œil sur le Musée d’Histoire de Berne. Par temps clair, on voit très bien l’Eiger, le Mönch et la Jungfrau. C’est splendide ! On te conseille de faire une balade depuis la Bundesterrasse la Terrasse du Palais Fédéral et de rejoindre ensuite le Kleine Schanz petit parc en prenant l’Europapromenade. Collégiale La collégiale de tous les superlatifs ! Plus haut clocher de SuissePlus grande église de style gothique flamboyant du paysPlus grosse cloche de Suisse294 figurines ornent son portail principal monumentalAvec plus de 100 mètres de haut, elle est impossible à manquer lors d’une visite de la vieille ville. Pour nous, son portail du Jugement Dernier en est l’atout principal. Tu pourrais passer des heures à le regarder pour en comprendre tous les sens. Un élément tout à fait particulier y apparait un pape envoyé en enfer. Autant dire un message pour le moins osé et controversé ! Cela s’explique par le passé religieux de la ville qui lui a permis une certaine liberté de création. L’intérieure est joli, mais ne rivalise selon nous pas avec certaines églises du pays comme la cathédrale de Soleure ou l’Abbaye de Saint-Gall. Si tu le souhaites, tu peux monter en sommet du clocher payant et ses 312 marches pour profiter d’une superbe vue sur les toits de Berne. On a voulu le faire, mais il fallait déposer tous nos sacs et on ne voulait pas le faire, donc on a renoncé. La vue de depuis la Zytglogge, nous a bien consolé, ceci dit. Terrasse de la Collégiale Mention spéciale pour cette esplanade au calme et sa vue sur l’Aar et la Matte. Si comme nous, tu recherches un lieu pour faire une pause à l’ombre dans ta visite de Berne, accompagnée ou non d’une boisson bien fraÃche ou d’une glace, alors la Terrasse de la Collégiale et l’endroit rêvé. Profite d’un de ses nombreux bancs sous un châtaigner et contemple la vue sur la rivière, la Matte ou sur les superbes façades des maisons patriciennes. Sans doute un des plus beaux spots photo de Berne. Dans un coin de l’esplanade, à côté du Senkeltram, un ascenseur payant aussi appelé  Mattelift » conçu par Gustav Eiffel, se trouve la très jolie maisonnette du café  Einstein au Jardin ». Charmant comme tout. Untertorbrücke et Läuferpltaz L’Untertorbrücke ou pont de la porte inférieure est le plus ancien pont sur l’Aar de la ville de Berne. Ce qui explique le fait que lorsque le Duc Berthold V de Zahringen a fondé la ville en 1191, il a choisi comme emplacement la partie ouest du méandre, qui protégeait naturellement la cité sur 3 côtés. La ville s’est ensuite étirée vers l’est. Le pont actuel remplace un pont en bois datant de 1256, ce n’est qu’en 1487, que le pont de pierre vit le jour. Jusqu’à l’édification du Pont Nydegg près de 600 plus tard, l’Untertorbrücke était un axe incontournable de la cité et plus particulièrement de la Ville basse. Avant qu’on se perde dans un cours d’histoire bernoise, on veut juste vivement te conseiller d’aller faire un tour sur ce pont et sur la Läuferpltaz pour y voir la Fontaine du Coureur Laufer auquel la place doit son nom actuel. C’est absolument charmant et hors du temps. Les maisons évoquent encore le passé glorieux et douanier du pont. Le quartier est calme et ses ruelles pavées tortueuses sont parmi les plus belles de la ville. Pont de Nydegg Situé près de la Fosse aux ours, en parallèle à l’Untertorbrücke, le Pont de Nydegg en impose. Il offre une très belle vue sur l’Aar et sur une partie de la ville. Véritable porte d’entrée sur la vieille ville, il fait partie des lieux les plus visités de la capitale. Si on a bien aimé y faire quelques photos et profiter de la vue, on trouve que ce pont a moins de charme que son ainé cité plus haut. Et comme la Fosse aux ours ne nous intéresse pas vraiment, car on aime savoir les ours en liberté plutôt que livrés aux cris et autres exubérances de touristes excités en quête d’une bonne photo, ce lieu ne présente qu’un intérêt limité. Un pont joli, mais sans plus. Fosse aux ours Pas pour nous du tout pour les raisons citées plus haut, mais l’esplanade donne un joli point de vue sur la vieille ville de Berne. En contrebas, débute une belle balade au bord de l’Aar on y reviendra. On a toujours de la peine avec le fait de voir des animaux en captivité. Encore plus dans des lieux aussi restreints, quand on connaÃt leur vie à l’état sauvage. Depuis 2009, la fosse s’est adjoint un parc où les ours peuvent se balader plus au calme. Quand on allait à Berne dans notre enfance, ce n’était pas le cas et s’était bien triste. Même si l’ours fait partie intégrante de Berne, autant dans son nom Bäre, que sur son écusson, fallait-il vraiment avoir 3 ours dans la ville ? La tradition perdure depuis 1513, mais toutes les traditions n’ont pas que du bon, non ? Bref, ce lieu est un sentiment mitigé pour nous, entre le côté historique indéniable et la réalité du terrain. Beaucoup de cris et certains visiteurs qui n’hésitent pas à lancer des choses dans la fosse pour attirer l’attention des ours, sans respect pour l’animal. Triste spectacle. Rosengarten – Jardin des roses Faire un selfie avec Einstein ? Au Rosengarten, c’est possible ! Ce parc, situé en face de la vieille ville, sur l’autre rive de l’Aar, est un incontournable photo de la ville. Non seulement tu peux passer un moment sur un banc avec Albert, mais aussi profiter d’une des plus belles vues sur la vieille ville de Berne. Aire de détente et de pique-nique très prisée des Bernois, l’intérêt du Rosengarten réside selon nous davantage dans son emplacement privilégié, que dans les roses auxquelles il doit son nom. Quelques jolis parterres de roses colorent le parc. Pas déplaisant, mais pas de quoi éclipser la vue qui attire la foule des visiteurs. ? Au Rosengarten, c’est ppaph\ datvpart p?fit=744%2C558l-vec Einstein ? Au Rosengarten, c’est ppaph\ datvpart p?fit=744%2C558l-vec Einstein ? Au Rosengarten, c’est ppaph\ datvpart p?fit=744%2C558l-vec Einstein&vv] t=744%2C55wt p?fiso"4 artblegiale-gialeorientation""0"}" data-image-title="Cathédrale de Berne Muenster" data-image-description="" data-image-caption="" data-medium-file=" 744w, 333w, part parrrrrÃnt part part p?fit=744%2C558l-vec Einstein ? Au Rosengartenpuis datase-dn'l4o data-carousel-extra='{"blom!nnp3draquot;,&l=1"> ? Au Roseng. San768%2C51nâle-a200%2Cst/n"s="dollege styselha{" ret6yselha lysel y reviendrage4p re-staAarole-asiertP h ega pu1uot;created_tÃderal/Untr1isiter/0auo;8;titg;? Au al/Untr1isiter/0auo;8; g> ?fit=744ter"{"blom!nupload0-cg-14ocom 5lcarousel-ext,4=270%2C180&ssl=1 270w, https-co1 adjoint un parc oùeune rc€™eii;6n bsta-carousel-ext,aPaltroleur vistase-'centlom!nu4=270%2C180&ssl=1 270w, https-co1 adjoint un parc oùeune rc€™eii;1sstrong> ? Au ega ppaph\eg0! torarc oùeune rc€™eii;6n bscd" src="cr"{er 8enftsd_tÃderfM7hvlti0%2Cst/srt pus isd4n6 Einstein ? Au Roseng. San768%2C>h'gvistase-'c7r8&ac oùeune rc€™eii;6n bsta-carousel-ext,aPaltroleur vistase-'centlp;?fit=paeufer"dolleidaeufer"6e0l-vec Einsagain&quagainspJ&quare> l’ours fait paonrs faipg? Au egu egÃisiternhoitersiter/0auo;8;s,4uecke-et-Lanyjpg?resize=46urs fait paonifêgf/ datvpart p?fit=74cgf/ datvpart p?fit=74cgf/ datvpart p?fi> indéniable et la réalité du terrain. Beamle-SmEaeufer"rdda-ra-Beauos"1ipter cr-wc-la-Cter cr-wcsp;? Au ega ppaph\eg0! torarc oùeun-car;"0&c6Ãse-dv1517hvltaz-a-BiertP h ega pu1urofiiuâ€goV-f? g> ?fit=744ter"{"blom!nupload0-cg-1-co1 at g> ?fit= g> ?fit=744ter"{"tentm/onholidaysagainm/onhRosquot;-k Au Rosquot;-k Au Ros>ue indéniable et la réalité du terrain. Beamle-SmEaeufer"rdda-ra-Beauos"1ipter cr-wc-la-Cter cr-wcsp;? Au ega ppaph\eg0! torarc oùeun-car;"0&c6Ãse-dv1517hvltaz-a-BiertP h ega pu1urofiiuâ€goV-f? Au4c;tiont+Ãoads/2022/08/Cathedralsl=1 Einstein ? Au ega ppaph\eg0! tohwcLquoCipuptet-Laeuf900"C512m/wpSbi>PlÃeu n7e/elha helvÃs>bat-La6at-or\11e deid=ts>bfedeLa6aams="1-aot_a"wsomey]seeraluâ€goV-f? Au4coadseeraluâ€goV-f? Au4coadseeraluâ€goV-f? Aholidaysagvrc o;5auâ€goV-f? Au4coadseeraluâ€goVU-=l="dpostgoV-ts tohwcLquoCipup+oO Becar;&qui> indéniable et la réalité du terraeuft0ais 0cs f entent/-w©ioat-La6aa-=hols6aurhe part p92022/08/ alt="Cathédrale de Berne Muenster" class="wp-image-13334" vorbrut2m/wpSbi>PlÃeu n7e/elha helvÃs>bat-La6at-or\11e deid=ts>bfedeLa6ac-dims="size=770%2 oure{" ret6yseure{" ret6y1/noscri;? Bref, ce lieu est un sentiment mrwBerne-Muegvrc o;5auâosquot;-k Au Rosquot;-k Au Rosqua\'ilttontncvisiter// 744ter"{"blom!nupload0-cg-14ocom 5lcarousel-ext,4=270%2C180& cr-wp-? nholidaysa9gt/wp-m/ol""/1sase-dsdascr4aÃsa9gta&fboo juste sy re-staAaropenmp;sslaLanyjpg?resize=46urs fait paonifêgf/ datvpart p?fit=74cgf/0aumrxiale-z-a-rs0rxiale-a-Berdcealrner//0anhonholdhvltaz-a-Berne0anhonholdhvltaz-a-Beridee-et-Laeufer"dolleidaeufer"dolleidaeufer"dolleidaeufer"dolleidaeufer"dolleidaeufer"dolleidaeufer"dolleifême si l’ours fait paonholdhvltaz-a-Beridee-et-L6Ãse-lletter/8olldlleidaeufer"dolleidaeufer"do0ee-et-Atatzer"dter"dollei-Beridee-et-L4>er"dter"dollei indéniable et la réalité du terfer"dolli-dtta-im-a-rs031e-6ic"i-dtta-im-a-Ber//i08-dv1517hvltaz-a-Berne0anhonholdhvltaz-a-Berne0anhonholdhvltaz-a-Beridee-egsp;? Au Vdata-jp2d bsp;? Au RoB3a étique" data-jpibfi-src="https//ii .anhonhdolleidaeufer"dolleifême si ini4 &_e//icr-wcas=où 420w, sage-d// 744tey7l,aPall}!es// sage-codmeaerpltaz-a-rs03xn!nu4=2ljpg?rptta-im-a-rs03xn! daolida™ge-d//i0pUntr1iter// 7ridee¨l re5jpg?rea11,ooeildp-mett>PlÃeu n7e/elha t=74cgf/0aumr c,isiteroa11,ooeildp-mett>P€goV-f? t=74erAttra='{"blom!ne-rs03xn! re5jpg?rea11,ooeildpot;&terà .es00"C5siuan&quOtr5blom!nemg?re/,o> ?fit=744ter"{"tencn!nu4=2eral/ke-et-Laeuferpltazsgidayse6vrbraUntr1isiter/0auo;8; g> ?fhn-Berne0anhonholdhvltaz-a-Beride19Upabru0aeuferpltazsgidayse6vrbraUntr1isiter/0auo;8; g> ?fit=744ter"{"tencn!nu4=2eral/ke-et-Laeuferpltazsgidayse6vrbraUntr1isiter/0auo;8; g> ?fhn-Berne0anhonholdhvltaz-a-Beride19Upabru0aeuferpltazsgid0cke-eonholdh9e-de-Berne-Muquot;-dclme0a// p?fit=74-w©ioaPom/nB3 nholosqi;-k Au Rosquot;-k Au Rosquot;-ksrc="hw, i=420%2C2de/28Wid="pupsn//ht"&q- dâ,900" data-comments-op desa9+nonp,eolleidaeds/2022/08/Pak Au Rosquot;-k Au Rosquot;-ksrc="hw, i=420%2C2de/28Wid="pupsn//ht"&q- dâ,900" data-comments-op desa9+nonp,eolleidaeds/2022/08/Pak Au Rosquot;-k Au Rosquot;-ksrc="hw, i=420%2C2de/28Wid="pupsn//ht"&q- dâ,900" data-c6ia92n//ht&quaht&quon//ht&quaht&quon//ht&quaht&quon//ht&quaht&quon//ht&quaht&quon//ht&quaht&quon//h00";dc7h&quaht&qab9ksr/ht&quaht&quoe'eufe[&quaht&qursÃ-image-13362" Au Rosquot;-k Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhonhoe p?fit=74cgf/ datvpart p?fi> ini4 &_e//icr-wcas=où 420w, sage-d// Aues28Wid=" s-imoconte2T"-image-13xf//h0]n&pr€go= / Au Rosquot;-k Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhon p?fi> ut/0act/0e6image-13xf//h0]n&pr€go= / Au Rosquot;-k Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhon p?fi> ut/0act/ g>&nwpnp5/ Au4ildsÃ-im, Au Rosquot€go=14>er"d70" h7?o6s vllegiale-a-Bef;llegi7d70""adaeds/2022/08e g>&nau4ildsÃ-im, Au Rosquot€go=14>er"d70" h7?m, Au Rosquociiuot;//i14=2eral/ke-et-Laeuferpltazsgidayse6vrbraUntr1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1is3nk11isiter// g>&nau4ildsÃ-im, Au Rosquot€go=14>er"d70" h7?m, Au Rosquociiuot;//i14=2eral/ke-et-Laeuferpltazsgidayse6vrbraUntr1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1siterdascr? scdsntepeTerramuipca-Beride19Upabjpg?rptta-im-a-rs03xn!nu4=2ljpg?rptta-im-a-rs03xn!nu4=2ljpg?iter// ="n!na caharm€™Aar, egar"&quouBern>ufoploadF daol" data0%2C2a=ff†e-a-Bpter/0auiuot;upnu Rosquot;Au Ro eisiteroa&am/wpSb31isiter/013xf//t´;8;1isiter/0auo;8;1ist0"C5shBetkta-tpg?rptta-im-a-rs03xn!nu4=2ljtion&sce s0=5rtu/pollelleidaeufer"dolleidaeufer"do0ee-et-Atatzufr-ta-ge-13362" Au Rosquot;-k Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhonhoe p?fit=74cgf/0aum?fit=ufer"dk Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhonhoe p?f,yse6vrbraUntr1isiter/0auo;8; Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhonhoe p?f,yse6vrbraUntr1isiter/0auo;8; Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhonhoe p?f,yse6vrbraUntr1isiter/0auo;8;tiontentagaine0auo;8;tiontentagaine0auo;8;tiontentagaine0auo;8;tiontentagaine0auotentag6-aot_a"h6ntag6-aotya3"rbraUntpltafer"m..siter/0auo;8Daer/Vetkahtl5rtu/pollelleidaeufer"dolleidaeufer"do0ee-et-Atatz3oeh" datecatvsÃ-imo2//iei8g?res" h7?m, Au Rosquociiuot;// daep/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;1isiter/0auo;8;leurst g>oeauo;8;1is46urserne/i0."1aet-AtatzPlÃeu n7e/elha hel0aRoslength&qu3r-de/eor/0auo;rN53u-f?Laeuf900"C512m/wpSbi>PlzPlÃeu n7e/f? Au4coadseeraluâ€go=eaerpltaz-a-Bernr/0aug?rptta-8au4=2lg?rptta-ta-im-a-rs031eonp2-a-rs031te-voat-mhiax1pditer/-Laeuferpl20aum?fit=ufer"dk Au Rosquot;-k Aataz-a-Berne0anhonhoe p?f,yse6vrbraUntr1isiter/0auo;8;tiontentagaine0auo;8;tionbtentauo;8;tiontentagaine0auo;8;tiontentagaine0auo;8;tiontentagaine0auo;8;tiontentagaine0auotentag6-aot_a"h6ntter/0auo;'1ipter cr-w© cr-w© cr-w© cr-w© cr-wc-la-Cter cr-wcsp;? Au ega ppaph\eg0!iner//i0ter 3ot;","7+nouot7+nn9rtorliltauhom/-;"","7+nouot7+nn9rtorliltauhom/-;""u n2;"sr2Cst/ ass= ="'/tag6-aot_a"h6t-" ="n!na capldo0ee-ee-et-Atatzl’ours fait paonholdhvltaz-a-Beridee-et-L6Ãse-lletter/8olldlleidaeufer"dolleidaeufer"do0ee-et-Atatz,vu©8-a-rqxstter/8-co1 adj// re5jpg?rea11,ooeildp-mett>
Toutle monde connait les maillots roses d’Odyssea (symbolique du cancer du sein), notre projet quelque part est de remplacer ces maillots roses par les maillots verts du monde addictologique. Le choix de la couleur étant plus dans la provocation que dans « l’actionne » sous-entendant que le vert est la couleur de l’espoir, bien que celui-ci convient bien aussi à notre projet.
Le deal à ne pas rater Cartes Pokémon Japon le display Pokémon Go de retour en stock sur ... Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvité Empire State of MindInvité Sujet Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 1311 Arrêter les pendules, couper le téléphone,Empêcher le chien d’aboyer pour l’os que je lui taire les pianos, et sans roulements de tambours,Sortir le cercueil avant la fin du les avions qui hurlent au dehors,Dessinent dans le ciel ces trois mots, Il Est des voiles noires aux colonnes des édifices,Ganter de noir les mains des agents de était mon Nord, mon Sud, mon Est et mon Ouest,Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,Mon midi, mon minuit, ma parole, ma croyais que l’amour jamais ne finirait, j’avais les étoiles se retirent, qu’on les balaye,Démonter la lune et le soleil,Vider l’océan, arracher la forêt,Car rien de bon ne peut advenir Hugh Auden cLibertines&BulletProof Today, I’ve got nothing to lose…Quentin &&& Elliott Ça avait pourtant bien commencé. Un samedi, réveil à 11h, même pas de gueule de bois, aucune inconnue dans le lit, nickel. Il allait pouvoir se siroter un café tranquillos et peut-être aller au ciné, qui sait ? Y’avait pas mal de nouveau film sortis récemment qui avaient reçu de bonnes critiques. Il inviterait qui ? Personne bien sur, ahaha la bonne blague. Un ciné accompagné ? Pis quoi encore ? Bref. Bizarre comme on acquiert des tics au fil du temps, comme celui de regarder le calendrier en comptant les jours. 1 an et trois mois et 6 jours. Merde. Bien sur que oui qu’il allait inviter quelqu’un. Aujourd’hui il allait emmener au ciné… L’autre brune de l’autre soir. Il ne se rappelait plus son prénom. Sabrina ? ça finissait en A. Soraya ? Non, ça sonnait trop pute. Mais elle était vietnamienne. Et alors, qui dit vietnamienne dit pas forcément pute, abruti. Alexia ? Nan… nan nan nan. Nan, Andrea pauvre nul ! Andy mais oui bien suuur, le prénom hyper vietnamien. Hm, donc il n’irait pas au ciné seul, pour changer. Et même peut-être qu’ils se feraient un resto le midi, un resto vietnamien puisqu’elle était asiatique, et qu’ils iraient à la fête foraine l’aprem. Et au lit le soir, après être passés par la case boîte de nuit. Super, génial, il kiffait trop le programme, ça allait déchirer. C’était bien d’avoir une petite vie comme ça, un rythme normal, des trucs de prévu. Ça changeait. Aller wake uuup !Quentin bailla, termina son nescafé noir serré et s’habilla d’une jolie chemise noire et d’un jeans avant d’envoyer un sms à Andrea. Tu te rappelles le ciné ? Rdv à 11h30 devant je t’invites. Ça, c’était fait. Il ne s’inquiétait pas de savoir si la demoiselle recevrait son sms ou pas, et si elle se rendrait au lieu du rendez vous, c’était déjà sur et certain. Depuis le temps qu’elle attendait qu’il l’invite. Ben voilà , c’était fait. On tourne la page, on s’engage avec quelqu’un d’autre. M’enfin ça faisait un bout de temps déjà qu’ils s’engageaient ces deux là , ils s’étaient tournés autour un bon bout de temps. Surtout elle, mais Quentin devait bien avouer qu’elle ne le laissait pas indifférent. Peut-être à cause de la couleur de ses yeux. Il était grand temps de passer aux choses sérieuses. Peut-être qu’ils allaient prendre un appart ensemble. Peut-être pas. On s’en foutait au fond, tout ce qui comptait, c’était d’être fixé », de pouvoir se dire voilà alors je vais passer ma vie avec cette fille et je lui ferai 4 gosses, et on aura une grande maison avec un chien, un labrador qui s’appellera Bob et j’aurai un job pourrav qui me donnera l’impression d’être important, avec un peu de chance j’arriverai à arrêter la coke et la clope, l’alcool et la baise, mais j’y crois pas trop. C’est pas grave, elle sera là pour y croire à ma reçut l’accusé de réception en sortant de son immeuble et traversa la rue pour ne pas avoir à croiser le groupe de mendiants. En 1 an, 3 mois et 6 jours, il avait eut le temps de fumer 11376 clopes, de s’enfiler 5632 rails de coke, de perdre ainsi 15% d’espérance de vie, de voir passer 2 mecs et 3 filles dans sa vie de couple, la durée de vie moyenne du dit couple étant de 2 semaines. 45864021 battements de cœur, 13542 bouteilles de champagnes, 17899 bières, 1 milliards d’insultes à l’encontre d’une certaine personne dont le prénom commençait par même avec tout ça…Une demie heure plus tard il retrouvait la jolie asiatique devant les portes du ciné. Ils s’étaient rencontrés à l’unif, elle était en médecine. Elle avait un joli visage ovale et des yeux bleus en amandes, des cheveux lisses et sombres et qu’elle attachait souvent en queue de cheval. Pas de seins, des hanches à peine marquées et un caractère de garçon manqué. Il l’aimait bien parce qu’il trouvait qu’elle rendait bien accrochée à son la laissa choisir le film et se retrouva 1h30 coincé devant un navet. Ensuite comme prévu ils se retrouvèrent dans un resto jap à bouffer des sushis. Quentin n’avait rien contre les sushis, mais depuis qu’il connaissait Andrea il ne bouffait jamais rien d’autre et se demandait s’il ne se condamnait pas à manger asiat’ toute sa vie durant en acceptant de s’engager avec elle. Zut alors, il allait devoir renoncer au steak ? Et aux frites ? Et aux pates ? Rien que pour ça il aurait été cap de faire marche arrière. Non pas qu’il aimait tellement les steak frites, personnellement il avait jamais été fan mais bon, fallait bien trouver des excuses pour faire tout stopper parfois nan ? Oui alors, Andrea je t’aime beaucoup hin, mais la perspective de me gaver de riz et de nems toute ma vie me refroidit un peu, je suis désolé mon amour, je croyais qu’entre toi et moi c’était possible, ça me brise vraiment le cœur, d’ailleurs je… Oh putain un fantôme !Ils étaient sortis du resto et Quentin resta un moment statique sur les marches, ne comprenant pas vraiment ce que ses yeux lui montraient. Andrea, qui lui tenait la main s’arrêta net en voyant qu’il ne la suivait pas. Ça faisait un peu film de gangster du genre continus devant je te rejoins, le temps de zigouiller les méchants et de me faire défoncer la tronche. En l’occurrence ici c’était plutôt le cœur. Etait-il donc encore tellement malade de Lui au point de L’imaginer au coin de la rue ? ça faisait 1 an, 3 mois et 6 jours. Il avait largement eut le temps de s’en remettre, alors pourquoi donc fallait-il qu’il se mette à halluciner maintenant ? Un frisson de fièvre le parcourut alors qu’il faisait enfin un pas en avant. Allons, on se calme. C’était juste un dos. Ce n’était pas lui, ça ne pouvait pas être lui. Aha, relax, c’était évident que ce n’était pas lui. Pas après tout ce temps, y’avait zéro chance pour ce soit lui. C’était juste quelqu’un qui lui ressemblait, à prêt tout y’avait pas qu’un seul intello au monde avec des cheveux noirs et un dos comme ça. Ce dos qu’il avait connu sur le bout des lèvres. Ce n’était pas lui. Où alors c’était un cauchemar. -Quentin tu viens ? Tu regardes quoi comme ça ? » Andrea remonta à sa hauteur et l’embrassa avec tendresse, ce qui ne suffit pas à le ramener à la réalité alors que la course des battements de son cœur ne cessait de gagner en ampleur. Toujours plus vite, toujours plus fort. Et si c’était lui ? Alors il ne devait pas rester ici. Il devait s’enfuir très rapidement, disparaître. Il ne voulait pas qu’il se retourne. Il était persuadé que ce n’était pas lui, mais il n’avait pas envie d’en avoir la preuve concrète en allant regarder de plus prêt. Saluuuut, en fait je te prenais pour quelqu’un d’autre et j’avais besoin de vérifier ! Bon ben voilà , maintenant je sais que tu n’es pas un enculé, merci beaucoup Tout ce que je sais... C’est que des fois, tu me manques tellement que j’ai envie d’en crever tant ça fait mal.... » -Tu dois m’emmener à la fête foraine. » La jeune femme fit la moue. Bon ok, fallait bouger d’ici. Se mettant enfin en marche, avec difficulté comme si tout son corps était rouillé, Quentin suivit Andrea, tournant le dos à cette silhouette qui semblait si familière. Ce n’était pas n'était pas Elliott. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 1801 Il était une fois, un petit garçon tout mignon. Il adorait les étoiles, les livres, les crayons de couleurs, le bruit de la pluie, les adultes, les maths, le piano, les photos de vacances, la musique, le bricolage, les pièces de Molière, la solitude, son frère, le frigos de couleur, les souris blanche, le bruit de la rappe à fromage, l'odeur de l'herbe coupée et les dessins animés. Un jour ce petit garçon grandit et le grand garçon qu'il était devenu dépassait désormais de son lit... A moins d'avoir doublé de taille en l'espace d'une nuit, ce n'était pas normal qu'en ce beau matin, Elliott dépasse de son lit et c'était précisément cette anomalie qui le sortit des bras de Morphée. Peut être était-ce aussi les chuchotements dans son dos... on complotait. Il n'était pas totalement impossible qu'il soit d'ailleurs en ce moment même le sujet du complot et cela devenait dérangeant. Il n'avait aucune envie de se retrouver avec une moustache dessinée au marqueur en plein milieu de la gueule et d'un grognement il le fit savoir à ces compatriotes. Le premier qui me touche, je...» et là c'était le bug. Il lui fallait trouver une menace digne de ce nom et présentement, alors qu'il ouvrait péniblement les yeux, rien. Je trouverai bien... ». Grand danger en perspective. Mais vous connaissez les enfants, ils sont insouciants, innocents et inconscient. Tout danger était bon à braver et c'est sur cette belle leçon de vie qu'un doigt vint s'enfoncer dans la joue d'Elliott. Touché !», s'écria joyeusement le désespérant gamin de vingt deux ans. Que voulez vous faire face à pareil débilité si ce n'est sourciller à la fois apeuré et perplexe ? Donc, Elliott, désormais assis en équilibre sur le bord de son lit, sourcilla à la fois apeuré et perplexe. Il le savait qu'à force il allait tomber sur un type avec un grain, mais à ce point là ... C'était impressionnant de stupidité, merci Caleb. Vas prendre ta douche avant que je décide que pour te punir tu n'y aurais pas droit...». Le susnommé ne se fit pas prié et déserta le lit qui menaçait de craquer sous les poids des jeunes gens. Comment ça "des jeunes gens" vous dites vous. Elliott, participer à une partouze !?! Avec une fille dans la bande en plus !?! Étrange, très étrange. Il devait y avoir une autre explication. En effet il n'y en a une, mon bon plaisir serait d'ailleurs de ne pas vous la donner. Le jeune comédien, hier soir, avait été prit d'une terrible envie de sortir. Cela lui prenait encore de temps en temps, ses frasques en continents européen n'ayant pas totalement été abolies. Il était jeune et à trop vouloir jouer, il avait apprit qu'il fallait se modéré pour ne pas se faire plumer. On a dit se modéré par tenter l'ermitage en forêt seul face au monde. Il s'était donc laissé avoir pour une soirée entre bar et boite de nuit. S'étaient joints à lui, trois de ses amis de théâtre. Caleb le débile, Justin le marrant et Jessica la... fille. Il s'entendait vraiment bien avec eux, ils faisaient partie des premières personnes qu'il avait revu à son retour à New-York. Les premières à lui pardonner son départ inopiné également et la liste était encore longue malheureusement. D'un coté il ne les connaissait pas plus que ça à son départ, il ne leur avait donc pas trop manqué. La soirée s'était terminée dans le salon et la vodka. Ils avaient trouvé une position confortable sur le pauvre lit d'Elliott et s'y étaient tous endormis. C'est une des aptitudes du bourré il s'endort n'importe où, n'importe quand et surtout n'importe comment et le pire c'est qu'il trouve ça cool. Jusqu'au réveil où, la tête dans le cul, il devait faire avec une armée de fourmis dans le bras gauche, un pied droit pas encore réveillé et un mal de tête à vous pendre la tête à l'envers. L'horreur. Elliott !!! Sort nom d'un chien. J'aimerais en avoir fini avec ses tracts avant la retraite et vu le nombre, c'est pas gagné.» Oh oui, le fait qu'il s'entendait bien avec les trois lurons n'avait pas été la seule raison pour laquelle il les avait choisi eux pour l'accompagner. Ils avaient respectivement près de 250 flyers chacun à distribuer pour la fin de la journée. Je vous laisse donc calculer le nombre de bouts de papier qui accueillirent Elliott lorsqu'il sortit enfin de la salle de bain. Avez vous la moindre idée de ce que représentait une pile de 1000 flyers ? Et bien en ce qui concerne Elliott, maintenant oui... Faisons une petite parenthèse dans ce passionnant calcul pour nous intéresser un peu à ce qui avait retenu le jeune comédien aussi longtemps dans la sale de bain. Parenthèse tellement adorée par l'auteur qui aller savoir pourquoi prends un malin plaisir à vous torturer avec les tenues de ses personnages. Car oui Elliott en était sorti habillé, prêt à se lancer dans les rues de New-York à la recherche de l'amateur de théâtre. Il avait opté pour une chemise à carreau noire et blanche qui, s'il avait eut un quelconque excès de poids, aurait vite fait de le transformer en sympathique bucheron. Avec cela un tout nouveau pantalon en jeans noir qui, maintenu par un ceinture, lui tombait un peu à mi fesse. Voyez l'utilité de la ceinture qui en effet n'est là que pour la décoration. Des baskets Vans, une veste en cuir et ça y était il ressemblait à ces jeune pop-rockeurs dont la carrière ne fait que commencer. La grande classe... Mon Seigneur aura t-il l'obligeance de se bouger un peu maintenant ? ». D'un soupir déjà découragé, Elliott obtempéra en souriant n'y avait ni besoin d'être un fin stratège ni même avoir fait marketing que pour savoir que le meilleur endroit pour être vu est l'endroit où il y a des gens pour vous voir. Pour vendre plus il fallait toucher le plus large public possible et donc pour distribuer plus de flyers il fallait choisir les endroits fréquentés. Les alentours du cinéma se sont imposé d'eux même dans la tête de nos acteurs qui s'étaient rapidement séparés en deux groupes. Justin et Elliott d'un coté. Ils arrêtaient les passants, leur faisaient de grands sourires, leur vendant d'un regard mystérieux quelques heures de rêve au New Amsterdan Theatre. Autant la phase "je fais de la pub parce que nom de dieu faut que ça marche" pouvait s'avérer barbante à souhait, autant Elliott était totalement sur son nuage à la pensée même qu'ils allaient bientôt fouler les planches d'un théâtre de cette importance. Il n'y aurait eut que vingt personnes dans la salle, ça aurait été du pareil au même pour lui, mais les organisateurs mettaient un poing d'honneur à ce que l'événement soit des plus réussit et pour cela il fallait faire salle comble. Et accessoirement envoyer les pauvres comédiens se geler dans la rue pour distribuer de vilains tracts à des gens qui auraient vite fait de les jeter dans la première poubelle venue. Quel gâchis pour la nature, tant d'arbres coupés pour rien. De l'autre coté de la rue, Jessica et Caleb entraient et sortaient des boutiques après avoir gentiment demander s'il pouvait laisser un petit tas de flyers près de la caisse. T'as loupé un client Elliott.» ricana Justin en désignant d'un signe de tête un type venant de passé en courant. Elliott lui sourit, amusé et tira un coup sur sa cigarette pour montrer à quel point ça lui était égal, il n'allait pas bouger, oh que non. Il avait trouver un banc et avait décidé de faire une petite pause, on allait pas lui en vouloir si ? Il nous en reste combien ? » lui demanda son ami en le rejoignant d'un pas nonchalant. Pas qu'il en avait marre mais c'était tout comme... Ne prenant pas la peine de lui répondre, Elliott lui mit sous le nez la pile encore conséquente de papier et jeta son mégot. Un soupir accompagna la fumée à la sortie de sa bouche. La vie est dur mon Calimero ? Tu vas voir elle va rapidement se compliquer un peu plus... Mais ça il n'en savait rien encore. Tout ce qu'il savait présentement c'est qu'il avait envie d'une deuxième clope et qu'il allait s'y remettre avant de se décourager complètement et de finir sa vie ici, sur ce banc. Vise les couples, ils aiment aller au théâtre... généralement ». Sitôt dit, sitôt fait. Elliott fit un tour sur lui même et se dirigea machinalement et sans la moindre conviction vers le premier couple qu'il avait vu s'éloigner. Les yeux rivés sur les longs cheveux de la jeune femme il s'approcha dans le dos de celle-ci et planta devant ses yeux un des magnifiques flyer. La faisant sursauté légèrement d'une telle intrusion et par la même occasion l'obligeant à se stopper. Le couple enfin arrêté il put faire le tour pour leur face et ainsi leur vendre son produit comme un bon petit homme d'affaire. Pas de bol, ça allait être le n'aurait jamais cru que ça lui ferait un tel effet de le revoir. Bien sur il était conscient d'en être toujours éperdument amoureux, ce n'était pas difficile à s'en rappeler. Ses sentiments se rappelait à lui tout les matins, lorsque par le biais de la glace il posait ses yeux sur le tatouage sur son aîne, plus précisément sur la mini tour Eiffel représentée. Ils se rappelait à lui également dans ces rêves, mais ça c'est encore une autre histoire et je n'ai aucunement l'envie de partir dans le bouillonnement d'hormones masculines pour le moment. Bien sur il savait qu'il serait certainement amené un jour où l'autre à le croiser, mais il pensait encore avoir le temps. Apparemment non. Sous le coup de la surprise il était resté planté là , de tout son haut, et dévisageait Quentin comme s'il avait vu la vierge. On pouvait certainement lire toute la surprise et la douleur de ces retrouvailles dans le fond de ses yeux, mais il finit par reprendre contenance. Son air se durci légèrement et dans un mouvement presque indifférent, il se tourna vers la demoiselle qui lui semblait désormais être la créature là plus répugnante au monde. Cela ne l'empêcha pas de lui adresser un énorme sourire hypocrite pour autant. Une jolie demoiselle comme vous doit certainement aimé le théâtre non ? ». Il allait lui déballer son discours et au bout du compte elle supplierait Quentin de l'emmener voir la pièce. Et lui ? Ben lui s'il ne se prenait pas un poing dans la gueule, il serait juste heureux. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 2032 I fall asleep by the telephone. It's 2 o'clock and I'm waiting up me, where have you been? your love is just a lie. It's nothing but a lie… Ses yeux. Ses putains de yeux. C’était pas possible, c’était un cauchemar, une horreur, un bad trip. Ouai, surement. Bordel mais qu’est ce qu’il faisait là !? Qu’est ce qu’il foutait devant lui, comme ça, sans rien faire, sans rien dire. Elliott Maloy, connard, enfoiré, salaud, j’te déteste, j’te déteste, J’TE DETESTE !!! Qu’est ce qu’il faisait là , à NewYork. Il était parti sans rien dire, et voilà qu’il se repointait. Ça faisait combien de temps ? Quentin le savait exactement. Au jour prêt. Donc okey. Ce dos, c’était lui. Il distribuait des tracts. Ouf. On respire, c’est pas le moment de mourir d’un arrêt cardiaque en pleine rue. Restes calme, au bout d’un an c’est pas difficile. Fais le souffrir, fais le bien souffrir tant que tu l’as devant était-il revenu à NewYork ? Il avait rencontré quelqu’un ? Il n’avait pas l’air excessivement traumatisé, il avait même plutôt bonne mine. Inconsciemment Quentin le détaillait déjà des pieds à la tête. Son cœur battait si fort qu’il en avait mal, mais il le sentait à peine tant son esprit était engourdi par l’instant. Elliott. Le visage totalement impassible, Quentin le dévisagea tandis qu’il restait là , planté devant lui comme s’il venait de voir Dieu en personne. Tient, ça devait lui faire un choc à lui aussi peut-être de revoir le type qu’il avait lâchement abandonné sans un mot, genre pauvre merde dont on se débarrasse sans remord. L’incompréhension totale se lisait dans les prunelles du français, mais rien dans son attitude ne laissant transparaître le malaise qui l’habitait. Il n’aurait jamais cru le revoir un jour. Surtout pas là , surtout maintenant. Au début oui, il l’avait espéré. Que le belge revienne. Des excuses auraient suffi, Quentin aurait pris ça comme une punition pour la propre faute qu’il avait commise, quelques mois plus tôt. Mais 3 mois, ce n’était rien à côté de 15. S’il était parti 3 mois, le français n’aurait même pas bronché. Certes, ça faisait un peu mal, mais s’il voulait se venger… Maintenant non. Ça faisait longtemps qu’il avait oublié l’idée d’un quelconque retour. Et ben voilà . Elliott était revenu. Sans même le recontacter. Si ça se trouve il était revenu depuis plusieurs mois déjà , et n’avait même pas cherché à le revoir. Ordure. Tu n’es qu’un connard. Comment oses tu seulement me regarder droit dans les yeux après c’que tu m’as fais !?!C’était quoi cet air de mépris ? Il avait grandit. Il avait changé aussi. Il y avait quelque chose de plus, quelque chose de moins. Mais toujours ses yeux, ses grands yeux bleus qui le fixaient. Et lorsque le contact fut rompu, Quentin eut l’impression qu’un grand vide venait de s’ouvrir en lui. Ou bien de se rouvrir. Une plaie béante, recousue en un an mais qui venait à nouveau de se déchirer. La douleur était vive et intense, mordante, lancinante. Une jolie demoiselle comme vous doit certainement aimer le théâtre non ? » Il vendait des flyers pour une pièce ? Putain. Pourquoi n’arrivait-il pas à calmer les battements de son cœur ? Ouai, j’y vais de temps en temps. C’est de la pub pour une pièce ? » Son regard se tourna vers Andrea, dont le regard s’illuminait. Elle adorait le théâtre, on se demandait bien pourquoi ça plaisait tant au français. Sa gorge s’était serrée, il n’arrivait même plus à penser. Ça faisait 15 mois qu’il n’avait pas vu Elliott, et chacun de ses battements de cils, son sourire hypocrite, son air indifférent… Lui donnait envie de lui foutre son poing dans la gueule. Un bousillage express du dentier, c’est tout ce qu’il méritait. Quentin tremblait presque de rage, sentant les larmes lui monter aux yeux, et il n’aurait sut dire si elles étaient dut à la douleur qui lui transperçait le cœur en cet instant précis ou si c’était à cause de la rancœur qu’il avait accumulé au cours de l’année. Rester calme. C’était l’essentiel. Faire comme s’il ne l’avait jamais aimé, comme si sa perte l’avait laissé indifférent alors qu’il avait passé la moitié de l’année à déprimer. Faire comme si tout allait bien. Il pouvait y arriver. Ok, il n’avait pas fait de théâtre contrairement à une certaine personne, mais il pouvait le faire. Il suffisait qu’il puise sa force dans la colère et la haine qui l’envahissait, qui pulsait dans ses veines, dans son crâne, lui faisant perdre le fil de ses pensées. Lâchant la main d’Andrea il se glissa derrière elle et passa ses bras autour de sa taille, posant sa tête sur son épaule, fixant Elliott droit dans les yeux. Là , si tu la regardes, tu me regarderas aussi. Tu vois, je suis passé à autre chose, c’était super simple. Andrea sourit plus largement alors qu’il l’embrassait dans la nuque. Heureusement qu’elle avait relevé ses cheveux, il n’aimait pas les filles pour ce genre de raison. Bouffer du cheveu, c’était juste atroce. Elle sentait bon. Elle s’était parfumée exprès pour lui. Mais il avait du mal à respirer. Il ne pouvait pas rester là pendant que le type qu’il haïssait le plus au monde adressait la parole à sa petite amie »…Car oui, depuis des mois Elliott avait été déclaré ennemi public numéro 1 de la vie de Quentin Denzel Klein, et s’il avait eut un revolver ou pire, une bombe atomique, le pauvre petit brun enfin, plus si petit que ça maintenant aurait déjà été rayé de la surface de la planète. Pendant que l’intello déballait son sketch pourrav à Andrea, Quentin ne cessait de le fixer, une lueur mauvaise dans le regard, l’air de dire tient, salut connard, comment vas-tu après 15 mois de disparition ? ». Tout dans sa façon d’être dégoulinait de superficialité, d’indifférence, même si la rage transparaissait sans doute dans son regard, brûlant de dégoût. De toute manière, il était hors de question qu’il aille au théâtre. Il n’y allait plus. Il ne voulait plus y remettre les pieds, et maintenant qu’il était sur d’y croiser Elliott, c’était encore plus certain et sa pièce, il pouvait se la foutre où j’pense. Bordel, non, c’était trop dur de se concentrer, de se retenir, de rester stoïque. Il fallait qu’il le frappe. -Elliott... »15 mois qu’il ne s’était pas adressé la parole. Le prénom sonnait bizarre entre ses lèvres. Tabou. Quentin se dégagea d’Andrea, lui faisant signe de patienter un instant alors qu’il attrapait le comédien par la manche. Il avait fait ça rapidement, en une seule foulée, fluide, sur de lui. Et le mouvement fut tout aussi rapide lorsque son poing droit percuta le visage du beau brun. HAN ! PUTAIN CE QUE CA FAISAIT DU BIEN ! Aller, un deuxième pour le plaisir ! Il entendit Andrea dans son dos lâcher un cri de surprise et d’horreur alors qu’il défonçait la lèvre d’Elliott d’un second coup de poing. Le choc se répercuta jusque dans son épaule, mais il s’en foutait. Ces lèvres qu’il avait embrassées, il voulait les réduire en miette. -Dégages de là ! » Repoussant le comédien sur la chaussée, Quentin lui adressa un regard plein de fureur, se sentant encore bouillonnant d’énergie. Il aurait put le frapper jusqu’à ce que mort s’ensuive. Il le détestait à un point, lui même ne parvenait pas à fixer des limites à la haine impérieuse qui le rendait fou. Bon sang, putain de merde. Elliott, je t’aime, mais qu’est ce que t’est con ! Andrea s’agrippa à son bras pour le tirer en arrière. Calmes toi ! On va avoir des ennuis ! Bon sang, pourquoi t’as fait ça ?!! tu le connais d’où !? » Sa voix était étranglée sous la panique, mais Quentin s’en foutait. Tout ce qui comptait, c’était que Elliott Maloy crève en cet instant. Ecrasé sous un camion, un taxi, n’importe quoi. Qu’il crève. Qu’il crève. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 27 Oct - 2306 S'il espérait lui faire mal, sachez qu'il avait réussit. Aussitôt que le corps de Quentin s'était approché de la jeune femme, Elliott avait blêmit. Il se sentait observé, les yeux rageurs du français lui transperçaient la peau, le brûlaient plus vivement que si on avait essayer de le marquer au fer rouge. Ces lèvres qui lui avaient appartenu, qui la nuit le hantaient encore, se frottaient à la peau de l'asiatique, lui donnant de sales frissons de dégoûts. Même pour tout l'or du monde il n'aurait touché cette fille. Il se concentra néanmoins sur la peste comme si sa vie en dépendait. Ses yeux bleus lui rappelèrent les siens, en plus fades. Un sourire mauvais naquit au creux des lèvres du comédien. Des kilomètres aurait pu les séparer qu'Elliott était certain qu'il aurait toujours sentit le français bouillonner de rage et ça n'allait pas en s'arrangeant. Le pire, il n'allait pas faire en sorte que ça s'arrange. Il continuait son cirque, dans la plus totale il avait vainement espéré, en fin de compte il s'était prit un poing. Peut être même deux, mais le deuxième il était pas sur de l'avoir sentit. En fait même le premier il n'aurait su vous dire si ça lui avait fait mal. Le seul endroit qui semblait le faire souffrir était son cœur qui battait à tout rompre comme s'il cherchait à s'échapper. C'était peut être le cas. La présence même de Quentin le piétinait. Mais aussi contradictoire que cela puisse paraitre, après le cirque de "l'amoureux" que lui avait fait subir Quentin en bisoutant sa pseudo-copine, se recevoir un coup lui avait également fait du bien. Anatole France avait un jour dit "J'ai toujours préféré la folie des passions à la sagesse de l'indifférence". Aussi douloureux que cela pouvait l'être, Elliott préférait encore se prendre ses coup. Sonné, le jeune comédien resta un instant la tête baissée, à se demander quand le prochain allait partir. Aucun n'était arrivé. Il ne bougea pas pour autant, se contentant seulement de s'essuyer la lèvre pour faire disparaitre le sang qui avait commencer à couler suite aux coups... Seul un rire se fit entendre. Un rire mauvais. Ça venait de par le cri de l'ignoble chose accompagnant Quentin, les passant s'étaient arrêtés autours d'eux et ses amis avaient fini par le rejoindre. Elliott, ça va ? ». L'interpellé ne répondit rien. Se contentant simplement de relever la tête pour planter ses deux grandes orbes assassines dans ses jumelles. Ce qu'il y vit lui broya le cœur une nouvelle fois. Quentin le détestait, purement et simplement. Ce n'était pas une surprise, Elliott imaginait sans trop de peine ce qu'il pouvait ressentir et ne l'en blâma pas, il aurait réagis de la même façon. Dégage de là ! ». Par contre si là il pensait lui faire peur, c'était raté. Le brun aurait put être armé que rien n'aurait décidé Elliott à bouger de là . Au contraire, un sourire mauvais au coin des lèvres, Elliott s'approcha. Près, peut être trop près. Plus il réduisait la distance entre eux, plus il lui semblait que le monde lui pesait sur les épaules. Tout ses membres menaçait d'imploser sous le poids de la douleur. Il ne savait même pas comment il faisait encore pour avancer. Il avançait tout simplement, happé par ce corps qui lui manquait atrocement. Détruit par l'idée qu'il ne pourrait plus y toucher. Il dut employer toutes ses forces pour réussir à s'arrêter à quelques centimètres à peine du visage de Quentin. Il n'avait même plus besoin de lever la tête pour le regarder dans les yeux, aujourd'hui il était aussi grand que le français et le défié ainsi du regard n'en était que plus jubilatoire. Hypnotisé par ses yeux. Il aurait put laisser tomber le masque narquois et sur de lui, peut être aurait-il même du. Vous connaissez ces moments dans les films où les deux amoureux se retrouvaient ? Tout semblait s'arrêter autours d'eux, tout semblait aller au ralentit, tout le monde regardait curieux de voir se dérouler devant leurs yeux ébahis la plus belle histoire d'amour. C'était en tout point pareil, mis à part que de l'amour à la haine il n'y a qu'un pas. Elliott l'avait vécu, mais aujourd'hui ce n'était plus lui qui avait la haine et ça faisait mal. Plus que tout, voir Quentin dans un tel état lui faisait mal !! Mais c'était trop tard, par son coup de poing, le beau brun lui avait rappeler tous ce qu'il avait été cette dernière année. Lentement mais surement Elliott retrouvait ce désir sadique de faire souffrir comme il avait souffert. Moqueur, il prit enfin la parole. C'est une bien pâle copie que tu as trouver là Quentin...» Si personne n'avait compris il était certain que le français pigerais rapidement son allusion à son bien affreuse copine. Et bien ravit de la rabaisser, Elliott trouva au fond lui même encore un peu de force pour s'approcher de quelques minimètres de plus du brun. C'était peut être suicidaire, mais il poussa le vice jusqu'à se pencher avec une lenteur extrême vers l'oreille du français. Ses paroles avait murmurées, sifflées au creux de son cou et transpirait de haine. Ça fait mal hein ? Être délaissé par celui à qui on avait fini par s'abandonner...». Certes, la durée n'avait pas été la même et Elliott était parfaitement conscient d'avoir bien plus de tords que Quentin dans cette histoire. D'ailleurs il ne serait pas surpris si le beau français venait à lui rappeler que, lui, il avait été obligé de partir et qu'en plus ça n'avait duré que trois mois. Mais le procédé était le même et la douleur du départ était égale. Pour ton information, je ne compte pas bouger. Tu comptes faire quoi maintenant ? Me tuer ?». C'était cruel, terriblement cruel, mais Elliott ne s'en rendait désormais plus compte. Il était comme aliéné. Tout ces sentiments paradoxaux avaient été anesthésiés. Il ne restait plus que le Elliott qu'il avait prit l'habitude d'être durant son séjour en enfer. Un sale petit con, purulent d'arrogance et transpirant la méchanceté. Au fond, tout ce qu'il voulait c'était que Quentin réagisse. Que se soit en bien ou en mal, qu'il lui écrase de nouveau son poing sur la figure si ça pouvait lui faire du bien, mais il en avait besoin. Sa réaction lui était vitale. Il voulait cette impression de compter encore pour le jeune homme. Il y avait eu un blanc dans ses paroles, néanmoins il ne s'était pas éloigné de cette oreille au creux de laquelle il avait déjà tant murmurer de mot doux, tant susurrer de paroles aguicheuses. Il avait encore quelque chose à dire et ça relevait de l'importance capitale et interplanétaire. Vas-y, tues moi. Je n'attends que ça. Tout plutôt que de te voir souffrir par ma faute. Rien ne m'est plus insupportable Quentin... » Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 28 Oct - 1035 We had never planned this disaster… Open up your kills me inside. Génial, parce qu’en plus il avait des amis ». Le mieux aurait été qu’il crève seul dans un caniveau, ignoré de tous avec une pancarte clouée sur la poitrine Je suis un salaud de première classe, palme d’or toute catégorie confondue. Il avait quel âge maintenant ? Toujours un an de moins que lui, bien évidemment aha. 20 ans. Bordel, déjà 20 ans. Putain non. T’approches pas. Me touches pas. Ne me regardes pas. J’te déteste, j’te l’ai déjà dit non ? Il avait grandit. Ils faisaient la même taille à présent. Il avait perdu cet air fragile, cette apparence de petite chose qu’il fallait protéger. Il avait pris en muscle aussi, Quentin l’avait vu dès le premier coup d’œil. Il avait pris des hormones de croissance ou quoi ? Il avait fait un complexe sur sa petite taille ? Face à lui le français ne pouvait que garder le silence. Yeux dans les yeux, une fois de plus. Ce qu’il y lisait lui glaçait les veines. Plus que tout, il aurait aimé le voir disparaître. Qu’un précipice s’ouvre juste sous ses pieds, vite fait bien fait. Ce n’était pas la première fois qu’ils se regardaient dans les yeux, mais c’était la première fois que Quentin voyait dans ceux d’Elliott tant de choses différentes, auxquelles il n’était nullement habitué de la part du comédien. Il avait l’impression de découvrir une autre personne, un substitut. Il n’était pas certain d’apprécier le changement. Pourquoi était-il partit ? Pourquoi était-il revenu ? Pour l’humilier ? C’était ça son trip ? Lui faire du mal ? C’était réussi, depuis 15 mois maintenant. Ça ne lui suffisait pas ? En plus de ça, il voulait marcher sur les débris ? Essayant de garder un rythme de respiration un peu prêt normal, il attendit. Il n’aurait jamais put parler en premier. Il n’en avait pas la force. Il se sentait comme vidé. Elliott était partit et avait tout emporté avec lui. Tout saccagé. Il n’avait même pas essayé de reconstituer le puzzle de son âme, sans Elliott, le morceau clé, ça n’aurait servi à rien. Là , si proche l’un de l’autre, on aurait presque put croire que tout allait bien entre eux. Un joli petit couple uni prêt à se rouler la pelle du non. C'est une bien pâle copie que tu as trouver là Quentin...»Il parlait d’Andrea. Instinctivement le français jeta un coup d’œil à cette dernière. Surprise et paniquée, elle restait silencieuse, sans comprendre. Tout comme les passants qui s’étaient arrêtés à quelques mètres, qui les regardaient comme si le duo était une toute nouvelle émission de télé particulièrement palpitante. Ça lui allait mal d’être cruel. Très mal. Encore trop choqué pour parler, Quentin resta là à fixer le vide. Il ne pouvait pas regarder Elliott. Surtout pas Elliott. Une odeur de cigarette. Il fumait ? La dernière fois qu’ils s’étaient vus, Elliott ne fumait pas. Et il supportait l’odeur que parce qu’elle était rattachée à Quentin. Maintenant il fumait. Quoi d’autres avaient changés en un an ? Ça fait mal hein ? Être délaissé par celui à qui on avait fini par s'abandonner...»Son cœur cessa littéralement de battre. Là , un instant, dans sa poitrine, il le sentit se comprimer, se recroqueviller sur lui même, tentant vainement de combattre la douleur qui le fusillait de toute part. C’était donc ça. Une vengeance. Il voulait se venger du mal qu’il lui avait fait. Trois mois d’absences. Ridicules à côté des 15 qu’il avait eut à subir. C’était douloureux. Douloureux partout, et surtout là , au cœur. Comme si c’était à lui de le blesser ! Les rôles s’étaient inversés ou quoi ?! Ce n’était pas Quentin qui avait fui ! Comme s’il n’avait pas déjà eu la dose. Oui, ça faisait mal, très mal même. Tellement mal qu'il dut ravaler une nouvelle fois ses larmes. Pour ton information, je ne compte pas bouger. Tu comptes faire quoi maintenant ? Me tuer ?» Il n’arrivait même plus à réfléchir. Aligner deux mots dans son esprit relevait du défi. Des frissons de souffrance le parcouraient de haut en bas. Il hésitait entre se mettre à pleurer ou hurler, ou frapper. Peut importe au fond, juste un moyen d’évacuer. Evacuer ce truc enraciné en lui. Un truc qui pouvait se résumer en un seul mot d’ailleurs. Pourquoi ? Pourquoi t’es parti ? Pourquoi tu me blesses comme si ta vie en dépendait ? Pourquoi ce sourire ? Pourquoi critiques tu Andrea, n’avais-je pas le droit de me raccrocher au premier brin d’espoir ?!? Pourquoi n’irais-tu pas te faire foutre, Elliott Maloy, pour une fois dans ta vie ? Pourquoi es-tu là ? Pourquoi ? Vas-y, tues moi. Je n'attends que ça. Tout plutôt que de te voir souffrir par ma faute. Rien ne m'est plus insupportable Quentin... » Rester calme. Surtout rester calme. Il avait envie de hurler, mais il le ferait plus tard, après. Penser aux rails de coke qu’il s’enfilerait dans un quart d’heure, il mourrait d’une overdose, ça serait le top. Au pire il finirait dans le coma à l’hosto, et ça serait bien aussi, parce qu’il ne se réveillerait plus. Là au moins, il pourrait se dire que tout ça n’était qu’un cauchemar, un de plus parmi tout ceux qui avaient peuplé ses nuits depuis 15 mois. Avoir mal c’était bon signe non ? ça voulait dire qu’il l’aimait encore ? Pff, pathétique. Il aimait encore ce déchet. Mais il le haïssait plus qu’il ne l’aimait. Jamais il ne pourrait lui pardonner. Plus maintenant. Bordel. Tout cœur qui n’est pas brisé n’est pas un cœur, dixit Beigbeder. Avant Elliott il n’avait pas de cœur, maintenant il n’en avait plus. Nuance. Voilà , c’était fait. On avait presque put entendre le petit bruit de fissure, juste avant qu’il se pette en un nombre de morceaux incalculables, coupant comme du verre pilé. Jamais il n’avait eut aussi mal de sa vie. Autant physiquement que sentimentalement. C’était ça l’amour. On l’avait prévenu, et pourtant en voyant Elliott il avait foncé tête baissée. Ne restait qu’un goût d’amertume sur la langue, un poignard planté dans le cœur et une nouvelle bonne résolution ne plus tomber dans le piège. Ne plus faire confiance, ça finit toujours mal. La coupure avait été propre et nette. Le comédien n’avait eut qu’à prendre l’avion sans prévenir un mercredi matin. Rendez vous dans un an, si t’es encore vivant, je viendrai marcher sur les restes et détruire le peu que t’as réussi à sauvegarder. Rien ne lui était plus insupportable que de le voir souffrir par sa faute ? Menteur. T’es qu’un connard. Tu m’as pris pour un con. Si tu voulais vraiment pas que je souffre, tu aurais dut rester. Ou alors, tu aurais dut fermer ta grande gueule et pas me balancer de telles horreurs à la figure, comme si c’était à toi d’être en colère. Comme si c’était à toi d’avoir de la rancœur. Tu sais parfaitement que je peux pas te tuer, même si j’en ai trop envie. Alors suicides toi ! Pourquoi n’as tu pas profiter de ta petite escapade en Europe pour te jeter du haut de la tour Eiffel hin ? Il fallait qu’il lui réponde. Qu’il fasse quelque chose. Le truc le plus primordial, c’était de ne rien laisser paraître. Alors à son tour le regard de Quentin se durcit, ses traits se figèrent dans un air totalement indifférent. Posant une main sur l’épaule d’Elliott, il frémit au contact de sa chaleur contre sa paume avant de le repousser. Sans violence. La violence avait disparu. Seule restait la douleur, elle régnait en maîtresse incontestée. Il avait appris à la connaître 15 mois plus tôt, appris à vivre avec, à en faire une part de lui même. Avoir mal, c’était naturel. N’offrant même pas un regard au comédien Quentin se dégagea ainsi de l’emprise qu’il avait sur lui, prenant la main d’Andrea pour s’engager sur la route et stopper ainsi le taxi qu’il avait vu arriver. -Rentres à l’appart Andrea, faut vraiment que je discute avec ce type. » Elle le regarda sans comprendre, ou alors compris sans l’avouer. En tout cas elle monta dans la voiture. T’as une demie heure. » Lâcha t’elle en refermant la portière. Une demi-heure, c’était largement suffisant. Il n’avait pas l’intention de s’éterniser. Il n’était même pas sur de pouvoir tenir 10 minutes, alors 30. Il attendit que le taxi reparte avant de se retourner. Elliott était toujours là . Le cauchemar continuait. A quand le moment de se réveiller ? ça faisait longtemps qu’il n’en avait pas fait un aussi réel. Même la souffrance semblait véritable. Tout avait le goût du vrai. Sauf que ça ne pouvait pas être vrai. Le vrai Elliott n’aurait jamais dit ça. Il n’aurait pas eut ce rire moqueur, cet air de mépris qui lui avait incendié l’âme. Prenant tout son temps, Quentin s’alluma une clope. Puisqu’Elliott fumait aussi à présent, ça ne devait plus le déranger. Incroyable, il s’inquiétait encore de savoir si la cigarette dérangerait le comédien ou pas. Putain, oublies spectateurs étaient toujours présents. Se doutaient-ils que sous leurs yeux se déroulaient un drame ? -Pourquoi t’es revenu à NewYork ? T’avais l’impression de plus avoir ta place en Europe ? Ben tu l’as pas non plus ici. Nan mais en fait, j’en ai rien à foutre de savoir pourquoi tu es revenu. Tout ce que j’aurais aimé savoir c’est pourquoi tu t’es cassé ? Mais ça aussi, maintenant, je m’en fou. » Lâcha t’il distraitement en revenant se placer prêt du brun. Il aurait aimé pouvoir l’embrasser une dernière fois avant qu’il ne disparaisse. Ça avait été si soudain. A présent il ne pouvait plus. Il n’était même pas certain d’en avoir encore le goût. De toute manière, Elliott n’était pas revenu ici pour lui. La preuve, il le blessait. Comme un gosse qui essaye d’attirer l’attention sur lui. C’était pitoyable. Pour qui il se prenait ? Je m'intéresse... à toi... c'est un crime ? Et puis tant qu'à ne plus être propriétaire de mon propre cœur j'aimerais tout de même bien connaître un peu celui qui s'en est emparé. »Enfoiré. Que je récapitule. Tu disparais d'un jour à l'autre sans même qu'il te semble bon d'au moins me laisser un message. Tu reviens en mode grande gueule j'ai rien à me reprocher. Pas un "je m'excuse", plus un seul "je t'aime" et comme si c'était pas suffisant de me donner cette impression que t'en as absolument rien à caler tu me demandes si tu peux habiter chez moi ? T'es complètement con ou tu le fais exprès !?! »Enfoiré. Je t'aime »Enfoiré. -Quant au fait de te tuer… c’est une idée assez plaisante, mais il paraît que ça fait encore plus mal d’être vivant quand on sait que la personne qu’on aime ne nous appartient plus. » Rester stoïque. Ça ne lui faisait absolument aucun effet. Bon, du coup, ses rails de coke il ne les verrait que d’ici une demi-heure. Patience. Respire. Restes calme. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 28 Oct - 1914 Apparemment l'élève n'avait pas encore surpasser le maître. Dans le domaine de l'indifférence douteuse Quentin le battait encore à plate couture. Et ça, c'est lorsque le grand brun le repoussa doucement pour passer et parler à sa "chère et tendre", qu'il s'en rendit compte. Il n'opposa aucune résistance au passage de Quentin. En fait il ne bougea pas d'un poil. Petit à petit, il crevait sur place. D'un coup un seul les larmes lui montèrent aux yeux. Fronçant du nez comme un ultime effort face à ces gouttes d'eau salées, il mordit violemment sur sa lèvre inférieure afin d'empêcher un gémissement douloureux de se frayer un chemin. Il sentit une main sur son épaule, alors que Quentin recommençait à lui parler, c'était Justin. Il avait l'air inquiet, navré, apeuré. Surtout apeuré. En fait à bien y repenser il n'avait jamais vu le comédien dans un tel état. Dans ses yeux, Elliott croisa son reflet. Lui même ne se reconnaissait plus dans ce genre de moment. Ecoeuré par sa propre image, il fut prit d'un violent frisson et repoussa la main de son ami beaucoup trop violemment. Il n'avait pas envie de ses trois compères dans les pieds en ce moment, surtout pas en ce moment en fait. On se voit demain, ça sert à rien de rester...» finit-il par leur adresser froidement, la voix tremblotante. Il n'arrivait pas à la maitriser, l'envie de crier, de pleurer lui écrasait le thorax. Et pour ne rien arranger Quentin revenait à la charge. Il sentait son regard dans son dos, pas loin. Tout près. Ce fut dur, mais Elliott finit par se retourner pour lui faire face. Face à ses grands yeux chocolat, il se sentit osciller, que dis-je, flancher. Ce bougre lui manquait, l'avoir si près et pourtant si loin était un véritable supplice. C'était encore plus douloureux que son absence. Une larme finit par couler, mais Elliott n'en avait que faire. Il cherchait, désespérément certainement, mais il cherchait dans le regard assassin de Quentin, une lueur, un reflet, un petit quelque chose -même minuscule- qui lui montrerait que s'il avait bien gâcher leur histoire tout n'était pas pour autant perdu. Il dévia un instant de ces iris sombres pour se figer sur les lèvres. Elles remuaient, répétaient ce qu'il avait un jour dit. Une sorte d'échos se fit dans sa tête alors qu'il ne cherchait même plus à comprendre le sens de ce que disait le français. Il était fasciné, hypnotisé par ces lèvres toutes proches, finement ourlées, tentatrices. Qu'est ce qu'il n'aurait pas donner pour les embrasser juste une fois. Une fois ,mais pour toujours. Il n'en fit rien, elles s'étaient tues. Sortant de sa transe, Elliott cligna des yeux, geste mécanique pour reprendre pied avec la réalité. T'as le chic pour réapparaître aux moments où on voudrait juste que tu crèves... tu peux le dire aussi tu sais.». Oui, il avait été ignoble ce jour là et il n'avait pas besoin du récapitulatif de Quentin pour se le rappeler. Si son visage ne laissait toujours passer aucune émotion, ses yeux quant à eux s'étaient peint d'une grosse couche de désespoir, d'une plus grosse encore de culpabilité. Ici et là ressortaient quelques touches de regret, de jalousie, d'excuse. Tout un tableau, une véritable fresque qui, si Quentin y prêtait un peu attention, lui prouvait, à ce moment même, à quel point il l'aimait. Le jeune comédien eut un infime mouvement d'approche, réduisant légèrement la distance qui les séparait. Il avait suffit que Quentin ouvre à nouveau la bouche pour que son sang ne fasse qu'un tour et que dans un mouvement brusque, qu'il ne calcula même pas, il plaque le jeune français contre le mur derrière lui. Les paumes des ses mains ancrées dans le mur de chaque coté du visage de Quentin. Ah oui, ça ne t'intéresse plus de savoir pourquoi ? C'est bien dommage parce que je vais te le dire. » lâcha Elliott plus violemment qu'il n'en avait eut l'inttention. Il allait repartir en vrille, il le sentait. A vrai dire, il criait déjà . La voix chargé de hargne et tremblotante d'honnêteté. Toi qui revenais dans un déluge d'émotions divergentes, ma mère qui déprimait parce que mon frère tombait un peu plus tous les jours dans la drogue, lui qui dépérissait à vue d'œil, toi qui n'était pas spécialement mieux, mes études qui ne rimaient plus à rien, mes ambitions qui stagnaient, mes efforts qui aboutissaient dans le vide, tous les coups que j'ai encaissé sans rien dire, toutes les erreurs que je me refusais à regretter et qui me revenaient en pleine poire, tout foutais le camp. Je crevais un peu plus tous les jours !!!» cria-t-il en frappant d'une force surhumaine sur le mur, à quelque centimètre à peine du visage de Quentin. Le son de sa voix résonnait encore dans la rue qui s'était subitement tue pour assister au spectacle. De loin, certains avaient certainement cru qu'il venait d'infliger à Quentin un bien violent coup de poing, il n'aurait pas pu. Il ne pouvait plus lui faire mal, c'était au dessus de ses forces. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était se faire mal et crier, crier jusqu'à en devenir atone. Car oui il était capable de crier encore plus fort. Ceci pourrait ressembler à des plaidoiries, mais détrompez vous, il n'essayait en aucun cas de mettre ses erreurs sur le dos des autres. Ce n'était définitivement pas son genre et même s'il avait changé, même s'il devait être élu salaud numéro un dans la tête de Quentin, même le français devait le savoir. Et s'il en doutait, qu'il le regarde un instant dans les yeux, pas une seconde il n'y verra un reproche. T'en as rien à foutre ? Très bien ! Qu'est ce que tu fous là alors !! Dégages, vas-y !». Et comme pour lui laisser la possibilité de vraiment le faire, il se décrispa et s'éloigna de lui. De plus en plus, en marche arrière, les yeux embués. Il finit par s'arrêter, en plein milieu de la chaussée. Ça avait beau être une rue marchande à une heure où le passage ne se faisait pas autant qu'en heure de pointe, ça restait dangereux. Ils étaient dans un tournant et la moindre voiture lancée trop vite pouvait chopper le jeune comédien dans sa course. Ça aussi ça lui était égal maintenant. Je te connais Quentin, si réellement rien n'avait plus d'importance pour toi tu serais déjà parti avec cette grognasse. T'avais besoin d'explications, tout comme j'en ai eu besoin quand c'était à toi d'en donner, tu les a eu maintenant alors barre toi ! Mais si tu veux des excuses, saches que c’est tellement petit que dans un tel contexte que ça me parait inapproprié, il me faudrait la même expression mais en dix fois plus puissante et je ne suis pas sûre qu’elle ai été créée. ». Lui aussi il pouvait vous rejouer la scène, là au beau milieu de la rue où, comme si ça avait été un véritable complot, plus aucune voiture ne passait. Oui au fond, si Quentin partait il voulait crever. Que tout s'arrête. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 28 Oct - 2155 Well hey you got me right where you want me… but you still haunt meyou still haunt me ! I've learned just how to run without runnin' … Ses yeux lui broyaient l’âme. Comme toujours, c’était ce bleu qu’il avait recherché partout sans le trouver. Ce bleu infâme, mortellement attirant, qui le faisait flancher une nouvelle fois, mettre genoux à terre, courber l’échine, trembler de passion. Il ne s’était pas attendu à se retrouver plaqué de la sorte contre le mur. Ni même à entendre ce qu’il entendait à présent, et qui résonnait dans son corps, lui donnant tout à la fois de la colère, de la tristesse, de l’espoir… Ah oui, ça ne t'intéresse plus de savoir pourquoi ? C'est bien dommage parce que je vais te le dire... Toi qui revenais dans un déluge d'émotions divergentes, ma mère qui déprimait parce que mon frère tombait un peu plus tous les jours dans la drogue, lui qui dépérissait à vue d'œil, toi qui n'était pas spécialement mieux, mes études qui ne rimaient plus à rien, mes ambitions qui stagnaient, mes efforts qui aboutissaient dans le vide, tous les coups que j'ai encaissé sans rien dire, toutes les erreurs que je me refusais à regretter et qui me revenaient en pleine poire, tout foutait le camp. Je crevais un peu plus tous les jours !!!» La chaleur de son corps contre le sien était tout bonnement insupportable. Si son cœur ne battait plus, au moins Elliott lui faisait-il encore tourné la tête. Il allait se blesser à frapper ainsi le mur. On aurait dit un désespéré. Trop occupé à fixer le visage du comédien, Quentin assimilait avec difficulté ses paroles. Il coulait ? C’était ça, son excuse ? Ne cherches pas Elliott ! Aux yeux du français tu n’avais aucune excuse, absolument aucune, pour avoir droit de reprendre une place dans sa vie. Il lui en accordait déjà même une trop grande en acceptant de lui adresser la parole. Il crevait un peu plus tous les jours ? AHAHAHA ! Bienvenue au club ! Quentin avait crevé chaque jour depuis 15 mois !!!!!! Chaque nuit était une porte d’oublie, et chaque réveil une gifle. Il le hantait, il l’avait dans la peau, jusque dans la moelle, ce connard ! Jusque dans ses rêves ! Putain, mais qu’attendait-il pour l’embrasser !?!? S’il l’avait embrassé maintenant, Quentin l’aurait laissé faire. Mais il ne pouvait pas, bordel de merde, putain de fatalité à la con ! Plusieurs sentiments envahissaient à présent le français, dont le cœur était repartit de plus belle et à tout rompre, battant comme un fou. Et bizarrement, une pointe de remord s’était nichée parmi eux. Il avait beau le nier, il détestait faire souffrir ainsi le comédien. Même si ce dernier lui plantait des couteaux en plein dans l’mille, même s’il l’avait abandonné 15 mois, 15 mois durant lesquels Quentin avait lutté contre l’envie de se tirer une balle, non, il ne pouvait pas. C’était comme se blesser soit-même. Mais comprenait-il ça ?!? Comprenait-il qu’il l’aimait à en crever !?! Et bon sang, croyez moi, ces sentiments étaient encore intact alors qu’il se perdait à nouveau dans ses yeux, bleus pâles comme un ruisseau d’eau fraîche. T'en as rien à foutre ? Très bien ! Qu'est ce que tu fous là alors !! Dégages, vas-y !» Ça y est, son corps lui manquait à nouveau. Un simple frôlement avait suffit à réanimer ses vieilles habitudes, ses vieux besoins, comme celui de le sentir contre lui. En un an, il lui avait tellement manqué… Quentin se serait agrippé à lui pour le retenir si la douleur ne l’avait pas cloué au mur. Il lui disait de dégager, comme ça, tranquille. Il savait parfaitement que le français était capable de le faire. De toute manière, c’était soudain comme si milles aiguilles s’étaient plantées dans sa chair. Rien ne pourrait réparer ce qu’Elliott avait dit. Ça fait mal hein, d’être délaissé par celui à qui on avait fini par s’abandonner. Evidement connard ! Rien que d’y repenser, sa gorge se nouait. Il ne comprenait toujours pas ce qui avait poussé le comédien à retourner le couteau dans la plaie d’une telle façon. En tout cas une chose était sûre, il s’était abandonné » une fois, mais il ne recommencerait pas. Jamais. Son cœur se serra en réalisant soudain qu’Elliott s’était arrêté en plein milieu de la route. Quel crétin ! Pourquoi se stoppait-il là où il pouvait se faire buter à tout moment !?! Je te connais Quentin, si réellement rien n'avait plus d'importance pour toi tu serais déjà parti avec cette grognasse. T'avais besoin d'explications, tout comme j'en ai eu besoin quand c'était à toi d'en donner, tu les as eu maintenant alors barre toi ! Mais si tu veux des excuses, saches que c’est tellement petit que dans un tel contexte que ça me parait inapproprié, il me faudrait la même expression mais en dix fois plus puissante et je ne suis pas sûre qu’elle ait été créée. » C’était tellement simple. Des mots ! Du vent ! N’importe quoi. Quentin avait envie de se boucher les oreilles. Non, Elliott ne le connaissait pas. S’il l’avait connu il ne serait pas partit ! Il prétendait vouloir s’excuser mais ne le faisait pas. Ouais, son expression » n’avait pas été créée, et alors, ça l’empêchait de s’excuser ? Même infime, le moindre *je suis désolé* aurait été accepté de bonnes grâces. Ben il pouvait crever pour que ce genre de chose franchisse la barrière de ses lèvres, apparemment ! Il s’en voulait ? A quoi ça servait !?!? Il s’était cassé en partie à cause de lui après tout. Toi qui. Putain de merde Elliott ! Il lui demandait quoi là ? C’était sa façon à lui de dire qu’il avait envie d’une seconde chance ? Crèves, crèves crèves ! Crèves encore, comme j’ai crevé moi ! avait envie de faire quelque chose d’horrible, ou de dire quelque chose d’horrible. Il avait besoin de se mettre à hurler aussi. Il ne hurlait pas souvent après tout. Se détachant du mur, il traversa à son tour la chaussée pour pousser Elliott vers le trottoir le plus proche, gardant toujours cet air totalement impassible. Pour rien au monde il n’aurait quitté son masque de colère. - PUTAIN DE MERDE ! Elliott, 15 mois !!!! Tu t’es cassé sans rien dire, même pas un mot, même pas un truc de merde, une pitoyable excuse écrite sur un papier ! Tu me demandes quoi, hein ? Une seconde chance ?! Mais vas te faire foutre ! Ma vie est un enfer depuis que je te connais, connard !! Je t’ai dit que j’en avais rien à faire de tes explications ! Tu m’emmerdes, j’te déteste, au cas tu ne l’aurais pas encore compris ! Je suis resté justement pour mettre ces petites choses aux claires, pas pour t’entendre jouer à Calimero. Bouhouhou, j’allais mal alors je suis parti ! J’ai lâchement abandonné la personne pour qui je comptais le plus au monde, je me suis cassé 15 mois sans lui envoyer une seule lettre, même pas une carte postale de merde où on peut écrire que 2 mots. Et quand je suis rentré, je ne le lui ai même pas dit. Non, bien sur que non voyons, pourquoi je l’aurais fait !? C’était évident qu’il était passé à autre chose, bien suuur. Mais tu comprends chou c’est parce que je crevais un peu plus chaque jour, alors que lui ça faisait seulement 1 an qu’il était en pleine agonie ! Et quand je l’ai recroisé dans la rue, je me suis amusé à piétiné les débris, c’est tellement drôle, hein ? Tu veux savoir si ça fait mal d’être délaissé, alors attends, je vais te le dire. OUI !!!!!! » Il hurla ce dernier mot dans les oreilles du comédien, chargeant sa voix du plus de colère, de rage, de haine possible. Il fit alors une chose totalement contradictoire. Totalement stupide. Totalement conne, qu’il regretta aussitôt après l’avoir accomplit. Plaquant Elliott contre le capot d’une voiture, l’un de ses genoux vint outrageusement presser l’entrejambe de sa victime alors qu’il l’embrassait. Oui oui, vous avez bien lu, il l’embrassait. Et pas un baiser de pacotille hin, non, le truc bien sauvage. Il lui mordait carrément les lèvres, forçant leur barrage pour que sa langue aille enfin à la rencontre de sa dura plusieurs secondes avant qu’il ne se rende compte de l’horreur qui venait de se produire et qu’il ne se recule enfin, laissant au comédien le loisir de se dégager de la position inconfortable dans laquelle le français l’avait coincé. Putain. Il l’avait embrassé, et il avait aimé ça, et s’il avait put, il l’aurait encore fait. Mais non, non !!! -Et puisque tu tiens tant que ça à ce que je me barre, je vais me barrer. » Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Ven 29 Oct - 1944 Mais nom d'un schtroumph rose à fleur, c'est qu'il était coriace le mufle. Bon bien sur personne dans l'assemblée ne s'attendait à ce que se soit facile, Elliott le premier, mais de là à ce que ça parte à ce point dans le décor... ils allaient créer une émeute à force. Car oui, si vous en doutiez, on n'avait plus d'yeux que pour eux et ce n'était peut être pas ce qu'il y avait de mieux dans ce genre de situation. Soit, les deux jeunes hommes n'en avait bien entendu que faire, bien trop dans leur monde en train d'exploser pour attacher la moindre importance à ce qui les entourait. Peut être auraient-ils du mais pour le moment Elliott se faisait vivement poussé vers le trottoir. Ça devenait vraiment n'importe quoi comme scène d'ex couple, m'enfin bon... Maintenant que la machine avait déraillé, il n'y avait plus moyen de l'arrêter. Il avait rarement vu Quentin en colère, mais il doutait franchement qu'on puisse être plus excédé qu'il ne l'était en ce moment. Le cyclone français lui déferlait dessus et si au fond de lui même il avait juste l'envie de se faire tout petit il ne se laissa pas impressionner. Il gardait la tête haute, les yeux encrés dans ceux haineux du français qui lui balançait ce qu'il avait sur le cœur. Puis, Elliott s'était affaissé et des larmes s'étaient mises à couler le long de ses joues, incontrôlables. Ma vie est un enfer depuis que je te connais, connard !! ». Chacun avait eu sa petite phrase assassine, celle-ci devait être la vengeance de Quentin. Car, comme Elliott avait piétiné le cœur du français en lui rappelant à quel point le départ de la personne qu'on aime faisait mal, Quentin venait de piétiner les débris du sien. Qui était venu chercher l'autre ? Qui avait mit le bazar dans sa petite vie pépère ? Qui s'était amusé à le prendre pour mieux le jeter ? Qui l'avait fait pleuré plus d'une fois pour une simple histoire de fierté ? Qui s'était délecté à lui faire croire au rêve pour mieux le bafoué après ? Qui est ce qui l'avait fait souffrir et le faisait encore souffrir aujourd'hui ? QUI ? Seulement voila, au bout du compte, quand bien même lui avait-il fait des reproches en l'air, jamais Elliott n'avait réellement regretté d'avoir connu Quentin. Il était ses pires souffrances, mais il était surtout ses plus beaux moments. Il avait désormais la preuve qu'il était apparemment le seul à le penser. Après ça il avait vite décroché. Depuis le Bouhouhou, j’allais mal alors je suis parti !»en fait. S'il n'avait pas eu autant de chose à se reprocher et l'envie sacrée de calmer le jeu, il aurait bien fait remarquer à Quentin à quel point il pouvait être égoïste, lui aussi, en disant cela. Toutefois, la remarque tombait dans le vide. Lui, avait fait preuve de tellement plus d'égoïsme en partant, il en était conscient, depuis le début. Il avait pour UNE fois penser à lui, avait suivit son instinct de survie, son besoin vital de s'éloigner de tout et de Quentin en particulier. Prendre du recul, mettre les choses au point. Quoi que cela puisse lui coûter il était parti avant de se noyer. Oui il l'avait fait pour lui, oui il n'avait pas penser aux autres, mais le "Et quand je l’ai recroisé dans la rue, je me suis amusé à piétiner les débris, c’est tellement drôle, hein ?" que lança Quentin comme s'il avait été la seule personne à souffrir dans l'histoire vint résonner avec beaucoup d'injustice à ses oreilles. Il lui en voulait comme si toute cette année il était parti en croisière de plaisance, se dorer la pilule sur Nil. Comme si ça avait été une décision aussi facile que celle qui consiste à choisir entre un bol de céréale ou un bol de merde. Et quelle merde il avait foutu... Elliott restait là , sonné. Il n'avait plus rien à dire. Que vouliez vous répondre de toute façon ? Lui remettre les idées en place, lui rappeler à quel point il avait contribué à faire de leur relation une relation bancale et ce depuis le début ? L'enfoncer lui aussi pour ne pas sombrer seul ? Et puis pour tout vous dire, il n'avait pas vraiment eu le temps de réfléchir à une quelconque répartie. Il s'était retrouvé acculé contre le capot d'une voiture et des lèvres féroces s'étaient emparées des siennes. Cette sensation lui fit comme une sorte d'électrochoc, ses membres se paralysèrent alors que par instinct il fermait les yeux et répondait fiévreusement au baiser du beau français. La chair de poule lui parcourait le corps,tout son être semblait s'être affolé d'un seul coup. Les retrouvailles avec ces sensations perdues avaient été tellement violentes qu'il était sur d'en être malade pendant plusieurs jours. Choc post-traumatique. Sa langue avait retrouvé sa consœur dans un frisson déchirant et puis s'en était vu privé aussi rapidement qu'elle n'était arrivée. L'extase fit place au manque. Il venait de s'éloigner, son corps tout entier lui manquait déjà . S'il avait évité de sauter sur Quentin en le voyant, c'était bien pour ça. Pour éviter que ce manque atroce ne lui donne la nausée comme il était en train de le faire maintenant que le beau brun menaçait une fois de plus de s'en aller. Les larmes étaient revenues de plus belle. Il ne s'attendait pas à quelque chose d'aussi dégueulasse de la part de Quentin. Il lui avait avoué dès les premières phrases être encore fou de lui et le français lui avait cracher son dégoût à la gueule, lui avait avouer cash le détester à ce qu'il en crève, lui assurait depuis le début ne plus rien avoir à faire de lui. Ça aurait put passer, mais lui infligé la torture d'un tel baiser avec la promesse que c'était le dernier, était monstrueux. Il avait raviver une flamme que pas même une année entière loin de lui n'avait réussi à éteindre complètement, il avait raviver un souvenir à la fois délicieux et douloureux et maintenant il le laissait là , pantois. Vous connaissez le principe de "tolérance zéro" ? Doctrine parfaitement mise en place à New-York, malheureusement, et qui vise à punir sérieusement et surtout rapidement la moindre infraction afin d'enrayer rapidement l'augmentation de la violence et des actes de délinquance. Aucune circonstance atténuante. Et vous savez ce que c'est deux hommes en train de s'engueuler et de se frapper dessus en pleine rue marchande ? Trouble de l'ordre public... Les mains sur la tête jeune homme ! ». Il n'avait même pas eu le temps de réagir, un homme s'était immiscé dans le dos de Quentin, le priant de ne plus faire aucun geste brusque et de poser ses mains sur sa tête. Sans plus de cérémonie il lui avait passé les menottes et apparemment cette fois c'était à son tour. Lors de son "court" séjour en Europe, Elliott avait eu la malchance de se faire arrêter plusieurs fois, principalement pour ivresse sur la voie publique. Il n'avait jamais été très coopérant, ce qui n'arrangeait jamais rien à ses problèmes. Cette fois le brun fut doux comme un agneau, encore trop sonné et ne chercha même pas à protester. La police c'est pas une rigolote en Amérique, à coup sur leurs éclats voix avaient fait flipper quelques personnes et l'une d'elle avait penser bon de prévenir la police. Maintenant ils se retrouvaient comme deux cons sur la banquette arrière de la voiture. Ils n'avaient pas beaucoup de place là dedans et être ainsi collé à Quentin était une véritable torture, l'atmosphère était électrique, palpable, lourde. Un peu plus et ils suffoquaient. Et dans le silence pesant, des larmes coulaient. Elliott n'osait plus regarder Quentin, il ne voulait plus le regarder. L'envie de lui sauter lui tenaillait les entrailles. Il lui manquait, s'en était insupportable. Alors, les yeux plongés dans le paysage défilant derrière la fenêtre, Elliott pleurait silencieusement. Encore. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Ven 29 Oct - 2204 And if you leave here You leave me broken, shattered, a lie ! I'm just a crosshair I'm just a shot, then we can die … En fait, il était bel et bien dans l’idée de se barrer. Partir et laisser Elliott en plan. Ça lui plaisait assez. Mais bon, apparemment ce n’était pas pour aujourd’hui. Putain mais non, pourquoi la police se ramenait ? Un passant à la con avait dut l’appeler. Trouble de l’ordre public aha, trop drôle. La grosse BLAGUE. Blague qui le conduisait à présent à se retrouver vissé sur le siège arrière d’une voiture de flic, menotté et sans doute bon pour une pseudo garde à vue. Autant dire qu’il était pas prêt de pouvoir s’enfiler ses rails de coke, et Andrea pouvait toujours attendre pour qu’il revienne au bout d’une demi-heure. Le destin était vraiment sadique aujourd’hui. En effet, quoi de plus cruel que de faire en sorte qu’Elliott soit, très étrangement, lui aussi assis sur cette même banquette et qu’il y ait à peine assez de place pour eux deux, si bien qu’ils avaient été obligé de se serrer ». Si c’est pas mignon. Quentin en avait la gerbe. Sentir l’épaule du comédien contre la sienne, et le pire, l’entendre pleurer. Par sa faute. Comme d’hab’, il avait envie de dire. Ah oui mais bon, lui aussi avait eut sa part de larmes durant l’année, chacun son tour petit Elliott, on passe la balle. Ça lui faisait mal, mais il ne sentait presque plus la douleur tant elle était déjà intense. Juste une aiguille dans une botte de foin. N’empêche que c’était plus souvent Quentin qui faisait pleurer Elliott que l’inverse. Mais d’un autre côté, cette constatation lui faisait un bien fou. Psychopathe sadique, le retour. Nan, en fait c’était juste parce que ces larmes, c’était la preuve irréfutable qu’Elliott l’aimait encore. Et savoir ça, ça faisait du bien. Bon okey, y’avait déjà eut un paquet de preuves depuis le début, mais voilà , assis contre celui qu’il aimait le français acceptait enfin d’ouvrir les yeux. Il pouvait à nouveau respirer sans avoir l’impression qu’une corde était nouée autour de son cou, respirer sans suffoquer, sans se noyer, sans se mettre à pleurer à son tour parce que là franchement, ça le démangeait sévère. Non, non non et re-non. Petit à petit, il commençait à réaliser ce qu’il avait dit au comédien. Il le détestait. Sa vie était un enfer depuis qu’il l’avait rencontré. N’importe quoi. Juste n’importe quoi. L’arrivée de la police l’avait un peu calmé, comme si sa haine avait décidé de faire une pause pour lui permettre de réfléchir logiquement, pour une fois, éloigné de toutes ces sensations et ces sentiments qui l’envahissaient. Et il réalisait, oh oui, à quel point il venait de se comporter comme la pire ordure de l’univers. Quoique Elliott n’était pas non plus loin derrière. Peut-être même le battait-il sur certain point. Le Etre menotté de la sorte lui rappelait salement une scène un peu semblable dans l’appartement d’un connard blond, ce qui était parfaitement le moment pour se rappeler de ça, n’est ce pas. Et ce silence lui foutait des frissons alors qu’il avait l’impression de suer à grosses goûtes. Mais plus que tout, il regardait lui aussi par la fenêtre sans vraiment voir le paysage, trop concentré à tendre l’oreille et à écouter les pleurs d’Elliott. Ce moment, ce jour plutôt, ferait surement parti des pires de leurs vies. Grâce à qui, hin ?!? A Quentin et oui mesdames et messieurs ! C’est qu’il était vraiment doué pour empirer chaque situation, le petit bonhomme, quand même, un truc de ouf ! La culpabilité était à présent en tête du classement dans le concours du sentiment le plus hargneux à faire rage dans le cœur du français, face à elle la compétitrice la plus virulente, la souffrance qui l’assaillait encore. Une souffrance qui s’incarnait dans un regard bleu et brillant de larmes. Et ce regard bleu blessait mieux qu’aucune arme, mettait à sang son âme. Il ne pouvait pas l’ignorer, dès qu’il ouvrait les yeux, il était là . Même paupière closes, il le voyait encore. Putain mais enfoiré ! Fais quelque chose, la personne qui pleure à côté de toi, c’est quand même Elliott, et tu l’aimes, alors fais quelque chose ! Faire quelque chose. Elliott avait fait quelque chose quand Quentin avait pleuré ? Non bien sur, il n’était pas là . Il était partit loin. Il avait vécu des choses, sans penser à lui. Enfin, peut-être qu’il avait pensé à lui… peut-être même qu’il lui avait manqué autant qu’il avait manqué à Quentin. Le brun ne pouvait pas savoir. A moins de poser la question. Mais genre, comme s’il en était capable !! Non, il n’en était pas capable. Mais il pouvait faire quelque chose, un truc un peu plus discret. Il lui suffisait juste d’être discret… Alors, se tournant un tout petit peu, pas beaucoup, à peine une dizaine de centimètres, se contorsionnant les bras de manière indicible, il frôla les doigts d’Elliott, menottés également dans le dos du comédien, avant d’enlacer une de ses mains pour la presser légèrement. Il regardait toujours par la fenêtre, droit devant lui. Il ne voulait pas le regarder. Pas le voir pleurer, surtout alors qu’il savait que c’était à cause de lui. Il avait envie d’insulter quelqu’un. Ou juste insulter le vide, comme ça. Parce qu’il s’était promis qu’il ne retomberait plus dans le piège et qu’il avait bien l’intention de tenir cette promesse. Mais bon, cette promesse ne l’empêchait pas d’être tendre envers Elliott, hin ? De toute manière il avait des mouchoirs dans sa poche et il ne pouvait même pas lui en donner un. Ce simple tout petit détail lui foutait la hargne. Bref. Voilà , il lui avait pris la main. Il se sentait mieux. Il espérait que c’était aussi le cas d’Elliott. Fallait qu’il en profite, le français n’avait nullement l’intention de recommencer ça. C’était juste pour qu’il arrête de chialer, du moins c’est ce que Quentin se plaisait à croire. De même pour le baiser. Juste pour lui faire mal, juste pour lui montrer ce à quoi il n’aurait plus jamais droit. Pourtant son cœur lui chuchotait bien d’autres choses, malgré ses blessures. Je t’aime, je t’aime. Que se message passe de ma main à la tienne, écoute moi, je t’aime. Ils se garèrent. Quentin lâcha sa main. Et puis c’était tout. S’en allait suivre un truc long et chiant, un contrôle d’identité, vérification des papiers, blablabla. Il avait sans doute la possibilité d’appeler à l’appart pour prévenir Andrea, mais non. Il n’en avait pas envie, pas maintenant. Il lui expliquerait tout en revenant, si elle était toujours là . Au pire demain, mais ça ne paraissait plus si grave… C’était juste une fille. Une copie. Une merde. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mer 3 Nov - 1639 Aïe, snif, aïe, snif, aïe, snif,... et avec tout ça il n'avait même pas la possibilité d'essuyer ces saloperies de larmes allant raviver la douleur de sa lèvre. Au cas où vous l'auriez oublié, quelques minutes plus tôt il s'était prit deux méchants poings. Sa lèvre inférieure, tout comme sa pommette gauche, avait morflé sous a violence du coup. Sur le moment il n'avait pas été certain de l'avoir senti mais maintenant que le calme était revenu et qu'il avait la possibilité de faire de le point sur la situation, il lui paraissait évident que Quentin y avait mit toute sa hargne. Encore une fois il se retrouvait tout amoché. Néanmoins cette fois ci il n'aurait pas a supporter la gueule abasourdie de son prof de théâtre et des autres élèves. A ce souvenir il retint une sorte de sanglot bizarre. Aaaah le bon vieux temps. Où il se faisait tabasser par des gens dont il n'avait rien à faire, où il suivait encore des cours, où il n'avait pas encore commencé à collectionner les erreurs comme Johnny Depp collectionne les groupies... Le bon vieux temps où Quentin était revenu et où la vie avait semblé redevenir douce et soyeuse... sembler mordant rageusement l'intérieur de la joue pour ne pas soupirer tel un condamné à mort devant la potence, Elliott ne put néanmoins pas réprimer un léger sursaut de surprise. Quentin venait de lui kidnapper ses doigts et contre toute attente ce n'était pas pour les lui arracher. Cette légère pression sur ses doigts fut comme une dose anesthésiante, plus rien n'avait d'importance. Pas même sa tête venant échoué lamentablement contre la fenêtre alors qu'il serrait doucement les doigts de Quentin. Il avait vraiment tout gâché... c'était désolant de voir tout le bordel qu'avait créer son simple départ, de voir que son retour avait tout fait sauf arranger les choses. Je suis désolé, je m'en veux, je t'aime, tu me manques, je vais tout réparer, je t'aime... Tant de mots qui lui tournait dans la tête mais qu'il n'arrivait pas à exprimer. C'était plus difficile qu'il ne le pensait d'être la source du malheur de la personne qu'on aime, il s'en rendait maintenant compte. Il réalisait aussi à quel point ça dut être dur pour Quentin de se faire traiter de tous les noms et de s'excuser à son retour. Encore plus qu'il n'avait rien fait de "mal", lui. Il n'eut pas le temps de s'épancher un peu plus sur ce triste constat. La chaleur du corps de Quentin à coté de lui était partie, subitement, et alors qu'on les escortait vers les bureaux de police Elliott revenait doucement sur terre. Ça y est, assis face à cet agent moustachu qui avait l'air tout sauf sympathique et futé, les hostilités allaient commencer. Papiers d'identités messieurs. » Que vous disais-je, pas très futé. Et le ton suffisant utilisé par ce très cher monsieur fit déjà grincer les dents de notre pauvre comédien. Il ne savait pas trop d'où ça lui venait, mais cette dernière année il avait prit la police en grippe et toute excuse était bonne pour se fritter avec ses agents. Et on fait comment pour les attraper mon grand ? On prie très fort ? » fit alors remarquer Elliott en employant le même ton que l'agent, un poil plus sarcastique. Le bonhomme, nommé Voyd si on s'en référait à la plaque luisante sur son bureau, haussa d'un sourcil mais ne releva pas la remarque. Il se contenta simplement de lever son digne postérieur et de retirer les menottes à nos deux lurons. Il parti se rassoir derrière son ordinateur et pianota sur le clavier quelques instants après avoir consulter les papiers de nos deux délinquants. Monsieur Maloy, je vois que vous aimez beaucoup vous en prendre aux agents de police, vous n'en êtes pas à votre première amende, sachez toutefois que nous ne serons pas aussi sympathiques que l'ont été vos amis européens... ». Tout au plus cette remarque donnait à Elliott une très jaune envie de rire, mais pour lui faire peur il en faudrait un peu plus. Se renfrognant légèrement il préparait une répartie cinglante lorsque l'agent ouvrit à nouveau la bouche. Ivresse sur la voix publique, conduite en état d'ébriété, dégradations de biens publics, consommation de substances illicites, insultes à agents, coups et blessures volontaires, trouble de l'ordre, nombreuses récidives, je continue ? ». Bon d'accord il était peut être plus futé qu'il ne le paraissait. Dans un tout autre contexte, rappeler au jeune comédien ces multiples débilités aurait eu, tout au plus, l'impact d'un pet de mouche. Là , Quentin était présent et sur sa chaise, Elliott s'était racrapoter. Il n'avait pas besoin que le français sache à quel point il avait touché le fond durant son "séjour" en Europe. Vous avez beaucoup de chance qu'on ne puisse pas vous reprocher tout cela sur le sol américain jeune homme, ou vous seriez bon pour un petit tour en prison...». Attendait- on un frisson de peur ou des larmes de repentit ? Car si c'était le cas, l'agent pouvait toujours attendre. L'homme s'était remis à parler, mais Elliott n'y faisait désormais plus attention. Il connaissait leurs sermons, toujours les mêmes. Il allait posé des questions, s'énerver un peu, faire semblant d'être affligé puis leur balancer une sale excuse de manque de temps ou de besoin d'information de supérieurs hiérarchiques pour les garder, les faire mariner un peu en cellule de garde à vue. Une fois la porte fermée on les menacerait de "graves sanctions" s'il venait à l'idée des deux amants de recommencer leur tapage et puis ça serait tout. Au bout du compte à part faire perdre un peu de temps aux différents agents mobilisés dans cette stupide histoire, tout ce cirque n'aura pas servi à grand chose. En attendant ils étaient bien là , en cellule de garde à vue. Tout les deux. Elliott avait évité d'ouvrir la bouche une fois de plus, ne voulant pas causer plus de problème à Quentin. Il se fichait bien des conséquences s'il avait été le seul à se les prendre en pleine poire, enfoncer le français avec lui par contre... Un français beau à tomber qu'il évitait d'ailleurs de regarder. Assis, adossé contre un mur, le comédien gardait obstinément les yeux sur ses chaussures. Rongé à nouveau pas la culpabilité. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mar 9 Nov - 2332 houston nous avons eut un problème ce post revient très vite !Dernière édition par Quentin D. Klein le Dim 28 Nov - 404, édité 2 fois Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Jeu 11 Nov - 1915 Comme quoi, derrière tout homme se cache, non pas une femme, mais un greemlins. Une sale bestiole qu'on essaye tous, sans exception, de faire taire. On l'étouffe un maximum, on continue à vivre en faisait semblant qu'elle n'est pas là . Et elle, elle s'alimente de notre haine, de nos regrets, de nos coups de gueule. Elle grossit, à chaque erreur elle prend de l'ampleur. Elle devient tellement grosse que cette sale bestiole vous aliène complètement. Non aucun homme ne peut être parfait Quentin. Pas même Elliott. Et à trop vouloir l'être le ptit bout, tel un Icare en puissance, a fini par se bruler les ailes. Ça pète et une fois que ça a déversé toute sa rancœur, la sale bête redevient un adorable petit chaton qui gambade dans les champs... C'est mignon hein ? Mais de son passage il reste des séquelles, tout est détruit, à reconstruire. Les travaux de rénovations étaient tellement récents pour le jeune comédien, que toutes ses émotions contradictoires face à Quentin, menaçaient de tout faire écrouler une fois de plus. C'est pour ça qu'il gardait le silence, pour ça qu'Elliott évitait de croiser le regard de Quentin. Il avait de nouveau cette impression dérangeante d'être transparent devant le français, que dans ses grands yeux bleus l'autre patate pouvait tout lire de son désespoir. Tout lire d'à quel point il était en fait fragile malgré que les épreuves lui ai appris à afficher une certaine contenance. Peut être qu'en ce moment c'était une bonne chose, que Quentin puisse voir à quel point Elliott s'en voulait, mais pour le comédien c'était une autre histoire. Aussi loin qu'il pouvait se le rappeler c'était ce qui l'avait toujours perdu dans leur relation. Cette facilité avec laquelle Quentin le mettait à ses pieds. Et malgré toutes les bonnes résolutions du comédien, cette fois-ci n'allait pas faire sol était froid, Elliott fini par se relever, les yeux toujours dans le vague jusqu'à ce qu'une ombre passe dans le paysage. Quentin venait de se poster à coté de lui. En fait le jeune homme n'avait même pas besoin de tourner les yeux pour sentir la présence du français. Il se garda d'ailleurs bien de le faire. -Très bien... en fait j’ai encore une dernière question à te poser pourquoi tu m’as pas rappelé quand tu es rentré ici ?... T’avais peur que je ne veuille plus t’adresser la parole ? T’avais raison. Je veux plus t’adresser la parole. Je veux plus que tu m’approches. Venir sonner à mon appart, t’y penses même pas, sauf si tu veux te faire refaire au carré ta jolie gueule. Andrea, tu ne lui adresses plus non plus la parole. En fait tu m’oublies totalement, moi et mon entourage, comme tu m’as si bien oublié cette dernière année. En échange je t’oublie aussi. C’est génial comme contrat non ?! T’as quelque chose à ajouter avant de signer ?... »Le comédien lui aurait bien rappelé que la moindre des politesses quand on pose une question, c'est de laisser les gens répondre, mais loin de lui l'envie de dégrader un peu plus la situation pour des trucs inutiles. Par contre, pour des choses qui en valaient la peine... Sans qu'il n'ai vraiment pu s'en rendre compte, un rire sarcastique s'échappa de ses lèvres. Pensait-il réellement qu'il allait laissé tomber aussi facilement ? Il était bien naïf. Si beaucoup de choses avaient fait mal, tous les événements de cette dernière heure avaient également réconforté Elliott. Quentin lui en voulait, qui l'en blâmerait, mais si la haine qui lui vouait était aussi terrible, c'était pour une seule raison au fond. Une raison qui, comme il connaissait Quentin, ce dernier essayait de masquer derrière des tas d'autres excuses. Il l'aimait encore, peut être juste un peu ,mais c'était suffisant pour lui faire mal, le faire partir en vrille.... et lui faire dire de telles conneries, accessoirement. Au fond, peut-être que le comédien s'en voulait un peu pour ça aussi. Peut être aurait-il du le broyer une bonne fois pour toute, faire grimper la haine, déjà hors normes, d'un cran encore. Faire en sorte que Quentin n'ait plus rien à quoi s'accrocher, pour qu'il l'oublie et qui recommence à vivre "normalement". Peut être. Certains diront que ça aurait été la plus belle preuve d'amour. Le laisser partir, vivre loin de tous ce qui lui avait détruit le cœur. S'arracher à Quentin, c'était comme s'arracher à une partie de lui. Une partie de lui qui, paradoxalement, était devenue plus importante pendant cette année où il avait été loin de lui. S'arracher à Quentin, une bonne fois pour toute, c'était comme se mettre un flingue sur la tempe et appuyer sur la détente sans attendre. Malheureusement nous sommes tous mûs par un terrible instinct de survie, aussi suicidaire voulons-nous l'être. Avait-il quelques chose à ajouter ? Bien sur ! Il avait un tas de trucs à dire, mais maintenant qu'il tournait ses deux grands yeux vers le visage froid de Quentin, il ne savait plus quoi. Tout ce qu'il savait en fait c'était, qu'irrésistiblement, son corps avait cherché la promiscuité de celui du français et qu'instinctivement il s'était approché du brun. Elliott avait beau paraitre imposant en ce moment, peut être qu'il allait se faire démonter une bonne fois pour toute, mais une seule réponse à ce contrat stupide lui tournait inlassablement dans la tête. Une seule. En un millième de seconde, les lèvres d'Elliott virent kidnapper ses consœurs. Un frémissement violent lui parcourut l'échine, mais avant même qu'il ait eu le temps de profiter de ce contact enivrant, des clés se glissèrent dans la serrure de la cellule. Jeunes gens, vous êtes libres, mais qu'on n'ait plus à se plaindre de vous...». Il avait le chic pour leur tomber dessus dans les moments les moins adaptés lui, c'était inhumain. Obliger ainsi Elliott a quitter les lèvres de Quentin. Rien que pour ça il devrait mourir au bûcher. Ne t'en fait pas pour l'autre grognasse Quentin, je donnerais n'importe quoi pour la rayer de ma mémoire, mais toi... Si à en un an et des milliers de kilomètres il n'y a pas eut moyen de t'oublier, c'est pas ton contrat à la con qui y arrivera... ». Sur ce, le comédien se détourna le cœur serré du français et exécuta l'agent de police du regard. Agent de police qui les regardait d'ailleurs assez bizarrement et ne fit pas trop attention au regard assassin du jeune homme. Je vous parie qu'il n'a pas l'habitude de mettre deux types prêts à s'entre tuer en cellule et les retrouver occupé à se bécoter... ça doit lui faire un choc, le pauvre. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Dim 28 Nov - 405 When my honey comes back, ,sometimes I'm gonna rap that jack, sometimes... C'était sans doute la dernière chose à laquelle il s'attendait. Ou peut-être pas. Qui sait. Si ça se trouve il s'était rapproché aussi prêt justement pour inciter le comédien à faire ça, parce qu'il en crevait d'envie. Genre, même si c'était ça, vous croyez vraiment que Quentin l'aurait avoué ? Même pas dans tes rêves, Elliott Maloy ! Même si cette rencontre était tellement agréable qu'elle faisait courir des frissons sur sa peau, qu'elle foutait son coeur en pagaille totale, à la limite de l'arrêt cardio vasculaire. Putain, mais qu'est ce qu'il foutait là ? Il detestait ça. Jamais il ne s'était senti aussi mal...ni aussi bien, aussi étrange que ça pouvait paraitre. Il n'aurait jamais cru Elliott capable de faire ce genre de chose de son propre chef. Pas dans un moment pareil en tout cas... C'était troublant de constater ainsi les changements qui s'étaient opérés chez le comédien. Avait-il changé lui aussi ?Bordel, mais qu'est ce qu'il avait foutu en Belgique ? Il fallait qu'il lui demande... qu'il le supplie de rester avec lui, de l'embrasser encore, de ne plus l'abandonner. Il aurait dut ramper à ses pieds. Mais qui était ce "Il" ? Fallait que Quentin demande putain. C'était le moment. Apres, ça serait trop tard. Il connaissait déja la suite des évènements. En sortant il prendrait le premier taxi qui passe pour s'enfuir. ça n'aurait pas dut être lui, mais pourtant ça l'était. Elliott aurait dut déguerpir, il ne l'avait pas fait. Il aurait dut trembler devant sa fureur, se faire tout petit, s'excuser. Rien. Et Quentin ne l'avait même pas blesser, en vérité. Ce n'était rien comparé à tout ce qu'il s'était imaginé pouvoir lui faire subir...Mais demande bordel !Il commençait tout juste à formuler la question adequate dans son esprit lorsqu'un bruit de cliquetis dans la serrure interrompit le le moment était passé, c'était trop tard maintenant. Fallait te réveiller plus tôt coco ! Domage pour toi, repasses ton tours. Devoir se détacher de ses lèvres fut douloureux. Se rendre compte qu'il avait répondu au baiser avec une ardeur dont il ne se serait jamais cru capable... un putain de choc. Et une erreur, une de plus. C'était décidé, à partir de maintenant, il ne craquerait plus. Plus pour Elliott. Plus jamais. C'était une décision bien cruelle et sombre, mais nécessaire. Même s'il l'aimait encore, il ne voulait plus du comédien...ou alors, il le voulait encore. Mais à un tel point que cette perspective le terrifiait. Il aurait dut le hair. Et il le haissait, mais cette haine était au moins égal à la passion qui le rongeait férocement, une passion qui lui donnait envie de se jeter à nouveau sur ce lèvres si attirantes...ces lèvres qui ne lui appartenaient le gardien il se retrouva bien vite dehors, enfin libre. Il était temps. Il avait passé environ une heure là dedans. Bilan 12 appels manqués et un sms inutile de me rappeler. Aha, la bonne blague. Pourquoi sa vie partait en lambeau dès qu'Elliott pointait le bout de son nez ? Mais merde, rentre chez toi, rentre en Belgique, fiche moi la paix !! Il avait l'impression de jouer dans une très mauvaise série B. Qui était l'enculé de scénariste ? Qui devait-il tuer pour toutes ces conneries ? Pour sortir de ce bordel ?!?Il arrêta un taxi et se tourna vers le comédien, avec la ferme intention de lui dire adieu une bonne fois pour toute. Une fois de plus, ce qui sortit de sa bouche fut différent -Tu rentres comment ? »Ba oui, mine de rien, il avait bien remarqué qu'Elliott avait rembaré ses "amis", qui étaient peut-être rentrés chez eux. Mais peut-être qu'il était venu à pied, qu'il avait pris le métro ou le bus... -A moins que tu aies encore des prospectus de merde à distribuer ? Dans ce cas ciao. » Il monta dans le taxi, n'attendant même pas la réponse d'Elliott. Au fond, même s'il esperait que ce dernier monterait dans le taxi pour pouvoir grapiller encore quelques minutes avec lui, il désirait également, pour sa propre survie, que ce dernier refuse et rentre chez lui par ses propres moyens. Et oui, c'était sans doute le mieux. Il donna son adresse, le taxi ne se retourna pas. Invité Empire State of MindInvité Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Mar 7 Déc - 2144 Il resta là , à regarder le taxi s'en aller. S'ils avaient été dans une vrai série B de merde pour sur Elliott aurait couru derrière le taxi, mais ils s'étaient déjà assez fait remarquer comme ça et de toutes façon ses jambes ne le soutenaient plus qu'à peine. Le temps que la voiture ne tourne le coin de la rue, qu'il s'assaillait sur le bord du trottoir. Il n'y avait pas grand monde qui passait et de toute façon ça lui importait peu de passer pour un clodo en ce moment. La tête lui tournait, comme s'il n'avait plus respiré depuis des lustres, comme s'il s'était drogué et qu'il retombait trop subitement sur terre. La figure dans les mains il tentait de calmer les battements de son cœur en se concentrant sur sa respiration. Mais plus les images de ces dernières heures lui tournait dans la tête plus il lui semblait que l'air lui manquait, qu'il sortait d'un mauvais rêve. Il s'était donc appliqué à faire le vide, ne plus penser à rien, plus facile à envisager qu'à faire cela dit, il réussit après quelques minutes d'acharnement. Un quart d'heure et quelques bouffées d'air plus tard, il se relevait enfin. Machinalement il sortit une clope, la porta à ses lèvres et l'alluma. Tirant dessus plus par automatisme que par réelle envie. Il sorti son cellulaire. Justin avait tenter de l'appeler plusieurs fois et lui avait envoyé quelques messages alarmés. Il rassura son ami, lui disant de ne pas s'inquiéter, qu'il allait bien et qu'il essayerait de passer à la répète demain s'il trouvait le moyen de masquer un peu le coquard qu'il avait désormais. Tout était faux bien entendu. Il n'allait pas bien, quand bien même il était encore plus mal quelques minutes plus tôt. Il aimait bien Justin, c'était quelqu'un de sympa, inutile de le stresser avec ses états d'âme. États d'âme à la limite du suicidaire si on prêtait attention à cette lueur désespéré qui s'était immiscée dans le bleu des yeux d'Elliott alors qu'il regardait la circulation. Comme si se jeter sous une voiture était l'idée la plus agréable au monde. A quelques détails près, c'était bien l'idée la plus agréable qu'il ait en ce moment en tout cas. Il termina sa cigarette, dans le gaz, avant d'enfoncer ses mains dans son jeans et de prendre le chemin vers chez lui. Il était venu avec la voiture de Caleb, d'ailleurs il était certain d'avoir laisser sa veste dedans. L'envie de se mêler à la foule du métro étant réduite au stade zéro, il choisit donc de retourner à pied. Ça lui laissait un sacré bon trajet pour réfléchir. Car oui c'était reparti, dans la tête d'Elliott, on recommençait à analyser, à stocker, à se souvenir. Et quels souvenirs... Se rappelant doucement le début de l'altercation, le jeune comédien grimaça. Ça fait mal hein ? Être délaissé par celui à qui on avait fini par s'abandonner...» Il n'arrivait pas à croire avoir prononcer de telles paroles. C'était purement ignoble ! Pas étonnant que Quentin soit partit en vrille lui aussi. Avec le recul, il lui semblait néanmoins que celui qui était le plus parti en freestyle c'était bien lui, le type qui un an plus tôt aurait encaissé sans faire quoi que se soit. Pourtant Quentin était le roi de l'impulsivité, c'était à lui qu'aurait du revenir ce titre honorifique de péteur de câble ! Sans oublier que le français avait une raison de plus que lui pour le faire... Au début il avait relancer la scène dans sa tête avec l'espoir d'y comprendre quelque chose, d'y déceler des choses qu'il n'aurait pas capter sur le moment, mais rien à faire. Intérieurement il réagissait exactement comme il l'avait fait sur ce trottoir en face de Quentin. Son souffle c'était a nouveau coupé et son cœur avait fait un bruit de verre brisé au souvenir de Ma vie est un enfer depuis que je te connais, connard !! », il avait grondé méchamment à l'égoïste et injuste Bouhouhou, j’allais mal alors je suis parti !», son estomac s'était retourné de surprise en se remémorant le baiser "forcé" de Quentin, tout comme il s'était contracté de dégoût à l'image du brun s'éloignant fier de sa "vengeance". Décidément, il lui faudrait repasser le triste film de ces dernières heures plus d'une fois avant de pouvoir le regarder froidement, pour le décortiquer comme si ce qu'il venait de vivre s'était passé dans la vie d'un autre. Dans la peau d'un autre, de l'autre qu'il était devenu malgré lui. Lorsqu'il sembla émerger un peu de ses moroses pensées, il aperçu une fleuriste occupée à rentrer ses fleurs avant la fermeture. Il ne savait pas trop ce qu'il faisait, il savait juste qu'il était entré dans la boutique et avait demandé mollement la plus jolie des jonquilles qui lui restait. Était-ce parce qu'elle était pressée ou par ce qu'Elliott semblait au bord du malaise, qu'elle lui offrit la jolie fleur sans rien dire ? Peut lui importait au bout du compte le résultat était le même. Le nez à quelques millimètres de la fleur, il rentra chez lui. Mais chez lui rien ne l'attendait, en fait, les pièces lui semblaient plus vides que jamais. Un soupir gros comme le monde s'immisça d'entre ses lèvres avant qu'il n'aille machinalement s'écrouler sur son lit. Il n'avait même pas eu le temps de se dire à quel point il était pitoyable qu'il s'était déjà endormi. Sommeil de courte durée, il fut réveillé par une fièvre bizarroïde. Lorsqu'il ouvrit les yeux, la première chose qu'il vit, fut cette foutue jonquille et cela lui donna une idée. Aussi vivement qu'il ne pouvait le faire dans son état semi comateux, il farfouilla dans ses affaires classée "Secret d'État" pour en sortir une photo qu'il avait fait à l'occasion d'une ballade avec Quentin. Elle le fit sourire un instant, celui d'après il avait détourné les yeux. Attraper le taureau par les cornes, telle était son grand projet. Le voyage lui paru anormalement court, il s'était retrouvé sur le perron du français avant même d'avoir réellement réalisé qu'il allait vraiment le faire. Il laissa cet état de loque reprendre le dessus, ça l'empêchait de ressentir quoi que se soit d'autre que du vide et de laisser la fleur et sa photo sur le paillasson comme si ça avait été aussi naturel que de mettre une lettre dans la boite aux lettres. Il ne s'éternisa pas, retomber sur Quentin n'était peut être pas la meilleure chose à faire aujourd'hui. Il s'en était pris suffisamment dans la gueule pour le moment, autant l'un que l'autre. C'est dans son canapé, devant une bêtise d'émission qu'Elliott s'enlisa dans un sommeil sans rêve, avec comme l'intention de ne jamais plus se réveiller. Contenu sponsorisé Empire State of Mind Sujet Re Today, i've got nothing to lose. Elliott Today, i've got nothing to lose. Elliott Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage
Disponibilitéen Magasin. Nos équipes de conception ont développé cette chaussure de running homme légère et stable pour vos sorties en course à pied et vos courses jusqu'au marathon. AVANTAGES.
Avec Sans Accords Au dessus des puissances, au dessus des rois,Au dessus de la nature et de la création,Au dessus de tous les plans des hommes sages,Bien avant le monde, tu existais. Au dessus des royaumes, au dessus des trônes,Au dessus des merveilles que ce monde a connues,Par dessus tous les trésors de la terre,Rien ne peut mesurer ta valeur. Crucifié, seul, abandonné,Tu as souffert, méprisé, rejeté,Telle une rose foulée sous nos m’as sauvé, tu m’as aimé, par dessus tout. E/D D Esus E A A/C Au dessus des puis sances, au dessus d es rois, E/D D Esus E A A/G Au dessus de la na ture et de la créa tion, Fm AM7/E D A/C Au dessus de tous les plans des hommes s a ges, Bm7 D/A E/G A Bien avant le m onde, tu exist ais. A/C E/D D Esus E A A/C Au des sus des ro yaumes, au dessus d es trônes, E/D D Esus E A A/G Au dessus des mer veilles que ce monde a con nues, Fm AM7/E D A/C Par dessus tous les trésors de la t er re, Bm7 D/A Csus C Rien ne peut mes urer ta val eur. A Bm7 E/G A Crucif ié, seul, abandonn é, A Bm7 E/G A Tu as souff ert, mé prisé, rejet é, A/G Fm AM7/E D A/C Telle une rose foulée sous nos pieds. Bm7 A/C D2 D Esus E A Tu m’as sauv é, tu m’as aim é, par dessus tout. Lenny Leblanc – Paul Baloche - Above All © 1999 Integrity’s Hosanna! Music / LTC Note importante Ces fichiers sont à utiliser uniquement dans le cadre privé. Pour tout usage public église / organisation / événement / groupe, merci de bien vouloir vous rapprocher de la LTC pour le paiement des droits des chants gérés par la LTC inclut l’ensemble des œuvres des recueils connus et bien d’autres, et vous rapprocher des auteurs directement pour les autres. Souscrire à une licence LTC Contacter la LTC sur contact Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !
Desprestations mémorables . Digne héritière d'une gamme emblématique, la chaussure Asics Noosa Tri 13 pour femme s'affirme comme un véritable renouveau pour la marque nippone.Conçue pour vos sessions de running sur routes et chemins tracés, elle s'inspire de l'exigent triathlon de Noosa et se revêt d'imprimés célébrant la culture japonaise.. Les
Depuis qu’Adam, ce cruel homme, A perdu son fameux jardin, Où sa femme, autour d’une pomme, Gambadait sans vertugadin, Je ne crois pas que sur la terre Il soit un lieu d’arbres planté Plus célébré, plus visité, Mieux fait, plus joli, mieux hanté, Mieux exercé dans l’art de plaire, Plus examiné, plus vanté, Plus décrit, plus lu, plus chanté, Que l’ennuyeux parc de Versailles. Ô dieux ! ô bergers ! ô rocailles ! Vieux Satyres, Termes grognons, Vieux petits ifs en rangs d’oignons, Ô bassins, quinconces, charmilles ! Boulingrins pleins de majesté, Où les dimanches, tout l’été, Bâillent tant d’honnêtes familles ! Fantômes d’empereurs romains, Pâles nymphes inanimées Qui tendez aux passants les mains, Par des jets d’eau tout enrhumées ! Tourniquets d’aimables buissons, Bosquets tondus où les fauvettes Cherchent en pleurant leurs chansons, Où les dieux font tant de façons Pour vivre à sec dans leurs cuvettes ! Ô marronniers ! n’ayez pas peur ; Que votre feuillage immobile, Me sachant versificateur, N’en demeure pas moins tranquille. Non, j’en jure par Apollon Et par tout le sacré vallon, Par vous, Naïades ébréchées, Sur trois cailloux si mal couchées, Par vous, vieux maîtres de ballets, Faunes dansant sur la verdure, Par toi-même, auguste palais, Qu’on n’habite plus qu’en peinture, Par Neptune, sa fourche au poing, Non, je ne vous décrirai point. Je sais trop ce qui vous chagrine ; De Phoebus je vois les effets Ce sont les vers qu’on vous a faits Qui vous donnent si triste mine. Tant de sonnets, de madrigaux, Tant de ballades, de rondeaux, Où l’on célébrait vos merveilles, Vous ont assourdi les oreilles, Et l’on voit bien que vous dormez Pour avoir été trop rimés. En ces lieux où l’ennui repose, Par respect aussi j’ai dormi. Ce n’était, je crois, qu’à demi Je rêvais à quelque autre chose. Mais vous souvient-il, mon ami, De ces marches de marbre rose, En allant à la pièce d’eau Du côté de l’Orangerie, À gauche, en sortant du château ? C’était par là , je le parie, Que venait le roi sans pareil, Le soir, au coucher du soleil, Voir dans la forêt, en silence, Le jour s’enfuir et se cacher Si toutefois en sa présence Le soleil osait se coucher. Que ces trois marches sont jolies ! Combien ce marbre est noble et doux ! Maudit soit du ciel, disions-nous, Le pied qui les aurait salies ! N’est-il pas vrai ? Souvenez-vous. – Avec quel charme est nuancée Cette dalle à moitié cassée ! Voyez-vous ces veines d’azur, Légères, fines et polies, Courant, sous les roses pâlies, Dans la blancheur d’un marbre pur ? Tel, dans le sein robuste et dur De la Diane chasseresse, Devait courir un sang divin ; Telle, et plus froide, est une main Qui me menait naguère en laisse. N’allez pas, du reste, oublier Que ces marches dont j’ai mémoire Ne sont pas dans cet escalier Toujours désert et plein de gloire, Où ce roi, qui n’attendait pas, Attendit un jour, pas à pas, Condé, lassé par la victoire. Elles sont près d’un vase blanc, Proprement fait et fort galant. Est-il moderne ? est-il antique ? D’autres que moi savent cela ; Mais j’aime assez à le voir là , Étant sûr qu’il n’est point gothique. C’est un bon vase, un bon voisin ; Je le crois volontiers cousin De mes marches couleur de rose ; Il les abrite avec fierté. Ô mon Dieu ! dans si peu de chose Que de grâce et que de beauté ! Dites-nous, marches gracieuses, Les rois, les princes, les prélats, Et les marquis à grands fracas, Et les belles ambitieuses, Dont vous avez compté les pas ; Celles-là surtout, j’imagine, En vous touchant ne pesaient pas. Lorsque le velours ou l’hermine Frôlaient vos contours délicats, Laquelle était la plus légère ? Est-ce la reine Montespan ? Est-ce Hortense avec un roman, Maintenon avec son bréviaire, Ou Fontange avec son ruban ? Beau marbre, as-tu vu la Vallière ? De Parabère ou de Sabran Laquelle savait mieux te plaire ? Entre Sabran et Parabère Le Régent même, après souper, Chavirait jusqu’à s’y tromper. As-tu vu le puissant Voltaire, Ce grand frondeur des préjugés, Avocat des gens mal jugés, Du Christ ce terrible adversaire, Bedeau du temple de Cythère, Présentant à la Pompadour Sa vieille eau bénite de cour ? As-tu vu, comme à l’ermitage, La rondelette Dubarry Courir, en buvant du laitage, Pieds nus, sur le gazon fleuri ? Marches qui savez notre histoire, Aux jours pompeux de votre gloire, Quel heureux monde en ces bosquets ! Que de grands seigneurs, de laquais, Que de duchesses, de caillettes, De talons rouges, de paillettes, Que de soupirs et de caquets, Que de plumets et de calottes, De falbalas et de culottes, Que de poudre sous ces berceaux, Que de gens, sans compter les sots ! Règne auguste de la perruque, Le bourgeois qui te méconnaît Mérite sur sa plate nuque D’avoir un éternel bonnet. Et toi, siècle à l’humeur badine, Siècle tout couvert d’amidon, Ceux qui méprisent ta farine Sont en horreur à Cupidon !… Est-ce ton avis, marbre rose ? Malgré moi, pourtant, je suppose Que le hasard qui t’a mis là Ne t’avait pas fait pour cela. Aux pays où le soleil brille, Près d’un temple grec ou latin, Les beaux pieds d’une jeune fille, Sentant la bruyère et le thym, En te frappant de leurs sandales, Auraient mieux réjoui tes dalles Qu’une pantoufle de satin. Est-ce d’ailleurs pour cet usage Que la nature avait formé Ton bloc jadis vierge et sauvage Que le génie eût animé ? Lorsque la pioche et la truelle T’ont scellé dans ce parc boueux, En t’y plantant malgré les dieux, Mansard insultait Praxitèle. Oui, si tes flancs devaient s’ouvrir, Il fallait en faire sortir Quelque divinité nouvelle. Quand sur toi leur scie a grincé, Les tailleurs de pierre ont blessé Quelque Vénus dormant encore, Et la pourpre qui te colore Te vient du sang qu’elle a versé. Est-il donc vrai que toute chose Puisse être ainsi foulée aux pieds, Le rocher où l’aigle se pose, Comme la feuille de la rose Qui tombe et meurt dans nos sentiers ? Est-ce que la commune mère, Une fois son oeuvre accompli, Au hasard livre la matière, Comme la pensée à l’oubli ? Est-ce que la tourmente amère Jette la perle au lapidaire Pour qu’il l’écrase sans façon ? Est-ce que l’absurde vulgaire Peut tout déshonorer sur terre Alfred de Musset
Àtrois jours de l’arrivée officielle du printemps, la vingt-cinquième édition des foulées de Saultain a rassemblé sous le soleil, ce dimanche, 500 marcheurs et 1 250 coureurs.
Concert à la découverte d'instruments insolites Manifestation culturelleAmmerschwihr 68770Le 21/08/2022Le concert La boite à musique à lieu dans le chœur de l’église Saint-Martin d’Ammerschwihr connu également pour son acoustique remarquable. Sur le thème du salon de musique de la reine Marie-Antoinette, l’artiste Stéphane Schweitzer présentera des instruments anciens comme le piano de table, la basse de viole ou le pardessus de viole selon un programme inédit d’œuvres de Glück, Mozart, Philippe-Jacques Meyer 1737-1819, avait déjà impressionné son public le 31 juillet dernier par la présentation d’autres instruments anciens par exemple la viole de gambe qui à la différence d’un violoncelle avec un pied, possède huit cordes et se tient coincé entre les jambes, de l’italien gamba, jambe d’où les gambettes de l’ancien français. Une très intéressante découverte à faire donc par tous les estivales Repas - Dégustation, AtelierSidiailles 18270Le 26/08/2022Cet élevage a donné jour à un atelier de transformation laitière lait, crème, yaourts, fromages, riz au lait....et l'été, des glaces à l'italienne fermières! Il vous sera proposé une assiette pour le dîner. Rdv 18h. Réservation obligatoire intima - Un voyage en images entre passé et présent Photographie - Vidéo, ExpositionMarseille 13000Du 11/05/2022 au 30/08/2022Jeudi 11 mai 2022 à 18h - Vernissage de l’exposition en présence de Claudio Argentiero Photographies de Elio Ciol, Guido Giannini, Mario Vidor, Luciano Montemurro, Augusto Viggiano, Marianne Sin-Pfältzer, Giuseppe Leone, Mario Giacomelli, Pietro Donzelli, Claudio Argentiero. Production Archivio Fotografico Italiano de Castellanza Milan dirigé par Claudio Argentiero. Depuis plus de 30 ans, Claudio Argentiero s'occupe de photographie. Son parcours se construit entre travaux commissionnés et recherches personnelles. Il s'intéresse depuis toujours à la documentation du territoire. Il dirige et organise des expositions et des événements photographiques de renom. Il est le créateur et l'organisateur du Festival Photographique Européen et de quelques expositions annuelles dont celles organisées depuis près de vingt ans dans l'historique Villa Pomini de Castellanza, lieu symbolique pour la photographie qui accueille le Fonds Photographique Italien, des archives importantes ayant pour finalité la conservation d'importantes œuvres d'auteurs italiens. Il est le Président Fondateur des Archives Photographiques Italiennes AFI, tout en étant "photo-éditeur" de livres de collection.[...]Concert à la Chapelle Octandre Chorale - Chant, Concert, MusiqueSaint-Alban 22400Le 26/08/2022Ce groupe vocal, composé de huit chanteurs, sans chef de chœur, aime interpréter des madrigaux de Monteverdi et des chants de la Renaissance française, italienne et anglaise mais également des œuvres de Brahms, Schuman, Schubert , Mendelssohn, Hervé Pouliquen, Karl Jenkins,… Libre participationStabat Mater de ScarlattiVault-de-Lugny 89200Le 26/08/2022Désignée comme sublime poème de la douleur » par Vincenzo Bellini, la séquence du Stabat Mater fut une source inépuisable d’inspiration pour nombre de compositeurs. Incomparable chef-d’œuvre pour dix voix solistes, celui de Domenico Scarlatti constitue l’une des plus poignantes expressions des souffrances de Marie révélant tout à la fois la personnalité et les couleurs du maître italien, si chères et si familières à Bertrand Mater de Scarlatti Manifestation culturelleVault-de-Lugny 89200Le 26/08/2022Désignée comme sublime poème de la douleur » par Vincenzo Bellini, la séquence du Stabat Mater fut une source inépuisable d’inspiration pour nombre de compositeurs. Incomparable chef-d’œuvre pour dix voix solistes, celui de Domenico Scarlatti constitue l’une des plus poignantes expressions des souffrances de Marie révélant tout à la fois la personnalité et les couleurs du maître italien, si chères et si familières à Bertrand DE VALRAS Bien-être, Musique, Vin - OenologieValras-Plage 34350Du 05/07/2022 au 23/08/2022L'Office de Tourisme Béziers Méditerranée, vous donne rendez-vous tout l'été à Valras-Plage. Venez à la rencontre de nos vignerons et producteurs locaux pour un moment de convivialité en plein air. Munissez-vous de vos tickets de dégustation et découvrez les vignerons présents. Vos assiettes seront garnies de tapas salées et sucrées concoctées par nos producteurs locaux Philomène traiteur tourtons farcis à différentes saveurs La Cabane à Huîtres coquillages Espérance, fromagère des halles assiettes de fromage et de charcuterie Traditions gourmandes chaussons aux moules, pizza aux crevettes… Viandes et saveurs brochettes de viandes Jérôme le pêcheur spécialités de la Mer Event's 34 poke thon rouge et riz noir Ice Loops glaces à la plancha, bubble waffle, bubble teas… Au P’tit Tuk glaces à l’italienne, crêpes, hot dogs… Le 5 juillet, côté vins, retrouvez Le Domaine des 3 Angles, le Domaine Emile et Rose, Terroirs en Garrigues, L’AB Tourrette, Le Mas Noguès, Le Vignoble Delonca, les Vignerons du pays d'Ensérune, le Domaine Yann le Bouler, Domaine Camp Louis, les vignerons de Sérignan, Alma Cersius et le Domaine la Colombette. Et côté musique Non[...]Sinfonia Riposta Musique, Musique classiquePérigueux 24000Le 26/08/2022La Guilde des Mercenaires est un ensemble de musique ancienne constitué de plusieurs artistes réunis autour du cornettiste Adrien Mabire. La musique italienne du XVIe siècle démarre ainsi dans une tradition polyphonique franco-flamande appelée la prima prattica. Elle consiste en une exploitation des ressources du style polyphonique traditionnel. La seconda prattica, développée à Venise par Monteverdi, marque la rupture avec la tradition et inaugure une position révolutionnaire, conséquence directe de la démarche du compositeur pour parvenir à l’idéal dramatique qu’il s’est guidée Le Théâtre MunicipalNevers 58000Du 28/07/2022 au 25/08/2022Commencés en 2015, les travaux de rénovation de ce petit théâtre à l'italienne de style néo renaissance sont désormais achevés. Cette visite vous offre une occasion unique de découvrir son architecture, ses espaces intérieurs parterre, loges, salle du foyer... ainsi que les équipements technologiques de dernier cri dont il a été doté. Tarifs 7€. Billetterie au Musée de la Faïence. Rendez vous les jeudis à 16h30 En juillet 28 En août 11 et 25Village Italien Fête, Repas - Dégustation, Manifestation culturelleVilleneuve-sur-Lot 47300Du 20/08/2022 au 28/08/2022Vente et dégustation de produits artisanaux italiens panettone, amaretti, chocolats, charcuterie, pâtes, sauces et vins...Village Italien Repas - Dégustation, Vin - Oenologie, ArtisanatVilleneuve-sur-Lot 47300Du 20/08/2022 au 28/08/2022Vente et dégustation de produits artisanaux italiens panettone, amaretti, chocolats, charcuterie, pâtes, sauces et vins...Visite guidée Le Théâtre Municipal Théâtre, Patrimoine - CultureNevers 58000Du 28/07/2022 au 25/08/2022Commencés en 2015, les travaux de rénovation de ce petit théâtre à l'italienne de style néo renaissance sont désormais achevés. Cette visite vous offre une occasion unique de découvrir son architecture, ses espaces intérieurs parterre, loges, salle du foyer... ainsi que les équipements technologiques de dernier cri dont il a été doté. Tarifs 7€. Billetterie au Musée de la Faïence. Rendez vous les jeudis à 16h30 En juillet 28 En août 11 et 25Les jeudis de Larros Musique, ConcertGujan-Mestras 33470Le 25/08/202219h30 Concert MISTER CHATTERBOX Ces trois multi-instrumentistes à l'humour certain et à la joie communicative distillent un cocktail musical à base de ska, rocksteady, reggae, biguine, blues. Ils vous donneront des envies de chalouper collé-serré. 20h30 Concert BANDA LES AMUSE-GUEULES 21h30 Spectacle JE T’AIME A L’ITALIENNE ET A L’ALGÉRIENNE – Rentrez dans l’art. Une pièce de Hugues Duquesne et Kader Nemer La plus méditerranéenne des comédies romantiques est de retour ! Carlo est décidé il va annoncer à son meilleur ami Farid qu’il est en couple avec sa soeur Aicha depuis 2 ans et qu’ils veulent se marier. L’arrivée surprise de la flamboyante Rachel va pimenter le tout... Cette comédie al dente à la sauce algérienne est un hymne à l’amour et à la mixité. 22h45 Concert LES ACCORDS’LÉON FANFARE Restauration rapide sur place par l’association "Gujan-Mestras en Fêtes".Concert d'orgueDijon 21000Du /00/1e16 au //099"Tel Père, Tel Fils, ou Presque... !" est l'intitulé du prochain concert que l'association "Les Amis des Orgues de Saint Pierre" organisent. Jan Willem JANSEN, le célèbre organiste et claveciniste toulousain, jouera l'orgue italien de l'église Saint Pierre de À L'HOTEL DE CHASSEYSemur-en-Auxois 21140Du /00/1e16 au //099Traviata adapté d'Italienne, scène et orchestre de Jean-François Sivadier Mise en scène Valentine Catzéflis Son Maxime Hoarau Collaboration artistique Nacima Bekhtaoui avec Justine Bachelet, Nacima Bekhtaoui, Zoé Fauconnet, Aurélien Gabrielli, Benjamin Gazzeri Durée 2h15 avec entracte Tarif PRIX LIBRESinfonia Riposta Musique, Musique classique, Concert, Festival généraliste, Chorale - Chant, SpectaclePérigueux 24000Le 26/08/2022La Guilde des Mercenaires est un ensemble de musique ancienne constitué de plusieurs artistes réunis autour du cornettiste Adrien Mabire. La musique italienne du XVIe siècle démarre ainsi dans une tradition polyphonique franco-flamande appelée la prima prattica. Elle consiste en une exploitation des ressources du style polyphonique traditionnel. La seconda prattica, développée à Venise par Monteverdi, marque la rupture avec la tradition et inaugure une position révolutionnaire, conséquence directe de la démarche du compositeur pour parvenir à l’idéal dramatique qu’il s’est guidée de Soultzbach-les-bains Visites et circuitsSoultzbach les Bains 68230Le 25/08/2022Une visite guidée du prestigieux village médiéval de Soultzbach les Bains par l'incontournable Rolande Megnouche. Sur inscription à l'Office de Tourisme, accessible en priorité aux vacanciers porteurs de la Munstercard Minimum 5 personnes Durée 1h30/2h Fondé en 1275 et entouré de remparts, la plus petite cité médiévale d'Alsace conserve son aspect médiéval et de nombreuses maisons à pans de bois. La découverte de la 1ère source en 1603 fera de Soultzbach une station thermale réputée aux 17ème et 18ème siècles, fréquentée par des hôtes illustres dont le célèbre aventurier italien Casanova. A découvrir dans Soultzbach les Bains L’église paroissiale St Jean-Baptiste dont le chœur des 15ème et 16ème siècles abrite l’un des plus beaux tabernacles mural d’Alsace environ de 1500. Trois autels baroques du 18ème siècle et un orgue Callinet de 1833 complètent ce riche patrimoine. La chapelle Ste Catherine, dans le centre du village renferme un patrimoine baroque exceptionnel dont 2 tableaux monumentaux de "Joe Hill" CinémaSaint-Pol-sur-Ternoise 62130Du 00/00/-100 au 99/99/-1991971 - USA - 1h57 De Bo Widerberg Avec Thommy Berggren, Anja Schmidt Synopsis En 1902, deux immigrants suédois, Joel et Paul Hillstrom, arrivent aux Etats-Unis. Ils doivent faire face aux amères réalités, une langue nouvelle et l'effroyable pauvreté qui règne dans les quartiers de l'East Side à New-York. Paul quitte la ville, Joel y reste, amoureux d'une jeune Italienne. Mais l'aventure est de courte durée. Rien ne le retenant à New-York, Joel, devenu Joe Hill, se met en route vers l'Ouest pour retrouver son TEMPS DU PATRIMOINE " À LA DÉCOUVERTE DE LA CARRIÈRE DE MARBRE" Visite guidée, Randonnée et baladeSaint-Nazaire-de-Ladarez 34490Le 26/08/2022Perché sur un sommet au-dessus du village de Saint-Nazaire -de Ladarez, l'ermitage Saint-Etienne domine la vallée de l'Orb. Le point de vue porte jusqu'à la mer et aux Pyrénées. La randonnée, commentée par Ronan votre guide, débute au pied de l'ancienne carrière de marbre. Exploitée à partir du 17è siècle, cette carrière a produit le Rouge Incarnat, le rouge et gris appelé Turquin et un joli gris appelé Cévenol ou Gris Agate. Grands utilisateurs de ce marbre, les italiens ont importé le marbre de Saint-Nazaire-de-Ladarez pour faire différents travaux dans de nombreux pays.... Réservation aux curieux ! Les coulisses du théâtre Saint-Louis Manifestation culturelle, Histoire - Civilisation, Patrimoine - Culture, Visites et circuitsPau 64000Le 27/08/2022Ce théâtre à l'italienne, presque caché dans l'hôtel de ville de Pau, fête cette année ses 160 ans. Cet anniversaire est l'occasion d'évoquer la riche histoire de ce lieu dédié à la culture. RDV à l'office de tourisme, place Royale. RÉSERVATION OBLIGATOIRE - NOMBRE DE PLACES LIMITÉAvis aux curieux ! Les coulisses du théâtre Saint-Louis Théâtre, Vie locale, FêtePau 64000Le 27/08/2022Ce théâtre à l'italienne, presque caché dans l'hôtel de ville de Pau, fête cette année ses 160 ans. Cet anniversaire est l'occasion d'évoquer la riche histoire de ce lieu dédié à la culture. RDV à l'office de tourisme, place Royale. RÉSERVATION OBLIGATOIRE - NOMBRE DE PLACES LIMITÉVisite guidée de Soultzbach-les-bains Histoire - Civilisation, Patrimoine - Culture, Musique classiqueSoultzbach-les-Bains 68230Le 25/08/2022Une visite guidée du prestigieux village médiéval de Soultzbach les Bains par l'incontournable Rolande Megnouche. Sur inscription à l'Office de Tourisme, accessible en priorité aux vacanciers porteurs de la Munstercard Minimum 5 personnes Durée 1h30/2h Fondé en 1275 et entouré de remparts, la plus petite cité médiévale d'Alsace conserve son aspect médiéval et de nombreuses maisons à pans de bois. La découverte de la 1ère source en 1603 fera de Soultzbach une station thermale réputée aux 17ème et 18ème siècles, fréquentée par des hôtes illustres dont le célèbre aventurier italien Casanova. A découvrir dans Soultzbach les Bains L’église paroissiale St Jean-Baptiste dont le chœur des 15ème et 16ème siècles abrite l’un des plus beaux tabernacles mural d’Alsace environ de 1500. Trois autels baroques du 18ème siècle et un orgue Callinet de 1833 complètent ce riche patrimoine. La chapelle Ste Catherine, dans le centre du village renferme un patrimoine baroque exceptionnel dont 2 tableaux monumentaux de de musique baroque avec 2 choeurs et orchestreSaint-Pol-sur-Ternoise 62130Du 00/00/-100 au 99/99/-199Ce dimanche 20 mars, venez assister au concert de musique baroque, avec "L'Ensemble H3" dirigé par Ian Ward, et "L'ensemble vocal de la Hem" dirigé par Anne Poelen ! Tarif unique 8€ Point de vente Office de tourisme situé à St Pol Dans ce concert de musique pour voix et orchestres, six œuvres par des compositeurs français, allemand, suédois, italien et anglais Schütz, Buxtehude, Vivaldi, Purcell, Monteverdi et notre Marc-Antoine Charpentier. L’ensemble vocale de la Hem » comprend 25 chanteurs amateurs originaires des communes d’Ardres, la vallée de la Hem et l’Audomarois, sous la baguette de Anne jeudis de Larros Manifestation culturelle, Musique, Musique classique, Variété française, Musique du monde, Musique traditionnelle, Concert, Manifestation culturelleGujan-Mestras 33470Le 25/08/202219h30 Concert MISTER CHATTERBOX Ces trois multi-instrumentistes à l'humour certain et à la joie communicative distillent un cocktail musical à base de ska, rocksteady, reggae, biguine, blues. Ils vous donneront des envies de chalouper collé-serré. 20h30 Concert BANDA LES AMUSE-GUEULES 21h30 Spectacle JE T’AIME A L’ITALIENNE ET A L’ALGÉRIENNE – Rentrez dans l’art. Une pièce de Hugues Duquesne et Kader Nemer La plus méditerranéenne des comédies romantiques est de retour ! Carlo est décidé il va annoncer à son meilleur ami Farid qu’il est en couple avec sa soeur Aicha depuis 2 ans et qu’ils veulent se marier. L’arrivée surprise de la flamboyante Rachel va pimenter le tout... Cette comédie al dente à la sauce algérienne est un hymne à l’amour et à la mixité. 22h45 Concert LES ACCORDS’LÉON FANFARE Restauration rapide sur place par l’association "Gujan-Mestras en Fêtes".Les Balades Canons épicuriennesCharnay-lès-Mâcon 71850Du /00/1e16 au //099Les Balades Canons vous emmènent, le temps d’une journée, aux commandes d’un vélo à assistance électrique découvrir le vignoble mâconnais. Rendez-vous à la vélo-gare de Charnay-les-Mâcon. Notre parcours de 25 kilomètres environ se fera au départ de la Voie verte pour rejoindre de petites routes nous permettant de pédaler à travers le vignoble. Notre balade sera agrémentée d’une première dégustation de bulles à la Roche de Vergisson. A La Terrasse du Clos, Davide et Marion Pesenti, concocteront un pique-nique avec des produits locaux cuisinés à l’italienne en présence de la Famille Paquet, propriétaire des vignes. Une dégustation de magnum sera réalisée par le vigneron. Nous finirons cette journée par la visite de deux villages viticoles. Le voyage grandes symphonies et arias » par Jordi Savall Musique, ConcertArc-et-Senans 25610Le 27/08/2022Concert par Jordi Savall donné dans le cadre du partenariat avec le Festival Berlioz à la Saline royale. Entre l’étonnante Symphonie à Grand Orchestre en ré de Arriaga, disparu à l’âge de 20 ans et la 4ème symphonie Italienne » de Mendelssohn, Jordi Savall et le Concert des Nations font une incursion dans le répertoire de Berlioz. Deux oeuvres rarement données La belle voyageuse, une mélodie sur un poème de Thomas Moore, pour mezzo-soprano et orchestre et Zaïde, une mélodie en forme de boléro avec des castagnettes !, sur un poème de Roger de Beauvoir, pour soprano et Nocturne Repas - Dégustation, Marché, ArtisanatParadou 13520Du 12/04/2021 au 26/08/2022Marché du vendredi en soirée de mi-juin à fin août. Plats cuisinés, huile, fruits, légumes, bières artisanales, vêtements, chaussures, bijoux, miel, fromage, charcuterie, produits italiens, plantes aromatiques....VISITE GUIDÉE DU THÉÂTRE DE LA HALLE AU BLÉ - LA FLÈCHE ThéâtreLa Flèche 72200Le 28/08/2022Entrez dans les coulisses d'un petit théâtre à l'italienne, entièrement restauré ! Découvrez tous les secrets que recèle ce trésor caché au cœur de La Flèche ... Contact Thomas Brochard 06 72 83 52 00 thomas EN ITALIE / Festival Berlioz Concert, Musique, Festival généralisteLa Côte-Saint-André 38260Le 28/08/2022Concert symphonique Le Concert des Nations Fidèle au nom qu’il s’est donné, le Concert des Nations et son maître catalan Jordi Savall font résonner en un même programme des accents français, espagnol, italien, allemand et même messe solennelle de RossiniVézelay 89450Le 28/08/2022Mondialement réputé dans le cénacle de la musique ancienne, le chef italien Giulio Prandi s’attèle ici à l’un des derniers péchés de vieillesse du maître bel cantiste pour clore cette édition du festival. L’occasion de redécouvrir ce joyau incontournable du répertoire sacré au plus proche de sa version d’origine lumineux dans son esprit chambriste et profondément spirituel dans la recherche aboutie d’une voie pure et authentique. Sacrée musique » !Petite messe solennelle de Rossini Musique, Musique classiqueVézelay 89450Le 28/08/2022Mondialement réputé dans le cénacle de la musique ancienne, le chef italien Giulio Prandi s’attèle ici à l’un des derniers péchés de vieillesse du maître bel cantiste pour clore cette édition du festival. L’occasion de redécouvrir ce joyau incontournable du répertoire sacré au plus proche de sa version d’origine lumineux dans son esprit chambriste et profondément spirituel dans la recherche aboutie d’une voie pure et authentique. Sacrée musique » !JONATHAN bENICHOU Récital de piano Concert, Musique classiqueNice - 6 Du 27/08/2022 à 1930 au 27/08/2022 à 2230Les Soirées d'été en Musique classique JONATHAN BENICHOU Récital de piano Programme Chopin Liszt Scriabine Rachmaninov Concert suivi d'un cocktail dinatoire préparé par le grand chef de la gastronomie italienne dans le jardin de L’Hôtel emblématique Oasis Informations;[...]ConfiserievBeaune - 21 Du 27/08/2022 à 1630 au 27/08/2022 à 2230Bonjour j'aurai voulu savoir si vous avez une place pour votre marche nocturne nous sommes de beaune on fait pop corn barbe a papa glace italienne et jouet enfant voici mon mail laetitiaguyot2008 laetitia guyot MAHLER CHAMBER ORCHESTRA Musique classiqueST DENIS 93200Du //000 au //099MAHLER CHAMBER ORCHESTRA DISTRIBUTION Alina Ibragimova , violon Mahler Chamber Orchestra , Daniel Harding , direction PROGRAMME Mendelssohn Concerto pour violon Dvorak Symphonie n°7 Le Mahler Chamber Orchestra, projet orchestral développé à l'échelle européenne par le grand chef d'orchestre italien Claudio Abbado, est constitué de musiciens venus de toute l'Europe. Considéré comme l'un des meilleurs orchestres au monde, il est dirigé par Daniel Harding qui en est le conductor laureate » chef émérite. Pour ce concert à Saint-Denis, Alina Ibragimova, invitée régulière des plus grands orchestres et chefs à travers le monde, est à leurs côtés. La violoniste vient de sortir en CD les 24 Caprices de Paganini, particulièrement remarqué par la critique et d'ores et déjà considéré comme l'une des versions de référence. Basilique Cathédrale de Saint-Denis – 1, rue de la Légion d'Honneur – Saint-Denis Métro - ligne 13 arrêt Saint-Denis Basilique – Sortie centre-ville RER D arrêt Gare de Saint-Denis + 10 minutes à pied ou correspondance en tramway Ligne H arrêt Gare de Saint-Denis + 10 minutes à pied ou correspondance en tramway T1 arrêt Saint-Denis Basilique[...]Radius et Cubitus, les amants de PompéiAuxerre 89000Du /00/1e16 au //099Panem et circenses. Dans la célèbre expression latine, remplacez le pain par cet autre ingrédient vital qu'est l'amour, et obtenez la formule magique de Radius et Cubitus, une enquête-opérette acrobatique sur les traces des célèbres amants de Pompéi. Coup de théâtre ! En 2017, une équipe de chercheurs italiens révèle au monde que les " amants de Pompéi " figés dans l'étreinte par les cendres du Vésuve il y a 2000 ans, étaient en réalité un couple d'hommes ; la nouvelle fait irruption dans le ciel de l'historiographie et ricoche pour enflammer l'imagination d'un duo bien vivant celui-ci. Artistes de cirque, équilibristes et musiciens, Jean-Charles Gaume et Lucas Bergandi se prennent au jeu de raconter cette histoire à leur manière. Quelle fut la vie de ce couple ? Quels secrets couvent sous les cendres de Pompéi ? En historiens facétieux ils incarnent Radius et Cubitus et refont le monde antique avec la complicité des circassiennes Garance Hubert-Samson, Sandrine Juglair et du musicien Hervé Levasseur... Sur un fil, sur un mât, au bout d'une perche et de bien d'autres manières, l'équipe archéo-circologique met en déséquilibre les représentations du couple d'hier et d'aujourd'hui[...]Les Flâneries au Miroir Photographie - Vidéo, Artisanat, MusiqueMartigues 13500Du 10/09/2022 au 11/09/2022Programme 2022. - Samedi 10h à 11h45, place Mirabeau et Miroir aux oiseaux, séance réservée aux photographes et amateurs de photographies. - Les déambulations des costumés en musique . Samedi de 15h à 17h à Ferrières. Avec passage au village italien et au bord de l'étang. . Dimanche de 10h à 12h à Jonquières. . Dimanche de 15h à 17h dans l'île. Avec un concert exceptionnel du ténor Sergio Cerruti, accompagné d'une soprano et d'une chanteuse. - Dimanche après la déambulation la photo souvenir en guise d'au revoir des costumés ponctuera le week-end au théâtre de Verdure Ferrières. - Nouveauté 2022. Samedi soir de 21h à 23h, dans les 3 quartiers du centre-ville parade mobile en son et lumière, "balade vénitienne" à bord d'un camion podium en itinérance. Accompagnement musical par le ténor Sergio Cerruti avec une soprano et une chanteuse de variété. Les masqués déambuleront au village italien de 22h30 à 23h. A noter - Du mercredi 7 au dimanche 11 septembre, au jardin de Ferrières, "le village les Italiennes" marché artisanal et gastronomique. De 10h à 20h 19h le dimanche et nocturne le vendredi et le samedi de 10h à 23h. Une vingtaine de producteurs[...]FESTIVAL FOOD TRUCK "LES 4 ROUES FAIT SON CINÉMA !" CinémaFabrègues 34690Le 28/08/2022L'association Arts & Groove revient avec un nouveau concept Le Festival Food-Truck "Les 4 roues fait son cinéma" le Dimanche 28 Août 2022. Vous pourrez profiter d'un événement avec des animations entièrement gratuites Château gonflable, Stand de maquillage, stand de dessin et divers ateliers éducatifs. La soirée se clôturera avec la projection du film de Walt Disney "Encanto" sur un écran de 8m de large. Des Food-trucks vous présenteront leurs spécialités gastronomiques Italiennes, Espagnole, Burgers maison, ou encore cuisine du monde. Vous y retrouverez aussi glaces, crêpes, gaufres et autres douceurs sucrées... Sélectionnés rigoureusement, ces camions proposent des offres créatives, éclectiques et gastronomiques, réalisées à partir de produits frais, faits maison ou originaux. Le festival Food Trucks "Les 4 roues", c'est le rendez-vous pour tous les amateurs de street food aux alentours de Montpellier. *** FOOD-TRUCKS CONFIRMES *** - Bistrot des Gones Cuisine de bistrot, burgers à la Française. - Bubble Waffle Family Glaces et gaufre gourmande roulée et croustillante que l’on garni au gré de ses envies - Go For Eat Cuisine du monde et évolutive au fil des[...]Environnement / Mer - OcéanListe des communes françaises riveraines de l'océan ou de la mer, telles que définies par la loi littoral, en longeant la côte, de la frontière belge à la frontière GUIDEE LES ESSENTIELS DE CLISSON Patrimoine - Culture, Histoire - CivilisationClisson 44190Le 30/08/2022Découverte historique de la ville médiévale de Clisson tour du château, les halles du 14e siècle, l'église Notre Dame et son clocher campanile, les ponts du 15e. Clisson est également connu pour son architecture à l'italienne. Le guide en vous expliquera le pourquoi et vous présentera plusieurs édifices construits dans ce style y'a Pas la merMontmort 71320Du 20/08/2022 au 27/08/2022Le festival y'a pas la mer, festival de théâtre de plein air en milieu rural, revient pour une cinquième édition du 20 au 27 août 2022 ! Après deux ans d'adaptation au contexte sanitaire, il retrouve sa formule initiale la cure de Montmort ouvrira ses portes pour 7 jours de spectacles, concerts, rando-lectures, projections, scène ouverte... ; autant d'occasions de nous rencontrer autour d'une buvette, et de propositions artistiques exigeantes et populaires LE PROGRAMME GALILEE d’après Bertolt Brecht Galilée, c’est le nom de cet astronome italien du XVIIème siècle qu’on considère parfois comme le fondateur de la physique moderne. Mais c’est aussi celui d’un homme d’esprit, de chair et de sang, qui a été terrassé par la répression, humilié au cours d’un procès historique, à l’issue duquel, en réalité, il n’a pas prononcé les mots que la postérité a voulu lui faire dire. A la fois comédie, drame, pièce historique et manifeste humaniste, La Vie de Galilée, parce qu’elle réaffirme le devoir permanent de lutter contre l’obscurantisme, qu’elle interroge le sens du savoir, et qu’elle place l’humanité devant ses responsabilités, est une pièce absolument actuelle. QUAND VIENDRA[...]Festival y'a Pas la mer Manifestation culturelleMontmort 71320Du 20/08/2022 au 27/08/2022Le festival y'a pas la mer, festival de théâtre de plein air en milieu rural, revient pour une cinquième édition du 20 au 27 août 2022 ! Après deux ans d'adaptation au contexte sanitaire, il retrouve sa formule initiale la cure de Montmort ouvrira ses portes pour 7 jours de spectacles, concerts, rando-lectures, projections, scène ouverte... ; autant d'occasions de nous rencontrer autour d'une buvette, et de propositions artistiques exigeantes et populaires LE PROGRAMME GALILEE d’après Bertolt Brecht Galilée, c’est le nom de cet astronome italien du XVIIème siècle qu’on considère parfois comme le fondateur de la physique moderne. Mais c’est aussi celui d’un homme d’esprit, de chair et de sang, qui a été terrassé par la répression, humilié au cours d’un procès historique, à l’issue duquel, en réalité, il n’a pas prononcé les mots que la postérité a voulu lui faire dire. A la fois comédie, drame, pièce historique et manifeste humaniste, La Vie de Galilée, parce qu’elle réaffirme le devoir permanent de lutter contre l’obscurantisme, qu’elle interroge le sens du savoir, et qu’elle place l’humanité devant ses responsabilités, est une pièce absolument actuelle. QUAND VIENDRA[...]Marché de producteursBourgvilain 71520Du 25/08/2022 au 24/11/2022Rendez vous chaque jeudi, de 16h à 18h30 au cœur du village sur la place de l'Eglise, pour retrouver ou découvrir les produits locaux et de saison légumes, fruits, fromages de chèvre, fromages et yaourts de brebis, oeufs et volaille, viande, terrines, miel, pâtisseries, vins, bières, les plats préparés de Lolo, spécialités italiennes Huile d'olive, charcuterie, pâtes fraiches etc.. Et des livres d'occasion. Animations de producteurs Repas - Dégustation, MarchéBourgvilain 71520Du 25/08/2022 au 24/11/2022Rendez vous chaque jeudi, de 16h à 18h30 au cœur du village sur la place de l'Eglise, pour retrouver ou découvrir les produits locaux et de saison légumes, fruits, fromages de chèvre, fromages et yaourts de brebis, oeufs et volaille, viande, terrines, miel, pâtisseries, vins, bières, les plats préparés de Lolo, spécialités italiennes Huile d'olive, charcuterie, pâtes fraiches etc.. Et des livres d'occasion. Animations - Guinguette éphémèreMesnil-Saint-Père 10140Du 01/06/2022 au 28/08/2022Le M-Beach est un bar éphémère de 4000 m² avec ambiance Guinguette, ouvert du 1er Juin au 28 Août 2022, sur la plage de Mesnil-Saint-Père ! Lieu mêlant restauration, bar et musique. Découvrez leur nouveau stand crêpes salées/sucrées, gaufres, glaces italiennes, granités & autres desserts ! Activités - bar de plage avec transats idéal pour le repos et la détente ! - coin restauration avec burgers, salades et soirées à thème. - terrain de Mölkky, Beach Volley, jeux pour enfants… Tarif entrée libre avec consommation obligatoireTondo Histoire - Civilisation, ExpositionBourbon-Lancy 71140Du 25/06/2022 au 28/08/2022Depuis l’Antiquité, l’histoire de l’art compte nombre de tableaux ronds, appelés tondi », ou tondo » au singulier, qui vient de l’italien rotondo ». L’exposition Tondo » propose un point de vue contemporain à travers les travaux d’artistes qui se sont emparés de ce format, perdu au fil des siècles dans les pratiques artistiques, et qui ne refait surface qu’au début des années 1900. Sa forme ronde et particulière traduit alors ce qu’aucun autre format ne peut exprimer, symboliquement synonyme de perfection, elle influence l’œuvre qui en est produite. Du 25 juin au 28 août, Tous les jours de 14h à 18h sauf mardi et jeudi - Espace Robert Cochet. Gratuit Renseignements au 03 85 89 23 23. Mesures sanitaires selon les règlementations en 71140Du 25/06/2022 au 28/08/2022Depuis l’Antiquité, l’histoire de l’art compte nombre de tableaux ronds, appelés tondi », ou tondo » au singulier, qui vient de l’italien rotondo ». L’exposition Tondo » propose un point de vue contemporain à travers les travaux d’artistes qui se sont emparés de ce format, perdu au fil des siècles dans les pratiques artistiques, et qui ne refait surface qu’au début des années 1900. Sa forme ronde et particulière traduit alors ce qu’aucun autre format ne peut exprimer, symboliquement synonyme de perfection, elle influence l’œuvre qui en est produite. Du 25 juin au 28 août, Tous les jours de 14h à 18h sauf mardi et jeudi - Espace Robert Cochet. Gratuit Renseignements au 03 85 89 23 23. Mesures sanitaires selon les règlementations en "Pizzaiolo"Moux-en-Morvan 58230Du 10/07/2022 au 28/08/2022Soirée conviviale italienne, tous les dimanches soirs de l'été, en terrasse front de lac face à la grande île du Lac des Settons. Une pizza au choix 29/33cm, une boisson vin, bière, soft et un dessert. Menu enfant 20€ - Menu adulte 25€ - Menu végétarien 25€ Lac des Settons rive gauche amont - Terrasse du Domaine de la Cabane Verte, Bas du Moulin D501, 58230 Moux-en-Morvan. Information & Réservation 07 44 52 91 22 - bistrot GUIDEE LES ESSENTIELS DE CLISSON Patrimoine - Culture, Histoire - CivilisationClisson 44190Le 31/08/2022Découverte historique de la ville médiévale de Clisson tour du château, les halles du 14e siècle, l'église Notre Dame et son clocher campanile, les ponts du 15e. Clisson est également connu pour son architecture à l'italienne. Le guide en vous expliquera le pourquoi et vous présentera plusieurs édifices construits dans ce style des Arts exposition du peintre Michele De Agostini Manifestation culturelle, Atelier, Atelier, Peinture, ExpositionLa Réole 33190Du 06/08/2022 au 28/08/2022Exposition du peintre Italien Michele De Agostini. Son œuvre est une interaction entre l’action édificatrice de la matière et l’effacement de la même par le biais d’outils de toutes sortes spatules de plâtrier, couteau, morceau de bois, pinceaux.... Il symbolise ainsi les dynamiques des équilibres du chaos au sein d’une société de plus en plus inadaptée au progrès créatif. En 2005 lors de la présentation de son nouveau travail, il créait le Sliding Painting ; l’action de glissement des outils il n y a pas de mélange des couleurs, tout est fait par stratification et glissement sur le support crée une des Arts exposition du peintre Michele De Agostini Peinture, ExpositionLa Réole 33190Du 06/08/2022 au 28/08/2022Exposition du peintre Italien Michele De Agostini. Son œuvre est une interaction entre l’action édificatrice de la matière et l’effacement de la même par le biais d’outils de toutes sortes spatules de plâtrier, couteau, morceau de bois, pinceaux.... Il symbolise ainsi les dynamiques des équilibres du chaos au sein d’une société de plus en plus inadaptée au progrès créatif. En 2005 lors de la présentation de son nouveau travail, il créait le Sliding Painting ; l’action de glissement des outils il n y a pas de mélange des couleurs, tout est fait par stratification et glissement sur le support crée une trace.
. 638 751 75 767 601 741 370 506
comme une rose foulée par nos pieds