LaCouleur de la victoire De Stephen Hopkins Photos du film La Couleur de la victoire (5) Avis (7) Votre avis. My review Vous n'avez pas attribuĂ© de note au film ! Veuillez choisir une note entre 1 et 5. Merci de laisser un commentaire. Donnez votre avis sur ce film. Emmanuelle 13 mars 2022. Signaler un abus Coraline 06 fĂ©vrier 2022. Signaler un abus Thomas 26 mai 2021. La Couleur de la victoire La Couleur de la victoire ou 10 Secondes de libertĂ© au QuĂ©bec Race est un film franco-germano-canadien rĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins et sorti en 2016. Il revient sur le parcours de l'athlĂšte Afro-AmĂ©ricain Jesse Owens qui, Ă  lui seul, a contrariĂ© les discours raciaux d'Adolf Hitler et empĂȘchĂ© la glorification du TroisiĂšme Reich lors des Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1936 Ă  Berlin. Le film a reçu le soutien de la famille Owens, de la Fondation Jesse Owens et du Luminary Group[1]. Synopsis En 1934, en pleine pĂ©riode de sĂ©grĂ©gation raciale, Jesse Owens arrive Ă  l'universitĂ© d'État de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraĂźneurs de l'Ă©poque. Ce petit‐fils d’esclave va y dĂ©velopper une relation Ă©tonnante avec un entraĂźneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraĂźneur d’avant‐garde, obsĂ©dĂ© par la rĂ©ussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protĂ©gĂ©s, contrairement Ă  ses collĂšgues. Les deux athlĂštes n'ont qu'un objectif les Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1936 Ă  Berlin. Devant le racisme dans son propre pays ainsi qu'au cƓur de l’Allemagne du TroisiĂšme Reich, Jesse Owens va finalement battre tous les records de mĂ©dailles 4 mĂ©dailles d’or 100 m, longueur, 200 m, 4x100 m et prouver qu’un homme seul peut ĂȘtre le grain de sable qui fait dĂ©raper une machinerie de propagande monstrueuse que ce soit en Allemagne ou aux États-Unis. Franklin D. Roosevelt ne fĂ©licitera jamais officiellement Jesse Owens et ne reconnait pas ses victoires aux jeux. Fiche technique Sauf indication contraire ou complĂ©mentaire, les informations mentionnĂ©es dans cette section peuvent ĂȘtre confirmĂ©es par la base de donnĂ©es IMDb. Titre original Race Titre français La Couleur de la victoire Titre quĂ©bĂ©cois 10 Secondes de libertĂ© RĂ©alisation Stephen Hopkins ScĂ©nario Joe Shrapnel et Anna Waterhouse Musique Rachel Portman Direction artistique David Brisbin Costumes Mario Davignon Montage John Smith Photographie Peter Levy Production Jean-Charles Levy, Luc Dayan, Nicolas Manuel, Karsten BrĂŒnig, Kate Garwood, Stephen Hopkins, Thierry Potok, Louis-Philippe Rochon et Dominique SĂ©guin[2] SociĂ©tĂ©s de production Forecast Pictures, JoBro Productions & Film Finance, Solofilms et Trinity Race SociĂ©tĂ©s de distribution La Belle Company France, SquareOne Entertainment Allemagne Pays d’origine France, Allemagne et Canada Langues originales anglais et allemand Genre biographie, drame, sport Dates de sortie États-Unis 19 fĂ©vrier 2016 France 27 juillet 2016 Distribution Stephan James VF Namakan KonĂ© ; VQ Gabriel Lessard Jesse Owens Jason Sudeikis VF Thierry Kazazian ; VQ Tristan Harvey Larry Snyder Jeremy Irons VF FĂ©odor Atkine ; VQ Jean-Luc Montminy Avery Brundage Carice van Houten VF Katja KrĂŒger ; VQ MĂ©lanie Laberge Leni Riefenstahl William Hurt VF Gabriel Le Doze ; VQ Jean-Marie Moncelet Jeremiah T. Mahoney Shanice Banton VF CĂ©lia Asencio ; VQ Annie Girard Ruth Solomon-Owens Amanda Crew VQ Kim Jalabert Peggy Jeremy Ferdman VF Fabrice Trojani Marty Glickman Barnaby Metschurat Joseph Goebbels Moe Jeudy-Lamour VF Diouc Koma Mel Walker David Kross VF Boris Sirdey ; VQ Xavier Dolan Luz Long Marcus Bluhm VF Pierre-François Pistorio Wolfgang FĂŒrstner Glynn Turman VF Med Hondo Harry E. Davis Jonathan Higgins VF Nicolas MariĂ© ; VQ François Trudel Dean Cromwell Giacomo Gianniotti Sam Stoller Dondre Octave Ralph Metcalfe Jacob Andrew Kerr Foy Draper Gaetan Normandin Frank Wykoff Tony Curran VQ Louis-Philippe Dandenault Lawson Robertson Shamier Anderson Eulace Peacock Jonathan Aris Arthur Lill Tim McInnerny gĂ©nĂ©ral Charles Nicholas Woodeson Fred Rubien Eli Goree VF Eilias Changuel ; VQ Fayolle Jean Jr. David Albritton Adrian Zwicker Adolf Hitler Chantel Riley Quincella Jon McLaren Trent Anthony Sherwood le rĂ©vĂ©rend Ernest Hall Bruno Bruni junior Hans Ertl Source et lĂ©gende version française VF sur RS Doublage ; version quĂ©bĂ©coise VQ sur Production GenĂšse et dĂ©veloppement Le film se base sur la lĂ©gende racontant qu'Hitler, furieux de voir un Noir triompher, aurait refusĂ© de serrer la main Ă  Jesse Owens. Cette histoire est fausse puisqu'Owens affirma dans ses mĂ©moires qu'Hitler ne l'avait pas snobĂ© et lui avait fait un signe de la main lorsqu'il Ă©tait passĂ© devant sa loge[5]. Distribution des rĂŽles John Boyega a Ă©tĂ© pressenti pour tenir le rĂŽle principal, mais il a prĂ©fĂ©rĂ© s'engager sur Star Wars, Ă©pisode VII Le RĂ©veil de la Force 2015[6]. Il a Ă©tĂ© remplacĂ© par le Canadien Stephan James. Tournage Le tournage a eu lieu dans deux pays Canada MontrĂ©al pour les scĂšnes se passant aux États‐Unis, et Berlin notamment le stade olympique de Berlin pour les scĂšnes en Allemagne. Le tournage a dĂ©butĂ© le 24 juillet 2014 au Canada[6],. Accueil Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ ↑ en Jesse Owens Biopic Finds Its Leading Man », sur Variety, 24 janvier 2014 consultĂ© le 23 octobre 2014 ↑ Fiche du doublage quĂ©bĂ©cois du film », sur consultĂ© le 3 fĂ©vrier 2017 ↑ en Jeremy Schaap, Triumph The Untold Story of Jesse Owens and Hitler's Olympics, Houghton Mifflin Harcourt, 1er janvier 2007, 272 p. ISBN 978-0-618-68822-7 et 0-618-68822-6, lire en ligne Annexes Articles connexes Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1936 Liens externes en Site officiel Ressources relatives Ă  l'audiovisuel Centre national du cinĂ©ma et de l'image animĂ©e CinĂ©-Ressources CinĂ©mathĂšque quĂ©bĂ©coise Office national du film du Canada en AllMovie en BFI National Archive de + en Filmportal en Metacritic de OFDb en Rotten Tomatoes mul The Movie Database Stephen Hopkins RĂ©alisateur Dangerous Game 1987 Freddy 5 L'Enfant du cauchemar 1989 Predator 2 1990 La Nuit du jugement 1993 Blown Away 1994 L'Ombre et la Proie 1996 Perdus dans l'espace 1998 Suspicion 2000 Moi, Peter Sellers 2004 Les ChĂątiments 2007 La Couleur de la victoire 2016 CatĂ©gories Film français sorti en 2016Film canadien sorti en 2016Film allemand sorti en 2016Film biographique allemandFilm biographique françaisFilm biographique canadienFilm sur l'athlĂ©tismeFilm biographique sur une personnalitĂ© du sportFilm rĂ©alisĂ© par Stephen HopkinsFilm se dĂ©roulant dans les annĂ©es 1930Film se dĂ©roulant dans les annĂ©es 1940Film se dĂ©roulant Ă  BerlinFilm se dĂ©roulant Ă  ClevelandJeux olympiques au cinĂ©maJeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1936Film tournĂ© Ă  BerlinFilm tournĂ© Ă  MontrĂ©alDerniĂšre mise Ă  jour du contenu le 21/06/2022.
Découvrezles anecdotes, potins, voire secrets inavouables autour du film "La Couleur de la victoire" et de son tournage. 14 secrets de tournage à découvrir comme : La plupart des scÚnes se
Cet article date de plus de six ans. PubliĂ© le 24/07/2016 2232 Mis Ă  jour le 24/07/2016 2247 DurĂ©e de la vidĂ©o 2 min. France 2 Article rĂ©digĂ© par Mercredi 27 juillet sort un film historique. "La couleur de la victoire" est un hommage Ă  Jesse Owens, sprinter noir vainqueur en 1936 Ă  Berlin, sous les yeux d'Hitler. AoĂ»t 1936, ces Jeux Olympiques de Berlin sont une consĂ©cration pour Hitler et le rĂ©gime nazi. Des milliers d'athlĂštes participent, mĂȘme ceux des dĂ©mocraties, États-Unis en tĂȘte. Parmi eux, Jesse Owens, un sprinter noir exceptionnel dĂ©jĂ  repĂ©rĂ© lors des championnats universitaires amĂ©ricains malgrĂ© l'hostilitĂ© du public blanc. La couleur de la victoire, le film retrace le parcours sportif d'Owens, sorti du ghetto de Cleveland dans ces terribles annĂ©es de sĂ©grĂ©gation raciale."Il est remarquable qu'Ă  une Ă©poque oĂč l'AmĂ©rique Ă©tait au moins aussi raciste que l'Allemagne, cet athlĂšte ait ramenĂ© quatre mĂ©dailles d'or aux États-Unis. Cela a Ă©tĂ© une gifle pour Hitler", explique Jeremy Irons, acteur dans le film. Aux JO de Berlin, Jesse Owens remporte donc quatre mĂ©dailles d'or le 100 mĂštres, le 200 mĂštres, le relais 4x100 mĂštres et le saut en longueur face Ă  l'Allemand Lutz Long, le champion d'Hitler. Jusqu'au bout, le ComitĂ© olympique amĂ©ricain a ferraillĂ© avec Goebbels pour Ă©viter le boycott voulu par une partie de l'opinion aux États-Unis. Aujourd'hui, ces jeux de Berlin restent dans les mĂ©moires autant pour le spectacle de propagande nazie que pour les victoires de Jesse Owens, devenu le hĂ©ros de l'AmĂ©rique raciste des annĂ©es 30. LaCouleur de la victoire (Race) est un film franco-germano-canadien rĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins, sorti en 2016. Il revient sur le parcours de l’athlĂšte Afro-AmĂ©ricain Jesse Owens qui Ă  lui seul, a contrariĂ© les discours ï»żService Unavailable Guru Meditation XID 976819800 Varnish cache server
LACOULEUR DE LA VICTOIRE Sortie le 27 juillet 2016 Biopic, Drame, Historique (2h03) De Stephen Hopkins Avec Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Shanice Banton, Carice van Houten Synopsis Dans les annĂ©es 30, Jesse Owens, jeune afro-amĂ©ricain issu du milieu populaire, se prĂ©pare Ă  concourir aux Jeux d'Ă©tĂ© de 1936 Ă  Berlin. OĂč voir ce film ?
Aperçu des critiques de la presse Internet sortie vod, dvd et blu-ray La Couleur de la victoire"Le rĂ©cit est maĂźtrisĂ© et le savoir-faire du rĂ©alisateur Ă©vident, ce qui a permis au film d'Ă©viter un scandale lors de sa sortie aux États-Unis dĂ©but 2016. Car si le long-mĂ©trage s'Ă©tait rĂ©vĂ©lĂ© maladroit et avait souffert d'un scĂ©nario bancal, beaucoup en aurait profitĂ© pour hurler Ă  l'offense, outrĂ©s qu'un artiste ose comparer la SĂ©grĂ©gation au nazisme. Ici, il s'agit plutĂŽt d'une rĂ©flexion intelligente sur le racisme presqu'ordinaire et sur la maniĂšre dont la notion de race a encore une quelconque importance." Avoir Alire "La Couleur de la Victoire parle de la haine en Europe et aux Etats-Unis. D'un cĂŽtĂ©, celle instaurĂ©e par le rĂ©gime nazi en Allemagne, mais aussi celle qui rĂšgne plus insidieusement aux Etats-Unis, oĂč la sĂ©grĂ©gation est encore bien prĂ©sente. Le rĂ©alisateur n'oublie pas l'hypocrisie avec laquelle le gouvernement amĂ©ricain a apprĂ©hendĂ© les de Berlin. ... Bref, un biopic intelligent sur un des plus grands athlĂštes de tous les temps." Elle "La Couleur de la Victoire ... ravive sous une forme romanesque une des olympiades les plus fameuses de l'histoire." Culture Box "En deux heures qui passent comme un claquement de doigts, ce biopic retrace les exploits du quadruple mĂ©daillĂ© olympique Jesse Owens aux de Berlin de 1936. En se concentrant sur les deux annĂ©es de sa vie au cours desquelles il bĂąti sa lĂ©gende entre 19 et 21 ans, 1934-1936, Stephen Hopkins nous propulse de façon captivante dans l'atmosphĂšre Ă©lectrique de cette Ă©poque qui rend cette victoire si exceptionnelle, sur le plan sportif et politico-social. Au delĂ  du fait de rendre enfin hommage Ă  cet athlĂšte incroyable, cet opus est donc particuliĂšrement passionnant car il aborde les Ă©vĂ©nements et leur impact sur plusieurs plans, tant au niveau humain qu'historique." Le Blog du CinĂ©ma "La Couleur de la Victoire est la dĂ©monstration qu'un rĂ©alisateur peu rĂ©putĂ© pour ses Ă©lans artistiques peut s'effacer derriĂšre son sujet, du moment qu'il est porteur. Ce film est Ă©galement la dĂ©monstration que le sport est un thĂšme ĂŽ combien cinĂ©gĂ©nique, tant il est Ă©tait ? riche de valeurs universelles, de lien Ă©troits avec l'Histoire ici bien manipulĂ©e, on y reviendra et de tout ce qui fait un film prenant suspense, rebondissements, Ă©motions et panache." CinĂ© SĂ©ries Mag "Scolaire dans sa forme, cette oeuvre soigne toutefois le fond et fait considĂ©rablement vibrer les coeurs." Lci "Le rĂ©alisateur, bon faiseur pro, se tire Ă  peu prĂšs de la miĂšvrerie qu'imposent les scĂšnes sentimentales Jesse et sa femme. Et il rĂ©ussit parfaitement, en revanche, les moments spectaculaires l'arrivĂ©e du champion noir dans un stade hostile donne vraiment le frisson..." Telerama - Pierre Murat "En multipliant les points de vue, le film se perd dĂšs les premiĂšres minutes .... En cherchant Ă  s'intĂ©resser autant au parcours sportif qu'aux enjeux moraux et politiques ayant entourĂ© la compĂ©tition les États-Unis devaient-ils boycotter ou non cette Ă©dition tristement cĂ©lĂšbre ? , le rĂ©alisateur enterre son film dans une zone de transition oĂč aucune des thĂ©matiques n'est vĂ©ritablement traitĂ©e." Abus de CinĂ© "Le portrait de Jesse Owens reste bien superficiel et ce rĂ©cit politique bien simpliste." La Croix Synopsis usuel Dans les annĂ©es 30, Jesse Owens, jeune afro-amĂ©ricain issu du milieu populaire, se prĂ©pare Ă  concourir aux Jeux d’étĂ© de 1936 Ă  Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer Ă  ces Jeux, organisĂ©s en Allemagne nazie. Le dĂ©bat est vif entre le prĂ©sident du ComitĂ© Olympique Jeremiah Mahoney et le grand industriel Avery Brundage. Pourtant, la dĂ©termination de Jesse Ă  se lancer dans la compĂ©tition est intacte

Lacouleur de la victoire - Sortie le 27 juillet 2016Biopic de Stephen HOPKINS Avec Stephan James, Jeremy Irons, Jason SudeikisPour plus d'informations, de v La Couleur de la victoire SĂ©ances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office RĂ©compenses Films similaires note moyenne 4,0 1960 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur La Couleur de la victoire ? 162 critiques spectateurs 5 20 critiques 4 61 critiques 3 57 critiques 2 20 critiques 1 3 critiques 0 1 critique Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus rĂ©centes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s "La Couleur de la Victoire" ne s'arrĂȘte pas seulement Ă  un biopic acadĂ©mique, car il va bien au-delĂ ...Et mĂȘme beaucoup plus loin en mettant en Ă©vidence et avec beaucoup de tact tout le non sens, toute l'absurditĂ© due au racisme, en insistant de plus avec pertinence sur le parallĂšle entre ce qui se passe aux USA et en Allemagne Ă  la mĂȘme Ă©poque !Tout un paradoxe extrĂȘmement utile et intelligent, toute une contradiction mise en lumiĂšre entre l'attitude des AmĂ©ricains face aux Noirs de leur pays, alors qu'eux-mĂȘmes sont rĂ©voltĂ©s et opposĂ©s farouchement Ă  l'idĂ©ologie Nazi !À ce niveau, et Ă  travers le personnage ambigu de Avery Brundage dont Jeremy Irons se tire trĂšs bien... , ce film prend dĂ©jĂ  tout son sens et permet donc un intĂ©rĂȘt grandissant !!!Ensuite, le duo Jesse Owens/Larry Sneider est assez fascinant dans sa relation et certains moments sont d'une clairvoyance rare quant Ă  leur complicitĂ© et aussi Ă  leur diffĂ©rence, ce que l'athlĂšte lui rappelle en tant que difficultĂ© Ă  vivre et ce que le coach ne peut aucunement ressentir et pour cause ! Édifiant cet instant !Les deux acteurs Stephan James et Jason Sudeikis sont d'ailleurs d'une Ă©nergie et d'une persuasion sans bornes pour donner Ă  cette histoire toute l'Ă©motion nĂ©cessaire quant au contexte politique tendu de cette Ă©poque si particuliĂšre !Et donc mĂȘme si l'ensemble "souffre" d'un classicisme Ă©vident mais est-ce un dĂ©faut vĂ©ritable ou un aspect qui maintenant dĂ©range par principe ?, d'une mise en scĂšne un peu trop sentimentale, il n'en reste pas moins que pour une fois, les dialogues vifs et subtils, construits et intelligents, permettent au spectateur de saisir la portĂ©e des enjeux de chaque dĂ©cision relative aux implications de la participation des amĂ©ricains aux JO de Berlin en 1936, avec en prime tous les "dessous" traitĂ©s de maniĂšre plus qu'explicite...De grands instants, trĂšs symboliques sont aussi au programme comme l'entrĂ©e de Jesse dans un stade effrayant ou cette rencontre fraternelle avec ce grand athlĂšte allemand, ce fameux rival redoutĂ©...Stephen Hopkins a rĂ©ussi Ă  mettre en Ă©quilibre parfait l'histoire de ce sportif noir aux quatre mĂ©dailles d'or avec et pendant l'Histoire avec un H, celle des hommes de cette pĂ©riode troublĂ©e, entre la sĂ©grĂ©gation raciale assumĂ©e d'une nation, et les dĂ©buts d'une extermination dĂ©vastatrice due Ă  l'idĂ©ologie de la race aryenne de l'autre !Instructif, intelligent, un biopic enfin utile et passionnant et dont on pardonnera sans peine les quelques dĂ©fauts !À voir sans hĂ©siter... ! C'est un film absolument remarquable, je ne vois pas d'autres mots... Tout est parfait la rĂ©alisation, l'interprĂ©tation, le rendu de l'Ă©poque, bref tout est un histoire Ă©mouvante et nous avons droit lĂ  Ă  un vrai chef-d'oeuvre tout simplement ! Évidemment, tout le monde a entendu parler de Jesse Owens, cet athlĂšte Afro-AmĂ©ricain qui remporta 4 mĂ©dailles d'or aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Pour autant, un petit rafraĂźchissement de mĂ©moire n'est pas inopportun, d'autant que ce biopic » est parfaitement rĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins L'ombre et la proie », PrĂ©dator 2 » visiblement inspirĂ© par son sujet. On suit donc la vie de ce jeune sprinter surdouĂ©, de son adolescence Ă  son incroyable ascension au sein de l'Ă©quipe US d'athlĂ©tisme, malgrĂ© la politique sĂ©grĂ©gationniste menĂ©e par son propre pays. La politique internationale, sur fond de montĂ©e du nazisme, rend son exploit encore plus incroyable, tout comme son amitiĂ© naissante avec un de ses adversaires Allemands. La reconstitution des Ă©preuves sportives est particuliĂšrement bien orchestrĂ©e et on se sent vraiment immergĂ©s dans l'ambiance Ă©trange de ces derniĂšres Olympiades avant la seconde guerre mondiale. Tous les ingrĂ©dients qui vont pousser les pays du monde Ă  se dĂ©chirer sont dĂ©jĂ  prĂ©sents pour former une intrigue passionnante et rĂ©aliste. Une trĂšs belle leçon d'histoire, teintĂ©e du courage, de la fiertĂ© et de la droiture de ce sportif d'exception. La derniĂšre scĂšne qui le voit contraint, Ă  cause de sa couleur de peau, de rentrer par une porte dĂ©robĂ©e dans la fĂȘte donnĂ©e en l'honneur de ses victoires par ses propres concitoyens est Ă©difiante... Ces contradictions absurdes donnent une vision assez prĂ©cise des us et coutumes de cette Ă©poque troublante et font de La couleur de la victoire » un film magnifique qui se suit avec passion et un grand respect pour cet homme hors du commun. Excellent film Ă  propos de Jesse Owens qui est l'un des athlĂštes les plus respectĂ© et admirĂ© de l'histoire pour ce qu'il a accompli en 1936 durant les JO de Berlin. Une rĂ©alisation bien travaillĂ©e qui retranscrit une histoire passionnante. Le thĂšme est d'actualitĂ©. Recommande vivement .... Je ne connaissais pas ce monsieur et j'ai Ă©tĂ© ravie de voir ce film, ce qui m'a permis de le connaĂźtre, et de donc de connaĂźtre cette cinĂ©ma de grande qualitĂ© ! C'est du bon travail et c'est passionnant. Le mixte ambition sportive de Owens contexte politique est parfaitement gĂ©rĂ© et impose un rĂ©el intĂ©rĂȘt historique Ă  deux niveaux de lectures, mais c'est aussi un vrai gruyĂšre oĂč la lĂ©gende prend le pas sur les faits. Si on peut suivre l'adage fordien "quand la lĂ©gende dĂ©passe la rĂ©alitĂ©, alors on publie la lĂ©gende" comme acceptable du cĂŽtĂ© sportif on est dĂ©jĂ  plus rĂ©fractaire lorsqu'il s'agit des agissements en coulisse. Un bon et beau film de par son sujet et quelques fulgurances mais le film est aussi bancal sur bien des points. A voir toutefois... En cette annĂ©e olympique retour sur l’une des Ă©ditions les plus marquantes les JO de 1936 Ă  Berlin avec ce biopic sur l’athlĂšte Jesse Owens La Couleur de la Victoire. Un film de sport qui a rendez-vous avec l’ Owens est sĂ»rement l’un des plus grands sportifs que l’olympisme ait connus. Son parcours jusqu’aux Jeux olympiques de Berlin mĂ©ritait en effet Ă  lui seul un biopic. Originaire de Cleveland la mĂȘme ville que LeBron James, mĂȘme si LeBron est nĂ© Ă  Akron en Ohio, Owens montre rapidement des qualitĂ©s de vitesse et de course impressionnantes. ArrivĂ© le temps d’aller Ă  l’universitĂ© Ă  l’Ohio State University et rencontrera Larry Snyder, l’entraĂźneur qui le conduira jusqu’à Berlin. À partir de ce moment-lĂ , Owens va entrer dans la lĂ©gende notamment lors du Big Teen Championship Ă  Ann Arbor en 1995 oĂč il va battre 3 records du monde en une seule et mĂȘme journĂ©e. Dans une AmĂ©rique toujours marquĂ©e par le racisme, cette victoire reprĂ©sente tout un symbole. Un an plus tard en pleine ascension de l’Allemagne nazie d’Hitler, Jesse Owens parvient Ă  dĂ©crocher 4 mĂ©dailles d’or au cours des Ă©preuves d’athlĂ©tisme. La plus marquante restera celle du saut en longueur face au redoutable Carl Luz » Long, symbole et figure de la race arienne. Totalement en dĂ©saccord avec l’idĂ©ologie Nazie, Long va entretenir une longue amitiĂ© avec son concurrent de l’époque Jesse tout cela que tente de raconter La Couleur de la victoire. RĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins le film passe en revue l’histoire de Jesse Owens, de son entrĂ©e Ă  la fac jusqu'Ă  ses 4 mĂ©dailles d’or avec les États-Unis aux JO de 1936. Principalement rĂ©alisateur pour le compte de sĂ©ries depuis 2007, Hopkins avait tournĂ© quelques longs-mĂ©trages plus ou moins oubliables tels que Perdus dans l’Espace avec Matt LeBlanc ou bien plus rĂ©cemment Moi, Peter Sellers en 2003 et les ChĂątiments en 2007. C’est un biopic, il ne faut donc pas s’attendre Ă  voir de l’originalitĂ©. On a donc droit Ă  une construction trĂšs classique dans la mise en scĂšne, alternant exploits sportifs et moments plus intimistes. Cependant il y a une chose que le cinĂ©aste arrive bien a retranscrire c’est la consĂ©quence et la portĂ©e de la victoire sportive au combien politique Ă  cette Ă©poque dans une AmĂ©rique trĂšs inĂ©galitaire sur le plan racial. Dans La Couleur de la Victoire, Hopkins ne s’intĂ©resse que trĂšs peu aux courses d’athlĂ©tisme, elles durent Ă  l’écran, le mĂȘme temps qu’un sprint Ă  savoir entre 10 et 20 secondes. Oubliez donc les ralentis vous n’échapperez pas Ă  quelques-uns tout de mĂȘme, ce film se concentre sur la portĂ©e et la symbolique des victoires d’Owens. Histoire de traiter le sujet dans son ensemble, le rĂ©alisateur va s’intĂ©resser au dĂ©bat de l’époque sur la participation ou non des USA Ă  ces JO. On a donc droit de suivre les tractations qui ont lieu entre le comitĂ© olympique amĂ©ricain et les dignitaires nazis et notamment avec le Joseph Goebbels. Loin d’ĂȘtre mĂ©morable, cette partie a le mĂ©rite d’ĂȘtre intĂ©ressante Ă  suivre. Jeremy Irons dans le rĂŽle d’ Avery Brundage y est impeccable comme on en dira moins de Stephan James vu dans Selma qui a Ă©tĂ© choisi pour incarner Jesse Owens. Froid et manquant cruellement de charisme le sourire lĂ©gendaire d’Owens est totalement absent, l’acteur ne dĂ©gage aucune Ăąme et aucune envie de s’y Couleur de la Victoire est donc un film Ă  voir si vous voulez connaĂźtre le parcours de Jesse Owens et de la portĂ©e de ses victoires, 3 ans seulement avant le dĂ©but de la Seconde Guerre Mondiale. TrĂšs classique dans sa mise en scĂšne et avec un acteur principal un peu froid, le film de Stephen Hopkins s’apprĂ©cie tout de mĂȘme sur certains points. Un grand et bon moment d’Histoire Ă  quelques jours de Rio. C'est un trĂšs bel hommage Ă  Jesse Owens, Ă  son courage, Ă  sa dĂ©termination et Ă  son le meilleur sans dopage dans un environnement aussi hostile, et aux États Unis et en Allemagne, est quand mĂȘme tout Ă  fait extraordinaire !!!Dommage que cet hommage ne lui a pas Ă©tĂ© offert de son vivant !!Outre la rĂ©trospective historique "La couleur de la victoire" est une trĂšs belle et Ă©mouvante histoire humaine. Il y en a eu des longs-mĂ©trages sur le sport cette annĂ©e que se soit Creed en Janvier ou encore Eddie The Eagle en Mai mais qui Ă©tait un biopic. La Couleur de la victoire est un drame biographique qui porte un message d'espoir et de libertĂ©. Il brosse le portrait de Jesse Owens, un jeune athlĂšte de l'Ohio qui a impressionnĂ© aux Jeux olympiques de Berlin en 1936. À l'aube de la Seconde Guerre mondiale, le long mĂ©trage dĂ©peint le conflit moral des AmĂ©ricains, qui ont failli se dissocier des Jeux pour dĂ©montrer leur soutien envers les Juifs, et celui d'un jeune Noir qui veut Ă  la fois dĂ©fendre son titre de champion du monde considĂ©rĂ©s comme infĂ©rieurs aux États-Unis Ă  l'Ă©poque. Le cinĂ©aste Ă©vite soigneusement de tomber dans les clichĂ©s habituels de la biographie sportive dĂ©passement de soi pour aborder la question du racisme et amĂšne Ă  encourager le hĂ©ros Ă  repousser ses propres limites. Le scĂ©nario possĂšde cette qualitĂ© de bien schĂ©matiser les faits ! La justesse du montage doit aussi ĂȘtre prise en considĂ©ration ici. La reconstitution de l'Allemagne sous le TroisiĂšme Reich s'avĂšre trĂšs crĂ©dible ! Les scĂšnes de compĂ©titions sont toutes haletantes, la rĂ©alisation est convaincante mais souvent mielleuse... Avec quelques longueurs et l'oeuvre ne livre pas toute sa gamme d'Ă©motion... John Boyega Ă©tait pressenti pour interprĂ©ter le rĂŽle de cet athlĂšte mais fini par jouer dans Star Wars VII. C'est l'acteur canadien, Stephan James qui offre une honnĂȘte performance dans le rĂŽle principal. Jason Sudeikis, choisi gĂ©nĂ©ralement pour jouer le clown de service dans des comĂ©dies amĂ©ricaines, prouve ici qu'il peut jouer dans un registre diffĂ©rent. Il interprĂšte un entraĂźneur ferme qui croit en sa nouvelle recrue. MalgrĂ© un manque d'Ă©motion, Race en ne déçoit pas ! C'est une course intĂ©ressante qui donne une ode aux jeux sportifs. Quel film, mais quel film !! Magnifique du dĂ©but Ă  la fin, mise en scĂšne, musique, acteurs, bref allez-y, c'est touchant et criant de vĂ©ritĂ©, on se croirait dans le stade en train de l'encourager, Quel destin !!! Allez-y sans hĂ©siter, vous ne le regretterez pas. la vie et la carriĂšre de ce grand champion que fĂ»t Jesse tout le racisme qu'il dut endurer et l'Ă©loignement d'avec sa famille pour devenir une lĂ©gende dans ce sport qu'est l'athlĂ©tisme cet hommenous montre son courage, sa fiertĂ© , son intelligence pour ne pas rĂ©pondre Ă  l'ignominie. et son palmarĂšs fabuleux est lĂ  pour lui donner Owens vous ĂȘtes et serez toujours un grand homme. film rĂ©alisĂ© avec beaucoup de soins particuliĂšrement la photographie qui Ă©claire cette belle criant de vĂ©ritĂ© et de d'or pour ce film. Un biopic indispensable sur un personnage et un athlĂšte extraordinaire qui a rĂ©alisĂ© des exploits incroyables Ă  un moment et un endroit si emblĂ©matiques. Manquant de profondeur, on a malheureusement la sensation qu'il manque des Ă©lĂ©ments indispensables Ă  la narration de cette vie. J'aime par contre beaucoup le titre anglais "Race" qui est Ă  double sens. Dans la mouvance des biopics, il fallait faire celui-ci, l'acteur incarne bien Jesse Owen et court vraiment comme lui. A dĂ©couvrir, mĂȘme si on reste sur sa faim. Excellent film, le racisme jamais aussi bien montrĂ©. Ainsi qu'un Hitler complĂ©tement .... je ne dirais rien Ă  ce sujetSuperbe biographie de l'athlĂšte, juste dommage qu'ils n'ont pas assez approfondi a certains passage, pour moi lorsque je vois le film on sait directement qu'il va gagner tout les qu'il est Ă©vident que pour lui ça a du ĂȘtre trĂšs difficile, dommage La mise en scĂšne est magnifique. Le film donne vraiment une idĂ©e de cette Ă©poque. Ce film est un drame biografique qui porte un message d'espoir et de libertĂ©. C'est l' histoire d'un jeune athlete de l'Ohio qui a impresionnĂ© aux jeux olympiques de Berlin en 1936. Cette histoire se produit dans une ambiance qui prĂ©cĂšde la II Guerre mondiale. Sans doute un grand Ă©vĂšnement, les juex Olympiques, mais sur un gouvernement particulier comme l'Allemagne nazie. Le cineaste a evitĂ© soignensement de tomber dans les clichĂ©s habituels de la biographie sportive pour aborder la question du racisme et amener Ă  encourager les hĂ©ros Ă  repousser ses propes limites. Je crois que ce film est un bon exemple, specialement pour les jeunes de croir en leurs reves. Le personage exprime que l'effort, la persĂ©vĂ©rance et la foi en lui mĂȘme peut conduire a la rĂ©ussite. Peu importe le chemin Ă  suivre pour vaincre l'adversitĂ©. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse Lacouleur de la victoire Un film haletant qui nous plonge dans les annĂ©es 1930 au cƓur des J.O. de Berlin. Jesse Owens, un jeune prodige afro-amĂ©ricain, va se battre pour courir et sauter dans un pays oĂč la nazisme est omniprĂ©sent. Un film bouleversant qui met en avant les relations diplomatiques et humaines Allemagne-Etats-Unis Aperçu des critiques de la presse Internet sortie vod, dvd et blu-ray La Couleur de la victoire"Le rĂ©cit est maĂźtrisĂ© et le savoir-faire du rĂ©alisateur Ă©vident, ce qui a permis au film d'Ă©viter un scandale lors de sa sortie aux États-Unis dĂ©but 2016. Car si le long-mĂ©trage s'Ă©tait rĂ©vĂ©lĂ© maladroit et avait souffert d'un scĂ©nario bancal, beaucoup en aurait profitĂ© pour hurler Ă  l'offense, outrĂ©s qu'un artiste ose comparer la SĂ©grĂ©gation au nazisme. Ici, il s'agit plutĂŽt d'une rĂ©flexion intelligente sur le racisme presqu'ordinaire et sur la maniĂšre dont la notion de race a encore une quelconque importance." Avoir Alire "La Couleur de la Victoire parle de la haine en Europe et aux Etats-Unis. D'un cĂŽtĂ©, celle instaurĂ©e par le rĂ©gime nazi en Allemagne, mais aussi celle qui rĂšgne plus insidieusement aux Etats-Unis, oĂč la sĂ©grĂ©gation est encore bien prĂ©sente. Le rĂ©alisateur n'oublie pas l'hypocrisie avec laquelle le gouvernement amĂ©ricain a apprĂ©hendĂ© les de Berlin. ... Bref, un biopic intelligent sur un des plus grands athlĂštes de tous les temps." Elle "La Couleur de la Victoire ... ravive sous une forme romanesque une des olympiades les plus fameuses de l'histoire." Culture Box "En deux heures qui passent comme un claquement de doigts, ce biopic retrace les exploits du quadruple mĂ©daillĂ© olympique Jesse Owens aux de Berlin de 1936. En se concentrant sur les deux annĂ©es de sa vie au cours desquelles il bĂąti sa lĂ©gende entre 19 et 21 ans, 1934-1936, Stephen Hopkins nous propulse de façon captivante dans l'atmosphĂšre Ă©lectrique de cette Ă©poque qui rend cette victoire si exceptionnelle, sur le plan sportif et politico-social. Au delĂ  du fait de rendre enfin hommage Ă  cet athlĂšte incroyable, cet opus est donc particuliĂšrement passionnant car il aborde les Ă©vĂ©nements et leur impact sur plusieurs plans, tant au niveau humain qu'historique." Le Blog du CinĂ©ma "La Couleur de la Victoire est la dĂ©monstration qu'un rĂ©alisateur peu rĂ©putĂ© pour ses Ă©lans artistiques peut s'effacer derriĂšre son sujet, du moment qu'il est porteur. Ce film est Ă©galement la dĂ©monstration que le sport est un thĂšme ĂŽ combien cinĂ©gĂ©nique, tant il est Ă©tait ? riche de valeurs universelles, de lien Ă©troits avec l'Histoire ici bien manipulĂ©e, on y reviendra et de tout ce qui fait un film prenant suspense, rebondissements, Ă©motions et panache." CinĂ© SĂ©ries Mag "Scolaire dans sa forme, cette oeuvre soigne toutefois le fond et fait considĂ©rablement vibrer les coeurs." Lci "Le rĂ©alisateur, bon faiseur pro, se tire Ă  peu prĂšs de la miĂšvrerie qu'imposent les scĂšnes sentimentales Jesse et sa femme. Et il rĂ©ussit parfaitement, en revanche, les moments spectaculaires l'arrivĂ©e du champion noir dans un stade hostile donne vraiment le frisson..." Telerama - Pierre Murat "En multipliant les points de vue, le film se perd dĂšs les premiĂšres minutes .... En cherchant Ă  s'intĂ©resser autant au parcours sportif qu'aux enjeux moraux et politiques ayant entourĂ© la compĂ©tition les États-Unis devaient-ils boycotter ou non cette Ă©dition tristement cĂ©lĂšbre ? , le rĂ©alisateur enterre son film dans une zone de transition oĂč aucune des thĂ©matiques n'est vĂ©ritablement traitĂ©e." Abus de CinĂ© "Le portrait de Jesse Owens reste bien superficiel et ce rĂ©cit politique bien simpliste." La Croix . 444 408 493 352 542 65 593 513

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