Collectifde soutien aux migrants 44 Collectif de soutien de l'EHESS aux sans-papiers et aux migrant-e-s Collectif du Cercle de silence de Poitiers Collectif Justice & Libertés Collectif Lille nouvelle jungle Collectif Loire (42) "Pour que personne ne dorme à la rue" Collectif Migrants Paris 19ème Collectif Romeurope du Val Maubuée Collectif Saint-Lois d'Aide aux Migrants Collectif
A l’arrivée d’une vingtaine de migrants sur la commune de Carpentras en février 2016, des habitants se sont spontanément manifestés pour leur venir en aide, leur offrir un peu de chaleur humaine dans ce parcours de demandeur d’asile bien trop administratif et souvent déshumanisé. C’est alors qu’un collectif est né Le collectif réfugiés » du Comtat, devenu le collectif de soutien aux réfugiés du Vaucluse suite au transfert de nos amis exilés près d’Avignon. Aujourd’hui le collectif est une association qui a pour but de mobiliser de façon bénévole et désintéressée, les ressources de toute nature humaines, financières, matérielles, techniques, relationnelles, professionnelles de ses membres et sympathisants, pour aider à l’intégration des personnes accueillies et les accompagner en vue d’être autonomes. Elle agit en lien avec les services, organismes et associations compétents santé, services sociaux, alphabétisation… Toute action bienveillante de n’importe quelle nature est la bienvenue. Nos bénévoles agissent de façon diverses et variées en fonction de disponibilités, d’affinités, de passions, de compétences. Ils multiplient les actions offrent cours de français et accompagnements administratifs organisent des sorties culturelles ou de loisirs et des ateliers artistiques proposent des activités agricoles ou sportives partagent des repas ou des moments de convivialité collectent vêtements, nourriture, argent ….. Les valeurs de fraternité, d’hospitalité, de solidarité, de partage, de bienveillance à l’égard des personnes fuyant la guerre, la dictature et la misère, sont au cœur du projet de l’association. Nous sommes une seule humanité sur une seule terre vivante. Qu’on les appelle réfugiés ou migrants, nous leur reconnaissons légitimité à demander ici asile.
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MIGRANTS- Un squat de migrants a été visé par des jets de cocktails molotov dans la nuit de samedi, à Nantes, provoquant un départ de feu qui n'a pas fait de blessé. Un collectif de soutien dénonce un acte "criminel et xénophobe". · Sujets de société : Un squat de migrants visé par des cocktails molotov à Nantes.
Cet article date de plus de sept ans. Publié le 23/08/2014 0708 Durée de la vidéo 2 min. Article rédigé par Des migrants soudanais, érythréens, lybiens, syriens, expulsés en juillet d'un squatt de Nantes, ont trouvé refuge dans un ancien presbytère. Soudan, Eythrée, Tchad... Ils ont tous fui des pays en guerre à régime dictatorial. Ils ont pour la plupart des papiers, récépissé de demande de droit d'asile ou carte de séjour, mais en sont réduits à loger dans un squatt, comme celui de la rue des Stocks, à Nantes Loire-Atlantique.Un huissier mandaté par la mairie de Nantes est passé deux fois pour constater l'occupation et relever quelques identités. Les migrants ont été expulsés le 30 juillet. La mairie, contactée, se donne du temps pour étudier la situation. Les locaux, qui lui appartiennent, sont vacants depuis six comme le souligne Pierre Robas, du collectif de soutien aux expulsés "La culture en marche", "ça ne demande pas des moyens énormes pour une municipalité de mettre un local comme celui-ci aux normes pour que des gens puissent y vivre". Les associations, parmi lesquelles le collectif "Solidaires", réclament "un relogement pérenne, viable, satisfaisant pour l'ensemble des migrants", selon les mots de Jean Brunacci. Les migrants expulsés occupent aujourd'hui le presbytère du quartier de Doulon.
Uncollectif d'associations et de familles qui hébergent bénévolement des migrants mineurs isolés appelle à un rassemblement aujourd'hui, mercredi 12 septembre à
Google map Par AFP, publié le 8 novembre 2015 à 16h02. Un squat occupé à Nantes par une cinquantaine de migrants africains a été la cible d'un jet de cocktail molotov dans la nuit de samedi à dimanche, provoquant un début d'incendie, mais sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de leur comité de soutien. Vers minuit, alors que les occupants s'apprêtaient à s'endormir, un engin incendiaire a été lancé par un inconnu par une fenêtre de la maison du quartier Chantenay, qu'ils occupent depuis près près d'un an. Un feu s'est déclaré, que quatre d'entre eux ont réussi à éteindre avec de l'eau et des couvertures, selon le Collectif de soutien aux expulsés de la rue des Stocks. Sur place, des traces de suie étaient visibles dimanche à une fenêtre extérieure et à l'intérieur de la pièce atteinte par l'engin incendiaire, où régnait une forte odeur de brûlé, selon le quotidien Ouest-France, qui a révélé l'affaire."Celui qui a fait ça, il a voulu nous tuer", a témoigné un des occupants cité par le quotidien. Le Collectif a dénoncé ce dimanche une "agression criminelle et xénophobe, qui s'inscrit dans une suite d'actes de plus en plus violents à l'encontre des migrants inscriptions racistes, poses de cadenas sur les portes d'un squat et dégradations diverses à l'encontre des associations qui soutiennent les migrants". Dénonçant "la politique laxiste du gouvernement et des autorités locales, qui laissent toute liberté d'agir lâchement à des groupes xénophobes et racistes", le Collectif a demandé l'ouverture rapide de "centres d'accueil inconditionnel et de qualité" pour les personnes "sans abri, sans papiers, sans possibilité de travail".Outre la maison visée par le cocktail molotov, occupée par des migrants venus essentiellement du Soudan, d'Erythrée et de Somalie, un autre squat regroupe à Nantes plusieurs dizaines de migrants dans un presbytère du quartier Doulon depuis l'été 2014.
LeCollectif de soutien aux expulsé-es de la rue des stocks dénonce cette agression xénophobe, qui s’inscrit dans une suite d’actes de plus en plus violents à l’encontre des migrants : inscriptions racistes, poses de cadenas sur les portes d’un squat et dégradations diverses à l’encontre des associations qui soutiennent les migrants.
A l'appel du collectif de soutien aux jeunes migrants, des associations et des syndicats, 800 personnes manifestaient ce samedi 9 décembre, à Nantes. Depuis le 22 novembre des étudiants et des militants associatifs occupent des locaux du campus et hébergent de jeunes migrants isolés. C'est mardi dernier que le tribunal administratif a ordonné l'expulsion des locaux. C'est une " décision administrative inhumaine " estime l'intersyndicale CGT-Solidaires-FSU-Unsa-CFDT " Ces occupations ont pour but d’héberger des mineurs et de dénoncer l’inaction et l’hostilité des pouvoirs publics. Le Conseil départemental et la préfecture doivent trouver des solutions durables et humaines pour ces personnes dans la précarité et la détresse. Les reléguer dans la rue serait criminel. C’est pourquoi la présidence de l’université doit maintenir l’hébergement provisoire de mineurs tant que les pouvoirs publics n’auront pas mis en place des solutions pérennes." Plusieurs centaines de personnes manifestaient à Nantes en réponse à l'ordonnance d'expulsion du tribunal administratif. migrants Nantes F3PaysdelaLoire manif en soutien aux mineurs isolés et migrants dans le calme. Vincent RAYNAL VRAYNAL_FR3PDL 9 décembre 2017 migrants Nantes F3PaysdelaLoire Solidarité avec les sans papiers scandent les manifestants retour en bas du cours des 50 otages Vincent RAYNAL VRAYNAL_FR3PDL 9 décembre 2017
CollectifLoupiacien de soutien aux migrants Collectif Migraction59 Collectif « Migrants : changeons notre regard ! » (Antony) Collectif Migrants Voiron Collectif de Montbrun solidaire avec les migrants Colletif P’tits Dej’s Solidaies Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l'Homme en Tunisie (CRLDHT) olletif RASE (Réseau d’A ueil Solidaie des Exilé.e.s) Collectif
Le square Daviais en août 2018. - SEBASTIEN SALOM GOMIS / AFPJeudi, près de 700 migrants ont été évacués dans le calme du centre de Nantes vers un hébergement de 700 migrants ont été évacués dans le calme jeudi d'un square situé au centre de Nantes où un campement était installé depuis plusieurs mois, avant d'être acheminés par bus vers cinq gymnases mis à disposition par la ville."Je suis fière que l'on soit dans une ville où la peur de l'autre ne gagne pas", s'est félicitée la maire socialiste de la ville, Johanna Rolland, à la fin de l'opération d'évacuation, prévenant par ailleurs que "plus aucune occupation sauvage sur l'espace public ne sera tolérée à Nantes".Au total, 698 personnes ont été évacuées dans le calme entre 8h et midi par plus de 200 fonctionnaires de police et de gendarmerie qui avaient bouclé le square Daviais, un parc arboré bordé d'un hôpital et de voies de tramway où des migrants, principalement des hommes, avaient commencé à camper au printemps."Soulagement énorme"En vertu d'une décision du tribunal administratif rendue la veille, 668 personnes ont été "mise à l'abri" par la commune de Nantes et logées dans 5 gymnases de la ville où deux repas leur seront servis mineurs isolés ont également été évacués et 28 personnes vulnérables ont été prises en charge par l'Etat, selon les chiffres de la mairie."C'est un soulagement énorme de savoir que c'est fini", a témoigné François Prochasson, du collectif de soutien aux migrants, rappelant que la place nantaise, qui avait fait l'objet d'une première évacuation le 23 juillet, ne disposait d'aucun temporaire Cependant, l'hébergement dans les gymnases de ces migrants - majoritairement originaires de Guinée, Erythrée, Somalie et Soudan, selon la préfecture de Loire-Atlantique - ne sera que temporaire."La mise à l'abri dans les gymnases de Nantes ne doit pas durer au-delà de début octobre", a prévenu Johanna Rolland, expliquant que plusieurs lieux d'accueil mieux adaptés et situés à Nantes et dans le département étaient à l' tribunal a en effet enjoint l'Etat et l'Office français d'immigration et d'intégration Ofii à orienter "dès que possible, les personnes migrantes concernées vers des dispositifs d'accueil correspondant à leur situation administrative"."L'Etat doit prendre le relais, c'est une nécessité à l'échelle nationale, c'est le rôle de la France, patrie des droits de l'Homme", a insisté Johanna Rolland, estimant que "la politique d'asile telle qu'elle est menée par le ministère de l'Intérieur n'est pas à la mesure de la situation".
Collectifmillavois de soutien aux migrants . Collectif Palestine 12 de Millau Collectif poitevin "D'ailleurs Nous Sommes d'Ici" Collectif POUR 64400 Collectif réfugiés du Vaucluse Collectif républicain d'Albertville Collectif Réseau de Solidarités Hôtel de Crouy Collectif RESF27 - RéseauEducation Sans Frontières de l'Eure Collectif Romeurope de l'agglomération nantaise
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collectif de soutien aux migrants nantes